Synopsis : Comme tous les jours après son travail, Michael MacCauley (Liam Neeson) prend le train de banlieue qui le ramène chez lui. Mais aujourd’hui, son trajet quotidien va prendre une toute autre tournure. Après avoir reçu l’appel d’un mystérieux inconnu, il est forcé d’identifier un passager caché dans le train, avant le dernier arrêt. Alors qu’il se bat contre la montre pour résoudre cette énigme, il se retrouve pris dans un terrible engrenage. Une conspiration qui devient une question de vie ou de mort, pour lui ainsi que pour tous les autres passagers !
Il faut le voir pour
le croire, et comme une célèbre PUB pour la Samaritaine, il se passe toujours
quelque chose dans ce train de Banlieue, qui ne s'arrête pas toujours quand il
devrait le faire, ou notre héros si on peut dire doit passer de wagon en wagon
, arrive à tomber du train en marche et remonter encore pendant que le train
roule, waouh tout nous est proposé pour qu'on saute de notre fauteuil, autant
pour sortir de la salle, que pour prendre le prochain train, car il s'en passe
quand même beaucoup en 100 minutes.
Ce n’est pas dans ce scénario poussif, avec aucune
vraisemblance qu'on va prendre du plaisir car les personnages passent et le
spectateur trépasse, car finalement on s'en fout de qui peut bien lui en
vouloir, vu qu'on a une scène inutile au début du film dans un bar, on peut
bien penser assez vite, que c'est dans ce petit groupe que tout se passe.
Alors non comme la pub le dit, The Passenger c'est un mix
entre Agatha Christie et Hitchcock ou alors des parodies non encore écrites,
non le film vole aussi bas que les mouettes à la recherche de poisson.
Et ce n’est pas dans la réalisation ou Collet-Serra qui
abuse de numérique a tout va et avec ralenti obsédant que l'on va trouver du
plaisir.
Côté acteur, Liam Neeson se perd dans ce type de films alors
qu'il a une carrière formidable et Vera Farniga et Patrick Wilson on se demande
ce qu'il foute dans le film.
Alors pour les amateurs de film d'action, ou on ne réfléchit
pas pendant une seconde, une seconde de perdu pour le cinéma.
NOTE : 6.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jaime Collet-Serra
Scénario : Byron Willinger et Philip de Blasi
Musique : Roque Banos
Production : Anex Heineman et Andrew Rona
Costumes : Betsy Heimann et Jill Taylor
Casting : Reg Poerscout-Edgerton
Décors : Tina Jones
Montage : Nicolas de Toth
Photographie : Paul Cameron
DISTRIBUTION
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