Le Réalisateur américain qui avait dit qu'il arrêtait sa
carrière, continu malgré tous ses expériences cinématographiques et notamment
technique, une nouvelle fois après Paranoïa, il rentabilise l'achat de son IPhone
7 en nous pondant un nouveau film qui si techniquement il assez intéressant
mais sur le fond il n'amène rien et n'a à mon point de vue que peu d'intérêt.
L'agent sportif Ray Burke (André Holland) en plein blocus de
la ligue professionnelle de basket, se retrouve au centre d'une querelle
opposant joueurs et officiels. Alors que sa carrière est en jeu, Ray voit
grand. Avec seulement 72 heures pour trouver un plan, il parvient à défier les
meilleurs joueurs grâce à une faille qui pourrait changer à tout jamais
l'histoire du basket américain. Finalement, qui est le vrai maître du jeu ?
Si la technologie de l’IPhone permet une fluidité dans
l'image et dans la réalisation, le monde du basket m'est complètement étranger
et ne m'intéresse pas beaucoup, mais Sodenbergh peut intéresser les amateurs du
ballon orange et les coulisses du monde de la NBA, fait de fric et de paillettes,
mais dont l'image est assez mal exploitée ici, un film à la gloire de la NBA
même en se retroussant les manches pour montrer ses défauts (petit de surcroît).
Je trouve le film très bavard avec les interviews qui
entrecoupent les scènes de vrais joueurs de la NBA, mais sauf si vous être
vraiment fan du monde du Basket et à un degré moindre de Soderbergh, le film va
vous laissez froid, en tous cas Netflix a réussi un nouveau coup, car un film
de Soderbergh même mineur reste un événement, pas sûr que les salles de cinéma
se seraient précipitées pour l'avoir dans leurs réseaux.
NOTE : 7.50
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Steven Soderbergh
Scénario : Tarell Alvin McCraney
Production : Joseph Malloch, Andre Holland, Ken Myer et Rob Striem
Casting : Carmen Cuba
Montage : Steven Soderbergh
Photographie : Steven Soderbergh
DISTRIBUTION
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