"Nous sommes en 2013, un jeune couple d'installe dans une belle maison provençale hantée par le fantôme d'une petite fille, morte en 1969 dans d'étranges circonstances. En 1986, une autre famille habite cette même maison et est confrontée à l'inquiétante amitié entre leur fille et le fantôme. Que s'est-il vraiment passé en 1969, comment Elise a-t-elle pu se noyer ? sa mère ne se contente pas de la thèse accidentelle."
Le Téléfilm est le résultat de la mode actuelle ou en France on adapte des séries ou des concepts étrangers, ce qui n'ai pas bon signe ou sur la qualité des séries originales françaises (à part Canal Plus et Arte) ou le bon vouloir des scénaristes français.
On va me dire qu'encore je m'en prends au série française et notamment celle de TF1, mais il faut bien reconnaître qu'il le font quand même exprès dans l'incohérence.
Cohérence par contre quand TF1 rachète la boite de production de Plus Belle La Vie , elle teste ses spectateurs avec ce type de série, qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la série de FR3, car le scénario malgré qu'il se passe sur 3 époques et aussi mince qu'un sandwich SNCF la qualité avec, et le jeu des acteurs sonnent aussi faux que ceux de La Famille Bélier.
Mais apparemment TF1 peut s'en foutre car la chaîne obtient des taux important.
Outre le fait que les comédiens jouent comme des bûches , il y a quand même une incohérence dramatique pour suivre la série, est l'incohérences d'âges entre les périodes, cela rend tout simplement la vie difficile au spectateur pour suivre les prétendants dans l'espace temps digne des Visiteurs en moins drôle.
Il y a de scènes complètement débile de réalisme, notamment celle de la petite fille qui voit des gens morts (oui oui on est dans le 6ème sens, mais là on y perd) ou ces ados qui se croient dans Profs pour jouer aussi mal.
Voilà cette série réchauffée ne me passionne pas du tout c'est le moins qu'on puisse dire, même Valérie Kaprisky.
Les Téléspectateurs de TF1 ont une excuse, ils n'ont qu'un bouton sur leur télé.
Y aurait-il un effet Tuche 1 & 2 avec la présence de Théo Fernandez le jeune héros de ces deux films.
FICHE TECHNIQUE
Réalisation ; Alexandre Laurent
Scénario ; Elsa Marpeau et Marie Vinoy d'après The Oaks créé par David Schulner
Décors : Hervé Gallet
Photographie ; Jean-Philippe Gosselin
Son ; Thomas Guytard et Joseph de Laâge
Montage : Emmanuel Douce et Jean de Garriques
Musique ; François Liétout
Production : Iris Bucher
DISTRIBUTION
1969
- Bruno Bénabar : Jean-Pierre Letilleul
- Julia Piaton : Ariane Letilleul
- Stéphane Freiss : Raymond Letilleul
- Sophie Mounicot : Suzanne Letilleul
- Armelle Deutsch : Sylvaine Enthoven
- Mathieu Simonet : Alain Godot
- Sidwell Weber : Élise Letilleul
- Anna Hugli : Catherine Enthoven
- Augustin Legrand : Jules Lasserre
- Isaline Ponroy : l'institutrice
- Régis Lux : Christian
- Guillaume Dolmans : Laurent Continot
- Florence Coste : Marie Sévérac
- Andrée Damant : Madame Rambach
- Erwann Valette : le curé
- Christophe Gaultier : le gendarme
- Sophie Chenko : l'employée de mairie
- Julie Méjean : Paulette
- Martine Amisse : Solange
1986
- Cassiopée Mayance : Valentine Marsy
- Hélène de Fougerolles : Françoise Marsy
- Bruno Salomone : Philippe Marsy
- Théo Fernandez : Rémi Marsy
- Mehdi Meskar : Yanis Ramza
- Armelle Deutsch : Sylvaine Enthoven
- Pauline Cheviller : Catherine Enthoven
- Lucie Lucas : Christelle Bordat, l'assistante sociale
- Vanessa Valence : la pédopsychiatre
- Philippe Van den Bergh : le médecin
- Erwann Valette : le curé
- Raphaël Ferret : le gendarme
- Mourad Bouhdiba : le père de Yanis
- Yanzcko Romba : le pompier
2015
- Julie de Bona : Julie Ramza
- Samir Boitard : Yanis Ramza
- Paméla Bonenfant : La prostituée
- Valérie Kaprisky : Catherine Enthoven
- Marie-Christine Adam : Ariane Letilleul
- Stephan Guérin-Tillie : Rémi Marsy
- Ludovic Destais : L'alcoolique
- Jacques Perrin : Alain Godot
- Julie Kpéré : Zoé
- Mickael Marie : Roufton
- Olivier Cabassut : le conservateur des archives
- Jacques Allaire : le graphologue
- Belinda Portoles : la sage-femme
- Niseema Theillaud : Marie Sévérac (Godot)
- Thierry Chauvin : L'abruti
- David Marchal : l'urgentiste
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