Le Titre de la série Cucumber est une façon très explicite de parler de la communauté Gay, comme le Tofu et Banana pour les autres catégories LGBT.
Malgré ce titre sulfureux, la série examine avec tact, les difficultés pour les gays de tous poils (ils en ont pas tous) de vivre ensemble dans leur vie de couple, comme de simple hétéro, tout le monde à les mêmes problèmes.
C'est souvent très drôle, ou très gaie, qui montre une communauté qui s'est enfin sortie des années Sida et qui vit joyeusement sa différence, on passe de loft, en boîte avec les copains et les copines, tous regardant la vie devant soi, et non à reculons. Si on quitte quelqu'un, on en trouve un autre, enfin on essaye, pour peut être revenir au premier.
Belle série, qui nous prend pas la tête, et qui est dans la lignée de sa grande soeur, on montrant plusieurs catégories de gay et de tous âges.
Bon c'est un peu cru, mais cela reste interdit qu'au moins de 12 ans.
La série et ses consoeurs ont peut les retrouver sur Ciné Plus Club en ce moment.
Cucumber, est un format de 45 minutes, qui suite le quotidien de Henry, qui approche de la cinquantaine. Il vit depuis presque 10 ans, une vie douce mais trop rangée, trop sage avec son compagnon Lance. Ils s'aiment, mais ne font jamais l'amour. Ce qui va bientôt entraîner une crise dans la vie de Henry et mettre en danger dans son intimité et son job.
Dans Banana, un format de 25 minutes, on suit Dean, 19 ans, qui distribue le courrier dans la boîte de Henry, et qui vient de quitter e domicile familial pour s'installer dans un loft avec un ami. Sa vie sexuelle, ses sentiments et ses finances sont pour le moins chaotiques. Les deux séries sont connectés, on disant rapidement que Banana est un spin-off de Cucumber. Enfin Tofu, est une série documentaire d'une dizaine de minutes dans laquelle des anonymes, des personnalités et les acteurs de Cucumber et Banana témoignent sur leur vie sexuelle, le tout accompagne d'une étrange fiction futuriste là aussi sur les pratiques sexuelles, dans et hors du lit.
Bien sûr le triptyque est très gay, que ce soit dans les dialogues ou dans les images, mais entendre dans "Cucumber" comme Ryan Reynolds utilise sa B... est à mourir de rire et risque de devenir culte.
La série atteint sont universalité en parlant de toutes les communautés raciales sans les exclure, et tant pis pour les peignes-culs sensibles, cette série nous donne de la joie au coeur.
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