Cinquième film de la réalisatrice, qui nous fait entrer
discrètement dans les pas de l'icône du cinéma européen la sublime Romy
Schneider.
1981. Pour une interview exceptionnelle et inédite sur
l'ensemble de sa carrière, Romy Schneider accepte de passer quelques jours avec
le photographe Robert Lebeck et le journaliste Michael Jürgs, du magazine
allemand "Stern" pendant sa cure à Quiberon. Cette rencontre va se
révéler éprouvante pour la comédienne qui se livre sur ses souffrances de mère
et d'actrice, mais trouve aussi dans sa relation affectueuse avec Lebeck une
forme d'espoir et d'apaisement.
A travers ce film, on retrouve bien les failles de solitude,
malgré son mari et son fils David, mais surtout ses souffrances de mère et de
son métier par toujours facile à assumer.
Nous en tant que spectateur, on regarde le film avec bienveillance,
n'ayant pas connaissance de la vie plus intime de Romy, mais si les torchons
peoples l'ont harcelé pendant des années, lui refusant le bonheur.
Mais sa fille Sarah, n'a pas appréciée le film, car elle
donnait une mauvaise image de sa mère entre autres sur l'alcoolisme, étant sa
fille on la comprend, mais en regardant le film ce n'est la première chose
qu'il m'est venu à l'esprit, plus sa solitude.
Romy Schneider est interprétée par une formidable Marie
Baümer vue dans Les Faussaires auparavant ?
Dans cet hôtel on croisera Vicky Kreps et le toujours
performant Denis Lavant.
moi j'ai bien apprécié même si ce n'est pas toujours
positif, loin de là.
Le film a obtenu 7 Lola (César Allemand) dont meilleur film et actrice
NOTE ; 12.40
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Emily Atef
Scénario : Emily Atef
Producteur ; Karsten Stoter et Sophie Dulac
Musique : Christoph Kaiser et Julian Maas
Décors : Silke Fischer
Montage : Hansjorg Weissbrich
Photographie ; Thomas Kiennast
Durée : 116 minutes
DISTRIBUTION
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