Voilà un projet bien excitant avec le duo Michael B. Jordan
et Jamie Foxx pour le film Just Mercy, le film est basé sur le mémoire éponyme
de Bryan Stevenson dans le New York Times, ce dernier étant avocat de la
défense des droits civils et fondateur de Equal Justice Initiative qui se bat
au nom des prisonniers condamnés à mort pris au piège dans le système
judiciaire américain plus que complexe.
Ce film suit le premier cas traité par Stevenson, celui de
Walter McMillian, un homme noir condamné à mort pour un crime qu'il n'a pas
commis.
C'est Michael B. Jordan qui jouera le rôle principal de Stevenson,
rôle qui à être compliqué mentalement pour l'acteur vu l'aura de l'auteur et un
challenge excitant pour un comédien.
Jamie Foxx lui va interpréter McMillian, et essayer de ne
pas trop faire dans l'empathie et affronter Jordan comme souvent dans les films
de procès aux States.
Au casting également Brie Larson qui va jouer Eva Ansley la
directrice des opérations pour Equa Justice Initiative.
Le film sera réalisé par Destin Daniel Cretton qui avait
réalisé auparavant le très grand film States of Grace et également Le Chateau
de Verre.
On suivra Le combat historique du jeune avocat Bryan
Stevenson. Après ses études à l’université de Harvard, Bryan Stevenson
aurait pu se lancer dans une carrière des plus lucratives. Il décide pourtant
de se rendre en Alabama pour défendre ceux qui ont été condamnés à tort, avec
le soutien d’une militante locale, Eva Ansley. Un de ses premiers cas - le plus
incendiaire - est celui de Walter McMillian qui, en 1987, est condamné à mort
pour le meurtre retentissant d’une jeune fille de 18 ans. Et ce en dépit d’un
grand nombre de preuves attestant de son innocence et d’un unique témoignage à
son encontre provenant d’un criminel aux motivations douteuses. Au fil des
années, Bryan se retrouve empêtré dans un imbroglio de manœuvres juridiques et
politiques. Il doit aussi faire face à un racisme manifeste et intransigeant
alors qu’il se bat pour Walter et d’autres comme lui au sein d’un système
hostile.
Philippe Merlin
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