Synopsis : New York, 1926. Le monde des sorciers est en grand danger. Une force mystérieuse sème le chaos dans les rues de la ville : la communauté des sorciers risque désormais d'être à la merci des Fidèles de Salem, groupuscule fanatique des Non-Maj’ (version américaine du "Moldu") déterminé à les anéantir. Quant au redoutable sorcier Gellert Grindelwald, après avoir fait des ravages en Europe, il a disparu… et demeure introuvable.
Ignorant tout de ce conflit qui couve, Norbert Dragonneau débarque à New York au terme d'un périple à travers le monde : il a répertorié un bestiaire extraordinaire de créatures fantastiques dont certaines sont dissimulées dans les recoins magiques de sa sacoche en cuir – en apparence – banale. Mais quand Jacob Kowalski, Non-Maj’ qui ne se doute de rien, libère accidentellement quelques créatures dans les rues de la ville, la catastrophe est imminente. Il s'agit d'une violation manifeste du Code International du Secret Magique dont se saisit l'ancienne Auror Tina Goldstein pour récupérer son poste d'enquêtrice. Et la situation s'aggrave encore lorsque Percival Graves, énigmatique directeur de la Sécurité du MACUSA (Congrès Magique des États-Unis d'Amérique), se met à soupçonner Norbert… et Tina.
Norbert, Tina et sa sœur Queenie, accompagnés de leur nouvel ami Non-Maj’ Jacob, unissent leurs forces pour retrouver les créatures disséminées dans la nature avant qu'il ne leur arrive malheur. Mais nos quatre héros involontaires, dorénavant considérés comme fugitifs, doivent surmonter des obstacles bien plus importants qu’ils n’ont jamais imaginé. Car ils s'apprêtent à affronter des forces des ténèbres qui risquent bien de déclencher une guerre entre les Non-Maj’ et le monde des sorciers.
Bon je ne sais pas si c'est définitif, j'arrive à être captiver avec les aventures de J.K Rowling que ce soit avec Harry Potter ou ici avec Norbert Dragonneau, peut-être que ce n'est pas du tout de ma génération, et malgré que j'aime tout ce qui touche à la magie et l'illusion (nom oblige) je n'adhère à ces univers, peut-être besoin de psychanalyse, mais je ne m'inquiète pas, la saga a pas besoin de moi.
Oh rien de honteux dans le film, qui fait son effet dans beaucoup de scène, mais si on ne connait pas toutes les maisons et les personnages de Harry Potter, on a bien du mal a apprécié les scènes de révélations, emboîtant les uns dans les autres, oh on y parle de Moldus, un peu de Dumblemore, mais dès le début du film on a l'impression de savoir pleins de choses sur l'histoire, mais moi j'étais au niveau zéro.
On voit déjà apparaître le nom de Norbert Dragonneau (Eddie Redmayne) dans la saga Harry Potter, notamment sur la Carte du Maraudeur détenue pat les jumeaux Weasley dans le livre Le Prisonnier d'Azakaban.
Le film a mon avis manque de rythme même dans les scènes d'actions (ce qui est comble) trouvant que les acteurs sont assez statiques (surtout Redmayne) dont le fond vert des effets numériques, c'est souvent le problème qu'on a de concentration quand on remarque ce genre de petits problèmes, l'axe des yeux des acteurs sont souvent en léger décalage avec le sujet numérique des animaux, c'est un problème de montage, mais il est pour moi gênant.
Oui on nous balance dès le départ les personnages de Dragonneau, Grindewald ou Graves (Colin Farell) sans qu'on sache vraiment d'où ils viennent et ce qu'ils font dans cet univers ou dans le ministère.
La saga a pour titre "Les animaux fantastiques" et je trouvent dommage que ce ne soit pas eux les vraies vedettes du film , et qu'il fasse valoir tous leurs talents de bordeline avec leurs magies.
Le film est beaucoup plus sombre que la saga Harry Potter, probablement ce qu'a voulu J?K Rowling également scénariste du film, mais a pas assez développer l'aspect politique avec ses cases sombres dans ce gouvernement, comme ce personnage de Henry Show qui ressemble à s'y méprendre à un certain Donald Trump, avec un peu de temps dans les prochains films peut-être que le personnage sera développé.
J'ai l'impression que mes deux personnages du films sont légèrement (Dragonneau) ou complètement (Croyance) autiste, et là aussi pas assez développé.
Malgré tout les effets numériques, visuels de ces animaux fantastiques sont plus que spectaculaires et amènent une belle féerie de personnages plus ou moins doter de talents magiques, c'est la meilleure qualité du film, mais un bon brouillon avec les personnages humains qui ont du mal à sortir de leur fond vert.
Deux personnages me plaisent beaucoup celui de Jacob Kowalski (Dan Fogler) qui a le regard à chaque incrédule de tout ce qui lui arrive, lui le moldu et surtout Croyance (Ezra Miller) le plus énigmatique des personnages qui brûlent son esprit dans les fumées de l'au delà, Ezra Miller apporte à son personnage une vision obscure et noire, et quels yeux à Ezra, magnifique et énigmatique.
J'ai plus de mal avec Eddie Redmayne, pour les raisons cité plus haut; à l'arrivée un film avec beaucoup d'effets visuels de grande qualité mais avec un scénario que j'ai du mal à suivre.
NOTE : 13.60
FICHE TECHNIQUE
Réalisation ; David Yates
Scénario ; J.K Rowling
D'après l'oeuvre de : J.K Rowling
Musique ; James Newton Howard
Production : David Heyman, J.K Rowling, Steve Kloves et Lionel Wigram
Production Exécutif ; Tim Lewis, Neil Blair ou Rick Senat
Cascades : Ami Verge
Effets Visuels ; Tim Burke et Christian Manz
Costumes ; Colleen Atwood
Casting ; Fiona Weir
Décors : Anna Pinnock et Stuart Craig
Directeur Artistique ; David Allday
Montage ; Mark Day
Photographie ; Philippe Rousselot
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