Toujours assez déçus des films de Leclercq comme L'Assaut,
Braqueurs ou Gibraltar car si même il y a de l'action le scénario de ses films
sont vraiment très faible où cela tient sur une feuille de papier cigarette,
comme celui de Lukas avec JCVD où la production de l'affreux Budapest. Et
celui-ci ne déroge pas à la règle, même si au début sur la plate-forme en
France le film aura un peu de succès par curiosité et par manque de contenus.
Après sa fille de 18 ans Sarah, sa scierie familiale
représente toute la vie de Saïd. Pendant des années, il a difficilement
maintenu à flot son entreprise, principalement pour ses employés, tous des
anciens détenus et jeunes en réinsertion ; jusqu'au jour où l'un d'eux se sert
de la scierie pour cacher une voiture bourrée de drogue. Lorsque le cartel
auquel elle appartient débarque dans la scierie, Saïd et Sarah vont devoir tout
faire pour la protéger. Ils ont un avantage : cette scierie c'est leur terre,
ils en connaissent les moindres recoins…
Outre le manque de scénario, quelle idée de mettre tout le
film dans le sombre, quel intérêt, déjà qu’on n’est pas intéressé, mais si en
plus on ne voit rien cela devient compliqué, peut-être finalement et on ne le
sait pas, le film se passe dans une pièce et qu'ils ont éteint la lumière pour
ne pas voir les non-décors.
Le pauvre Bouajila est tombé dans un traquenard, rôle qui
aurait été comme un gant à JCVD ou Seagal mais pourquoi lui oui pourquoi.
Avec un gimmick qui revient dans ce type de films, les
méchants sont blacks et se feront tuer un par un, Eh oui le monde du cinéma ne
change pas et on joue les vierges effarouchés quand on n’a pas de prix.
Bon c'est dans notre abonnement, mais vous pouvez zapper et
vous avez aussi le droit de ne pas souffrir.
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Julien Leclercq
Scénario : Jérémi Guez et Julien Leclercq
Production : Julien Madon pour Pyramides Films
Montage : Benjamin Courtines
Photographie : Brecht Goyvaerts
Distributeur : Netflix France
DISTRIBUTION
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire