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dimanche 7 juillet 2019

* 11.30 - MON AVIS SUR LA 9ème VIE DE LOUIS DRAX D'ALEXANDRE AJA

La 9ème VIE DE LOUIS DRAX est un Film Fantastique de Alexandre Aja.

Alexandre Aja est le fils de Alexandre Arcady (le petit garçon blond baptisé dans Le Grand Pardon c'est lui) après voir fait ses débuts sur notre sol, il a trouvé sa voix dans le cinéma de genre aux States, on lui doit en autre Mirrors, La Colline a des yeux, Horns et non espère à la rentrée Crawl au Festival de Deauville.

Sur un scénario de Max Minghella d'après l'œuvre éponyme de Liz Jensen, Aja nous emmène dans l'esprit d'un jeune enfant qui connait la vérité sur un accident qui le fait clouer dans le coma depuis longtemps.


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On peut dire que le jeune Louis Drax (Ayden Longworth) est un poissard chanceux, dès qu'il y a un obstacle dangereux qui se dresse devant lui, il ne peut l'éviter depuis sa naissance et pas son temps à l'hôpital, et cela s’est révélé 8 fois. Mais la 9ème fois Louis frôle la mort dans un accident. Bien décidé à connaître les circonstances, le Docteur Allan Pascal (Jamie Dorman) plonge dans une enquête qui va l'amener aux frontières du réel et du fantastique, au grand dam des parents Peter et Natalie de Louis (Aaron Paul et Sarah Gordon) pas super emballer de remuer le passé. 

Le film n'est pas sorti en France en étant sorti directement en VOD pour des problèmes politiques commerciales ? ou parce que les frileux distributeurs français ont été surpris du choix du genre De ce film, Aja étant plus habitués dans de films violents et horrifiques. Mais les voix des distributeurs sont insondables.

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Ici on suit ce jeune garçon qui se paient quand même un accident par an, et à 9 ans son destin est entre les mains de personnages aussi perturbants qu'inutiles pour son bien, un psychiatre (Oliver Platt), une inspectrice (Molly Parker) et bien un psychiatre (Jamie Dorman) qui vont devoir entrer au plus profond de l'âme et des souvenirs e Louis, même si celui-ci les mélanges allégrement dans son imaginaire en espérant par exemple que le psy tombe amoureux de sa mère.

Même si on commence comme un Teen Movies, le film part assez rapidement dans ce monde fantastique à la limité de l'irréel.

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Le film tient en haleine tout du long, avec des personnages bien huilées qui nous interrogent sur notre subconscient et de ce qu'il comprend, comme dans les rêves.


La fin est un peu téléphonée, mais cela reste un film passionnant sur la plus grande partie, dommage qu'il ne soit pas sorti en France.

NOTE : 11.30



FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Alexandre Aja
Scénario : Max Minghell
D'après : Liz Jensen
Photographie : Maxime Alexandre
Production : Alexandre Aja, Tim Bricknell, Max Minghella et Shawn Williamson
Directeur Artistique  : Marc Saez

DISTRIBUTION

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