C'est l'histoire de Jennifer (Laura Dern)
jeune femme d'une cinquantaine d'année et qui ne s'est jamais mariée et qui est
professeur et journaliste à New York avec son ami allemand. Tout va bien, rien
en apparence ne détermine qu'elle a subi un traumatisme dans son adolescence.
Un jour sa mère omniprésente (Ellen Burstyn) retrouve des
lettres qu'a écrite Jennifer à l'âge de 13 ans qui décrit une relation
amoureuse platoniquement pour elle avec un couple Mrs G. (Elizabeth Debicki) et
son mari Bill (Jason Ritter) qu'elle place assez singulièrement comme ses
parents, mais ce couple n'est pas aussi pur que le cœur de Jennifer, par une
manipulation mentale et non physique , Bill va violer Jennifer et ses autres
copines dans ce centre équestre que dirige le couple, comme une forme de
thérapie pour réussir dans la vie.
Jennifer n'a rien ne dit à personne ni à ses parents ni à ses
amis, car elle était amoureuse de ce couple et surtout de la femme, une sorte
de compassion a fait qu'elle s’est tue pendant des années.
C'est très malsain bien sûr, mais cela existe au quotidien
malheureusement tous les jours à travers le monde, et le blocage psychologique
est incompréhensible pour beaucoup, il suffit de voir des affaires récentes et
c'est pourquoi c'est aussi difficile d'en parler.
Jennifer avec l'aide de sa mère, va essayer de retrouver ce
couple, et arrivera à ses fins, comme un cheveu sur la soupe, c'est peut-être
là que le bât blesse, des années de silence, et une histoire qui s'accélère
sans vraiment qu'on comprenne le comment du pourquoi, il aurait été intéressant
d'avoir le point de vue de plus de personne comme ces deux prédateurs et ce
n’est pas beau à voir.
C'est assez plat dans la réalisation et on s'ennuie assez
souvent car la réalisatrice ne défend pas sa cause bien au contraire quand elle
passe d'une période à l'autre entre acceptation et détestation.
Mal doublée en français c'est une horreur, le film malgré
son casting manque de vérité dans le jeu des acteurs, faisant le minimum
syndical, à l'arrivée on a une réalisatrice qui a mis en image sa thérapie mais
on a un gros manque, surtout que la partie de son adolescence est plus que
malsaine.
Mais si les parents pouvaient voir le film et dialoguer sur
les méfaits de rencontres fortuite mais pas intéressé, le monde en serait
meilleur. Mais de faire comme, c'est plutôt la tendance actuelle et on n’est
pas au bout de l'horreur.
J'aurais préféré un film plus pédagogique que thérapeutiques.
J'aurais préféré un film plus pédagogique que thérapeutiques.
NOTE : 9.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jennifer Fox
Scénario : Jennifer Fox
Production : Sol Bondy, Jennifer Fow, Lawrence Inglee, Mynette Louie, Oren Moverman et Laura Fister
Photographie : Denis Lenoir, ivan Starsburg
Montage : Anne Fabini et Alex Hall et Gary Levy
Costumes : Tricia Gray
DISTRIBUTION
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