Mais qu'est devenue... Madeleine Stowe ?
Avec sa beauté pure, sa peau diaphane, sa chevelure ébène et son jeu habité tout en retenu, Madeleine Stowe a fait les beaux jours du cinéma hollywoodien des années 90, étant aussi à l'aise dans le cinéma indépendant (Short Cuts), que dans les films plus épiques (Le Dernier des Mohicans) et dans des productions à gros budgets (L'Armée des 12 singes), s'imposant dans tous les genres et brillant pendant une bonne dizaine d'années dans les productions les plus en vues. Mais depuis le passage à l'an 2000, c'est principalement sur le petit écran que l'on peut retrouver la jolie brune, au grand dam des cinéphiles.
Née le 18 août 1958 à Los Angeles, aux États-Unis, Madeleine a grandi dans une fratrie de trois enfants dont elle est l'aînée. Sa maman, Mireya, est originaire du Costa Rica, et son père, Robert Stowe, était un ingénieur civil issu d'une famille pauvre de l'Oregon. Très vite attirée par le milieu artistique, c'est d'abord la musique qui séduit la jeune Maddie.
Elle prend ainsi des cours de piano dès son plus jeune âge et aspire à devenir pianiste concertiste, spécialisée dans les plus grandes œuvres du classique. Mais des études de cinéma et un stage de théâtre à l'adolescence vont lui ouvrir de nouveaux horizons.
Elle prend ainsi des cours de piano dès son plus jeune âge et aspire à devenir pianiste concertiste, spécialisée dans les plus grandes œuvres du classique. Mais des études de cinéma et un stage de théâtre à l'adolescence vont lui ouvrir de nouveaux horizons.
C'est effectivement lors d'un atelier dans un théâtre de Beverly Hills que la belle Madeleine attrape le virus de l'art dramatique. Belle et brillante sur scène, elle va rapidement intégrer une troupe locale et jouer sur des scènes californiennes.
Comme toute comédienne de L.A. qui se respecte, Madeleine prend un agent et court alors les castings entre deux représentations.
On la verra ainsi dès la fin des années 70, alors qu'elle a 20 ans, dans des épisodes de séries comme Spider-Man ou Baretta, et des téléfilms comme The Nativity ou la mini-série de NBC The Gangster Chronicles qui marquera sa rencontre avec l'acteur américain Brian Benben qu'elle épousera en 1982.
Comme toute comédienne de L.A. qui se respecte, Madeleine prend un agent et court alors les castings entre deux représentations.
On la verra ainsi dès la fin des années 70, alors qu'elle a 20 ans, dans des épisodes de séries comme Spider-Man ou Baretta, et des téléfilms comme The Nativity ou la mini-série de NBC The Gangster Chronicles qui marquera sa rencontre avec l'acteur américain Brian Benben qu'elle épousera en 1982.
Après quelques nouvelles apparitions dans des séries au début des années 80 (La Petite Maison dans la Prairie), Madeleine se tourne définitivement vers le cinéma avec la comédie policière Étroite Surveillance, dans lequel elle joue l'atout charme entre Richard Dreyfuss,Emilio Estevez, et Aidan Quinn.
Nous sommes en 1988 et tout va alors aller très vite pour Madeleine qui s'apprête à devenir l'une des plus grandes actrices des années 90. La jolie brune va en effet enchaîner lors de la première moitié de la décennie : Vengeance de Tony Scott avec Kevin Costner, The Two Jakes de et avec Jack Nicholson, Obsession Fatale avec Kurt Russell et Ray Liotta, Le Dernier des Mohicans de Michael Mannavec Daniel Day Lewis, Short Cuts de Robert Altman avec tout le cinéma américain dedans, ou encore L'Armée des 12 singes de Terry Gilliam avec Bruce Willis et Brad Pitt.
Nous sommes en 1988 et tout va alors aller très vite pour Madeleine qui s'apprête à devenir l'une des plus grandes actrices des années 90. La jolie brune va en effet enchaîner lors de la première moitié de la décennie : Vengeance de Tony Scott avec Kevin Costner, The Two Jakes de et avec Jack Nicholson, Obsession Fatale avec Kurt Russell et Ray Liotta, Le Dernier des Mohicans de Michael Mannavec Daniel Day Lewis, Short Cuts de Robert Altman avec tout le cinéma américain dedans, ou encore L'Armée des 12 singes de Terry Gilliam avec Bruce Willis et Brad Pitt.
Entre 1990 et 1995. Cinq années, c'est le temps qu'il aura fallu à Madeleine pour tourner tous ces films. Son oeuvre.
Car depuis, si l'actrice est devenue maman - elle a donné naissance à sa fille, May Theodora, en 1996 -, ce changement dans sa vie a quasiment signé la fin de sa carrière sur grand écran, puisque depuis le milieu des années 90, c'est surtout à la télévision que l'on a pu la retrouver.
En effet, hormis quelques apparitions dans des productions secondaires (Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell, Nous étions soldats), c'est sur petit écran que nous avons pu admirer sporadiquement la jolie brune, comme dans les séries Raines et surtout, Revenge, dans laquelle elle incarne aujourd'hui et depuis quatre saisons le personnage de Victoria Grayson.
Car depuis, si l'actrice est devenue maman - elle a donné naissance à sa fille, May Theodora, en 1996 -, ce changement dans sa vie a quasiment signé la fin de sa carrière sur grand écran, puisque depuis le milieu des années 90, c'est surtout à la télévision que l'on a pu la retrouver.
En effet, hormis quelques apparitions dans des productions secondaires (Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell, Nous étions soldats), c'est sur petit écran que nous avons pu admirer sporadiquement la jolie brune, comme dans les séries Raines et surtout, Revenge, dans laquelle elle incarne aujourd'hui et depuis quatre saisons le personnage de Victoria Grayson.
Installée avec son mari (depuis trente-trois ans) et leur fille de 18 ans au Texas, Madeleine vit sans doute la vie paisible qu'elle souhaitait. Sans peut-être imaginer un seul instant qu'elle manque terriblement à une certaines frange de cinéphiles.
Come, back.
Come, back.
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