Pages

jeudi 11 septembre 2014

LA PLANETE DES SINGES L'AFFRONTEMENT de MATT REEVES


Il y a bien longtemps, Charles Darwin précisait que l'homme descendait du singe, mais il nous a jamais expliqué comment y remonter. L'un évoluant dans la bestialité, l'autre ne progressant pas de son animalité.
Il certain que les films et la série de la planète des singes, n'est pas fait pour les relions et leurs adeptes, car on y parle d'évolution, mais tout ceux qui pensent qui pensent qu'on ai pas seul sur terre, qui même bête comme soit, on y revient, comme les cosmonautes soviétiques qui pouvaient quitter leur pays à bord de fusée, mais qui atterrissaient dans leurs déserts.

Avant de voir "La planète des singes : l'affrontement", je vous conseille de voir le documentaire "Le projet de Nim", qui résume tout ce qui suit.

Mais rendons à Ceasar ce qui lui appartient pas, en effet Caesar dans les film et série de La Planète des singes, n'est venu que récemment.

Mais commençons par le commencement, et faisons un retour dans le futur, en 1963 Pierre Boulle un écrivain français (déjà auteur du Pont de la Rivière Kwaï, qui parlaient déjà d'envahisseurs et de colonialisme) était à l'origine d'un roman qui 50 ans après, fait encore parler de lui.

Dans le roman, point de d'Astronautes venant du passé, tombant sur un planète inconnu, mais une équipe scientifique siemesque, qui découvrait une planète inconnu, dirigés par des congénères, mais également des humains considérés comme des esclaves, dans ce but ils vont enquêter et essayer de comprendre l'origine de leur monde, dans le livre on retrouvait déjà Cornelius, Zira et Zaieus.

En 1968, Hollywood, s'intéresse à ce livre, et l'adapte à la situation de l'époque, la montée en puissance du nucléaire, la guerre froide, les révoltes étudiantes .... Mais Hollywood change la règle en envoyant dans le futur du passé composé, des astronautes, qui vont revenir aux origines du futur. Il est intéressant de noter que dans ce film, on décolle de base spatiale et ont peut atterrir sur une planète, alors qu'il a fallu un an de plus pour atterrie sur la lune, comme quoi la guerre des médias avec les russes, se passaient également à Hollywood, pour montrer sa puissance au monde.

Cette fois, ce sont les humains, qui découvraient que sur une planète X, des animaux (en l'occurrence des singes) tenaient le pouvoir. Les chimpanzés (pacifiste et humaniste, les gorilles (militaires et amoureux des armes) et Orang Outang (scientifique, qui avaient les idées des premiers, mais mettaient leurs pouvoirs au service des plus fort, les gorilles), une vision de l'époque d'alors, qui n'a pas beaucoup changé.

La fin du film de 1968, est l'une des fins les plus célèbres du cinéma, avec cette statue de la liberté abattue, comme des tours 33 ans plus tard, la folie du monde avait son oeuvre. Pierre Boulle n'avait pas apprécier cette fin, mais finalement avait accepter d'étudier une suite (tenant compte de la fin du film) au film de 1968, mais son scénario resta dans les tiroirs de l'auteur et est gardé par sa famille comme une relique.

Hollywood continua sa logique , du film, au moins jusqu'au 3 (les évadés, qui bouclaient la boucle), mais renvoyait à nos peurs l'arrivée au pouvoirs d'envahisseurs !!!!! On était pas dans une époque très démocrate à Hollywood.

Tim Burton, dans les années 2000, nous servi une bonne daube, et il a fallu attendre 2011, pour que Ruppert Wyatt, reprenne le projet (il est prévu 3 films) , ou il commença avant le film de 1968, et finalement à la fin du 5ème, ou de nouveau des savants arrivent à faire devenir autre chose que des bêtes un singe appelé "Casear", qui petit à petit va prendre sa liberté, et mené la révolution.

Wyatt devait faire le 2ème, mais avait amené son histoire très loin dans le futur, ou les singes dominaient le monde, les producteurs ont eu peur de se saut dans le temps, et confier le projet à Matt Reeves, qui lui voulaient développer le personnage de Caesar, peu usité dans le 1er. Et dans cette suite, tourné dans des décors naturels et non sur des effets spéciaux, c'est la criante vérité des personnages singes, qui est la grande qualité du film, mais aussi don défaut, car cela fout la trouille, car on ne c'est plus qui est réelle, ou numérique. Vous verrez qu'un jour on fera tourner Louis de Funès de nouveau au Cinéma.

Les humains en tête "Jason Clarke" ont moins d'humanité que les primates sous Motion Capture, c'est même à se demander, que les maquillages des humains sont mal fait, et que les primates qui les jouent, viennent des films de Rohmer ou de Godard (pas vraiment Maestro les humains), par contre chapeau aux acteurs singes, car je ne sais pas dans quels macaques Académie ils sont allez les chercher.

L'avantage d'un singe en hiver, c'est qu'il a jamais froid, donc pas d'alcool, mais avec le succès, qui sait drogue et alcool pour tous.

En tous cas Caesar (Andy Serkis) mériterait un Oscar.

On attend le troisième, en espérant qu'on reprenne cette fois l'idée de Ruppert Wyatt, et qu'on se rapproche du livre de Boulle (pas celui de Ford Boyard), voir son scénario inédit.

Note : 20/20 pour Andy Serkis , et 14.90 pour le film.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire