Un début de Festival Américain de Deauville 2018 un peu
timide avec de soleil pourtant et les retrouvailles des copains et des habitués
du Festival depuis maintenant 14 ans pour moi après maintes péripéties.
Sur les films présentés en attendant les avis de Galveston,
pas de gros coup de cœur apparemment, le film d'Ouverture Le Secret des Kennedy
les spectateurs ont trouvés le sujet intéressant mais filmé comme un Téléfilm,
donc sans surprise que le film soit pas sortie en France, seul satisfaction
pour le public , le très sympathique et qui a joué le jeu avec plaisir et
sourire, l'acteur Australien Jason Clarke qui a rappelé son amour de la France,
un des premiers Festival qui l'a invité et aussi ses relations intimes avec la
France, son épouse étant française (l'actrice Cécilia Breccia) comme ses
enfants.
Hier le film Friday's Child si le film a été intéressé le
public, il lui reproche toutefois son style copier/coller de Terence Malick
dont il fait référence à chaque plan, mais le jeune et talentueux Tye Sheridan
(Ready Player One) à impressionné par son jeu. Tye Sheridan qui a également
joué le fond le jeu avec les fans qui l'attendaient (mais je m'attendais à beaucoup
plus, peut-être la tendance) pour la deuxième fois à Deauville et a joué la
présence corporate au film de Mélanie Laurent à défaut du cinéma français. Le
réalisateur A.J Edwards était également présent.
L'autre film American Animals à bien faire rire la salle, un
peut-être un Prix Public mais certainement pas un prix du Jury. Le réalisateur
Bart Layton était présent.
Pour le moment le jury joue le jeu facilement, malgré
toujours la pression des attachés de presse et de la sécurité qui ne nous lâche
pas la grappe.
Le Soir Mélanie Laurent est venu présenter son film
Galveston avec son actrice Elle Fanning pour lequel le Festival a remis un Prix
Nouvel Hollywood, las un tapis tronqué malgré le temps passé à se griller
dessus, ou avec beaucoup de retard au démarrage, les deux actrices ont fait
plus de photos avec les professionnels qu'avec les Fans. Mais les dures lois
des Festivals.
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