Synopsis : La prodigieuse histoire vraie d’une jeune femme surdouée devenue la reine d’un gigantesque empire du jeu clandestin à Hollywood ! En 2004, la jeune Molly Bloom débarque à Los Angeles. Simple assistante, elle épaule son patron qui réunit toutes les semaines des joueurs de poker autour de parties clandestines. Virée sans ménagement, elle décide de monter son propre cercle : la mise d’entrée sera de 250 000 $ ! Très vite, les stars hollywoodiennes, les millionnaires et les grands sportifs accourent. Le succès est immédiat et vertigineux. Acculée par les agents du FBI décidés à la faire tomber, menacée par la mafia russe décidée à faire main basse sur son activité, et harcelée par des célébrités inquiètes qu’elle ne les trahisse, Molly Bloom se retrouve prise entre deux feux
Le film est réalisé par le
célèbre scénariste Aaron Sorkin entre de The Social Network, dont la forme y
ressemble plus que Le Loup de Wall Street sur l'affiche ou je ne vois pas bien
ou est la ressemblance, mais bon il faut bien attirer le spectateur dans les
salles, mais en France cela n'aura pas suffi.
Pour moi le
problème du film est finalement le personnage et son histoire, car qu'est-ce
qu'il y a de plus conventionnel de faire des parties de poker illégales ou pas,
car je lui conseillerai de regarder des films plus intelligents sur la
personnalité des joueurs, ici Michael Cera représente ses stars qui ont été
autour des tables de Molly Bloom comme Léonardo Di Caprio, son copain d'enfance
Tobey Maguire, Ben Affleck, Matt Damon ou encore Macaulay Culkin , et la rumeur
dit que c'est le petit Tobey qui s'en sort le mieux
Donc ces
parties de cartes dont on voit les participants mais jamais le jeu en lui-même
c'est donc uniquement la personnalité de Molly Bloom que le réalisateur nous
propose, mais je ne sais pas pourquoi je ne capte pas et elle ne m'intéresse
pas, la faute à Chastain pas sûr, mais il est sûr que si le personnage que l'on
voit dans 80% des scènes ne vous captive pas c'est difficile.
Le film est en
plus trop long didactique, et bavard mais on est dans un scénario de Sorkin qui
détaille en général ces mots et ses phrases.
Je n’ai pas
aimé du tout la scène entre elle et son père (Kevin Costner) après quelques
lancers de patins sur la glace, couverts de poncifs obligatoires dans les films
américains en forme de Biopic, cela enlève à la personnalité du personnage,
même si certains pensent le contraire.
L'est vrai que
c'est un thème, debout, coucher debout se relever cher aux américains et si on
n’est pas dans le même concept on a du mal à tout accepter et avoir de
l'empathie pour le personnage.
Donc à
l'arrivée un film trop long , bavard et dont le personnage principal a autant
d'intérêt qu'un épisode des Anges de la Réalité (bon je suis méchant mais je
suis vraiment ennuyé).
NOTE : 10.50
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Aaron Sorkin
Scénario : Aaron Sorkin
D'après : Molly Bloom
Musique : Daniel Pemberton
Production : Amy Pascal, Mark Gordon II et Matt Jackson
Costumes : Susan Lyall
Casting : Francine Maisler
Décors : David Wasco
Montage : Alan Baumgartnen , Josh Schaeffer et Elliot Graham
Photographie ; Charlotte Bruus Christensen
DISTRIBUTION
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