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dimanche 30 septembre 2018

*5.20 - MON AVIS SUR L'OMBRE D'EMILY DE PAUL FEIG (Pour les midinettes)

L'OMBRE D'EMILY de Paul Feig est une Comédie Policière Américaine

 Paul Feig découvert par Judd Appatow est le réalisateur de l'excellente comédie Spy avec Melissa McCarthy et le très mauvais remake de S.O.S Fantôme c'est dire qu'il fallait s'attendre au pire dans cette comédie policière ou on ne sait pas vraiment dans quelle direction se tourner ;

Il faudrait que les cinémas nous disent en plus des interdictions que certains ne sont pas fait pour vous, en effet L'Ombre d'Emily n'est pas du cinéma classique un mélange de production de YouTube, de Plus belle la vie ou des livres style Barbara Cartland et Marc Levy c'est dire que je me suis bien fait avoir par les critiques qui ne voient que leurs futurs intérêts de leurs employeurs.

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Evidemment au vu du pitch avec la disparition d'Emily (Blake Lively) nous fait penser à Gone Girl un vrai thriller avec 90% de moins de talents que David Fincher, Paul Feig nous sert une soupe indigeste, trop salée ou trop sucrée suivant les goûts ou notre cholestérol du mauvais goût en prend pour notre grade.

Mais en plus Feig n'a pas d'idées même la plus minime, et ce n’est pas ce plan à trois (digne d'un film de Appatow), la scène de sexe avec le beau-frère ou le veuf (non on n’est pas non plus dans Les Diaboliques).

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Le film est adapté du roman de Darcey Bell "Disparue" qui raconte l'histoire d'une jeune femme Stéphanie (Anna Kendrick) qui élève seule son fils et passe son temps sur son blog de cuisine sur YouTube. Elle va faire la connaissance en faisant la nounou pour elle de Emily (Blake Lively) totalement le contraire de Stéphanie, qui n'aime pas être pris en photos et vont se rapprocher dans cette amitié fragile avant la disparition d'Emily qui va remettre tout e question dans l'esprit de la Youtubeuse.

On va alors assister à une multitude de coup de théâtre orchestré comme dans une série juste avant la pub, avant cette fin tellement prévisible.

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Dans le casting Anna Kendrick est insupportable on a envie qu'elle retourne à ses fourneaux seule la piquante Blake Lively nous sort un joli numéro de garce.

Au casting aussi Henri Golding la star du succès surprise de l'année Crazy Rich Asians (dans le même genre) qui doit être le seul intérêt de cet engouement pour le film.

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A l'arrivée une goutte de miel dans un océan de vinaigre


Pour ce qui aiment le vrai cinéma passer votre chemin même avec un Pass, pour les autres prenez un mouchoir, arrachez le cœur d'un artichaut et pavés le tapis de cinéma de rose fanée.

NOTE : 5.20



FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Paul Feig
Scénario : Jessica Sharzer
D'après le roman : Disparues de Darcey Bell
Musique : Theodore Shapiro
Production : Jessie Henderson et Paul Feig
Casting : Allison Jones et Ben Harris
Décors : Jefferson Sage
Montage : Brent White
Photographie : John Schartzman
Costumes : Renee Ehrlich Kalfus

DISTRIBUTION



Anna Kendrick
Rôle : Stephanie Smothers
Blake Lively
Rôle : Emily Nelson
Henry Golding
Rôle : Sean Townsend
Andrew Rannells
Rôle : Darren
Jean Smart
Rôle : Margaret McLanden
Bashir Salahuddin
Rôle : Détective Summerville
Joshua Satine
Rôle : Miles Smothers
Ian Ho
Rôle : Nicky Nelson

PALMARES DU FESTIVAL DE BIARRITZ D'AMERIQUE LATINE 2018

Le palmarès de la 27e édition du Festival Biarritz Amérique Latine a été dévoilé. Le réalisateur Laurent Cantet a présidé le jury compétition.


L’Abrazo du meilleur film a couronné le Colombien Les Oiseaux de passage de  Ciro Guerra et Cristina Gallego. Ce long métrage a fait sa première mondiale en mai dernier au Festival de Cannes, dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs. Il raconte, dans les années 1970 en Colombie, l’histoire d’une famille d’indigènes Wayuu qui se retrouve au cœur de la vente florissante de marijuana à la jeunesse américaine. Quand l’honneur des familles tente de résister à l’avidité des hommes, la guerre des clans devient inévitable et met en péril leurs vies, leur culture et leurs traditions ancestrales. C’est la naissance des cartels de la drogue…
Les Oiseaux de passage représentera la Colombie pour l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. Ce film sortira en France le 20 février 2019.
Le prix du jury est allé à l’Argentin La Flor de Mariano Llinás. Dévoilé l’été dernier lors du Festival de Locarno, ce long métrage a pour particularité de durer… près de 14 heures. La Flor est un hommage à l’histoire du cinéma en six épisodes, inspirés par différentes formes cinématographiques. Chaque épisode correspond à un genre. Le premier pourrait être considéré comme un film de série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire les yeux fermés et qu’ils ne peuvent plus tourner aujourd’hui. Le deuxième épisode est une sorte de comédie musicale avec un soupçon de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est difficile à décrire. Le cinquième est inspiré d’un vieux film français. Le dernier s’intéresse à des femmes retenues en captivité au XIXème siècle qui reviennent du désert et des terres indiennes après bien des années…
La Flor sera distribué dans les salles françaises courant 2019.
Le prix de la critique a récompensé le Brésilien Deslembro de Flávia Castro. Ce film raconte l’histoire de Joana, une adolescente, qui nourrit son esprit de littérature et de rock. En 1979, alors qu’elle vit à Paris, une loi d’amnistie est votée au Brésil. Du jour au lendemain et contre son gré, elle retourne dans un pays qu’elle connaît à peine. Au début des années 1980, à Rio de Janeiro – sa ville natale où son père a été victime de disparition forcée – elle retrouve par bribes les souvenirs de son enfance fragmentée…
Enfin, le prix du public a été remporté par l’Uruguayen Compañeros de Álvaro Brechner. Ce film se déroule en 1973, alors que l’Uruguay bascule en pleine dictature. Trois opposants politiques sont secrètement emprisonnés par le nouveau pouvoir militaire. Jetés dans de petites cellules, on leur interdit de parler, de voir, de manger ou de dormir. Au fur et à mesure que leurs corps et leurs esprits sont poussés aux limites du supportable, les trois otages mènent une lutte existentielle pour échapper à une terrible réalité qui les condamne à la folie… Ce film sortira le 27 mars 2019 en France.
Le prix du meilleur documentaire, dont le jury est présidé par la réalisatrice colombienne Catalina Vilar, a couronné le Brésilien Bixa Travesty de Claudia Priscilla et Kiko Goifman. Dévoilé en début d’année à la Berlinale, ce documentaire raconte l’histoire de Linn da Quebrada, qui s’autodéfinit comme une « terroriste du genre ». Originaire d’une région très pauvre de São Paulo, elle se heurte à de nombreux préjugés sexuels et raciaux. Ses compositions funk sont une arme pour lutter contre le machisme. Sur scène, ses prestations scéniques crues et téméraires cherchent constamment à remettre en question les paradigmes établis et les stéréotypes.
Le prix du court métrage, dont le jury est présidé par le réalisateur guatémaltèque Jayro Bustamante, est allé à O Orfaode la Brésilienne Carolina Markowicz.

Source / Le Polyester

PALMARES DU FESTIVAL BRITANNIQUE DE DINARD 2018

6 films en compétition par des cinéastes émergents ou des talents confirmés qui font leurs débuts, avec ou sans stars, dramatiques ou drôlatiques, ou les deux. Le Dinard Film Festival a décerné son palmarès ce samedi 29 septembre, après trois jours sous le soleil, et dans le vent. Un bon air marin qui a fait oublier le Brexit. Des salles pleines même un samedi matin aux soirées dansantes tard dans la nuit, cela n'a pas empêché le jury de Monica Bellucci de rendre son verdict.
Par ailleurs, cette année, pour la première fois, un nouveau prix Hitchcock a été remis, celui de la Critique, décerné par un jury de journalistes. Avec le Hitchcock d'or du jury et le Hitchcock du public, cela aurait pu faire trois grands prix à donner pour une compétition certes inégale mais variée et inspirante.
Pourtant il n'y a qu'un grand vainqueur, plusieurs fois récompensé par le jury, y compris avec un prix créé pour l'interprétation, mais aussi par la critique.
Assez logiquement, Jellyfish a remporté les suffrages. Dans la veine de Ken Loach, James Gardner, pour son premier long métrage, suit une adolescente débrouillarde qui cherche à sauver sa famille (sa mère, atteinte d'un trouble psychologique, son frère et sa sœur), tout en poursuivant ses études, en travaillant à mi-temps et en s'affranchissant de limites morales pour gagner un peu plus d'argent. Ce drame doux, amer et drôle est porté par une mise en scène délicate et simple, qui a enthousiasmé les professionnels.
C'était le premier film sélectionné pour la compétition, dès le mois de mai. Comme s'il s'agissait d'une évidence. Liv Hill, dont c'est le premier rôle au cinéma, et Sinead Matthews, qui incarne la mère, ont reçu en juillet le prix d'interprétation au Festival d'Edimbourg. Le film avait aussi été montré à Tribeca à New York en avril en avant-première mondiale. Espérons que ce beau parcours intéresse un distributeur en France...
Old Boys, qui a gagné le prix du public est un choix assez évident tant le film réunit tous les attraits de la comédie britannique avec une intrigue à la Cyrano.
Avec seulement deux films sur six récompensés, et rien pour Winterlong par exemple, le palmarès ne reflète sans doute pas l'éclectisme de la sélection et certaines qualités des films retenus, mais on espère au moins que pour le 30e anniversaire l'an prochain, malgré la sortie du Royaume Uni de l'Union européenne, Dinard continue de chercher une pépite comme Jellyfish. Mais il faudra aussi revoir le règlement et contraindre le jury à ne pas cumuler les prix pour un seul film.
Le palmarès
Hitchcock d'or du juryJellyfish de James Gardner
Prix d'interprétation: Liv Hill pour Jellyfish de James Gardner
Meilleur scénarioJellyfish de James Gardner
Hitchcock d'honneur: Ian Hart
Hitchcock d'or du publicOld Boys de Toby MacDonald
Hitchcock d'or de la critiqueJellyfish de James Gardner
Hitchcock "Coup de cœur" La règle du jeuThe Bookshop d'Isabel Coixet
Hitchcock shortcuts du juryBridge de Lain Robertson
Mention spéciale: Cabin de Matthew Lee
Hitchcock shortcuts du publicTwo strangers who meet five times de Marcus Markou

BRIGITTE FONTAINE CHEZ KERVERN/DELEPINE ?

Brigitte Fontaine, héroïne d'un prochain projet de Benoit Delépine et Gustave Kervern ? Le duo de réalisateurs nous a confié avoir très envie de monter un projet écrit pour Brigitte Fontaine, chanteuse et comédienne avec qui ils ont collaboré pour Le Grand Soir, en 2012.
Evoquant l'après I Feel Good, sorti ce mercredi, Gustave Kervern et Benoit Delépine expliquent avoir "une idée avec Brigitte Fontaine". "Là, elle est vraiment très en forme, souligne Gustave Kervern. Elle a eu des petits soucis de santé. Pour nous, c’est une artiste vraiment géniale, que ce soit humainement ou par son talent." "On a envie de faire une aventure artistique avec elle, ajoute Benoit Delépine. On ne sait pas encore. Ca sera peut être un court, un moyen ou un long métrage, qu’importe, mais grâce à notre société de production, No Money Production, on peut réussir à faire des projets en ne demandant rien à personne ! Il faut absolument que ça se fasse !".
On a envie de faire une aventure artistique avec Brigitte Fontaine
Le duo a par ailleurs un autre scénario sous la main : "On a réécrit très vite un scénario mais qu’on laisse reposer un petit peu. On écrit assez vite, mais après on s’aperçoit qu’on a besoin d’un peu de temps pour que ça mature, que ça prenne une autre direction. C’est toujours ce qu’on a fait, donc effectivement on a commencé à écrire un scénario, mais qui va prendre son temps."
Benoit Delépine et Gustave Kervern avait justement laissé mûrir le projet d'I Feel Good, avant de franchir le pas de le réaliser. L'idée remonte à la période du Grand soir, mais le duo avait choisi de mettre en scène entre temps Saint Amour, avec Gérard Depardieu, Benoit Poelvoorde et Vincent Lacoste. 
Se souvenant du point de départ d'I Feel Good, Benoit Delépine développe : "Avec Gus, on est toujours à la recherche de lieux non seulement cinématographiques, mais aussi avec une utopie possible. Par exemple, dans Louise Michel, on avait tourné dans ce qu’on appelle le Palais social à Guise. J’avais aussi découvert une ville étonnante en banlieue de Copenhague qui s’appelle Christiana, une espèce de ville baba qui a fonctionné depuis les années 70."
Et de poursuivre : "En France, j’étais à la recherche d’une aventure de ce type et on l’a découverte un peu par hasard grâce à Moustic qui avait été DJ lors du festival qui est organisé chaque année là-bas, et qui m’a parlé de ce village Emmaus particulier. On est allé là-bas, on a dormi là-bas, on a fait connaissance avec Germain. On a été bien accepté par le groupe, et du coup, on a commencé à gamberger à une idée de film qui pourrait se tourner là-bas. Souvent nos aventures filmiques sont vraiment inspirées par des lieux. Que ce soit le dernier avec le Salon de l’agriculture, celui d’avant avec les zones commerciales ou la montagne Sainte Victoire… Les lieux ont énormément d’importance, et en l’occurrence, dès qu’on a vécu quelques temps dans ce lieu avec ces gens, on s’est rendu compte que c’est là qu’on avait envie de tourner un film."
"Parallèlement, on avait fait connaissance avec Jean Dujardin, d’une façon assez fortuite, en présentant Le Grand Soir à Cannes, dans une soirée mémorable où il y avait un concert des Wampas qui s’étaient prêtés au jeu, se souvient Gustave Kervern. Il avait sauté dans la foule et s’était même cassé un doigt à cette occasion. On avait sympathisé et on s’était dit que c’était un acteur assez génial. On avait pensé à lui. Après, le temps s’est écoulé, on a fait un autre film entre temps. Et puis, on est revenus dans cette communauté Emmaus. On a trouvé notre idée de film. Et on est revenu aussi vers Jean Dujardin. Voilà, ça s’est fait comme ça." "Et on avait envie aussi de retravailler avec Yolande Moreau, avec qui on n’avait pas retravaillé depuis 2-3 films, poursuit Benoit Delépine. Il était temps de remettre ça, de partir à l’aventure avec elle aussi. L’ensemble a fait qu’on a écrit un scénario qui nous permette d’être avec tous ces gens qu’on aime."

samedi 29 septembre 2018

BANDE ANNONCE DE HEUREUX COMME LAZZARO (Récompensé au Festival Italien d'Annecy)

Heureux comme Lazzaro est le nouveau long métrage de la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher. Ce film a reçu le prix du scénario lors du dernier Festival de Cannes. Heureux comme Lazzaro confirme la personnalité singulière de la réalisatrices des Merveilles
Heureux comme Lazzaro raconte l’histoire d’un jeune paysan (Lazzaro). Le jeune homme, d’une bonté exceptionnelle, vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours. Ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le fils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps…
Le jeune Adriano Tardiolo, qui interprète le rôle-titre, trouve ici son premier rôle. Il est entouré entre autres par Alba Rohrwacher (sœur de la réalisatrice et accessoirement l’une des meilleures choses arrivées au cinéma italien de ces dernières années) ou encore Nicoletta Braschi. Heureux comme Lazzaro sortira le 7 novembre en France. Son affiche officielle vient d’être dévoilée.  Heureux comme Lazzaro est le nouveau long métrage de la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher. Ce film a reçu le prix du scénario lors du dernier Festival de Cannes. Heureux comme Lazzaro confirme la personnalité singulière de la réalisatrices des Merveilles.  
Heureux comme Lazzaro raconte l’histoire d’un jeune paysan (Lazzaro). Le jeune homme, d’une bonté exceptionnelle, vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours. Ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le fils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps…
Le jeune Adriano Tardiolo, qui interprète le rôle-titre, trouve ici son premier rôle. Il est entouré entre autres par Alba Rohrwacher (sœur de la réalisatrice et accessoirement l’une des meilleures choses arrivées au cinéma italien de ces dernières années) ou encore Nicoletta Braschi. Heureux comme Lazzaro sortira le 7 novembre en France. Son affiche officielle vient d’être dévoilée.  
Source : Le Polyester
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