Et assez bizarrement, on en parle en 2015, (et pas souvent entre) , comme en 1968, ou on a pris en otages le Festival de Cannes.
Le Cinéma a été créé il y a 120 ans pour donner des rêves au gens, qu'ils soient vrais ou faux, et faire oublier le quotidien, alors qu'aujourd'hui de plus en plus le cinéma est une tribune politique, et bien moi et c'est mon point de vue uniquement je n'adhère pas, je ne vais pas au cinéma pour refaire le monde à chaque film, je ne vois même dans des films d'animations des thèmes politiques, ou alors je suis pas assez fin; Si ont veut aider les gens , on se retrousse les manches et on y va, mais on ne glousse sur leur misère sur l'écrans (comme si on voyait un film de science-fiction sur l'écran quand on découvre qu'il y a de la misère dans le monde)
Je préfère garder mon âme d'enfance et de voir le cinéma comme j'en ai envie, danser sur West Side Story, vivre de Grands espaces et d'aventures comme Il était une fois en Amérique, ou réfléchir et pleurer devant Wild Boy The Road ou Mommy, pour moi c'est cela mon cinéma, diversifié, sans chercher à sa voir si il est français ou turque, ne pas voir à chaque fois que je vois une image une connotation x ou y.
Il y a un an et demi, j'ai créé mon blog, comme on fait son journal , uniquement pour le plaisir, faire connaître des films, donner un avis épistolaire devant des films que j'ai vues récemment et donner des informations que je lis sur des dizaines que je fait partager, mon but n'est que là, le plaisir. A aucun moment je prétends être journaliste, ou même bloggeur, je ne profite de rien, je n'ai pas d'amis sérieux dans le milieu, le plaisir, le plaisir, le plaisir.est mon seul but.
Oui je n'aime pas daubes françaises qui croient faire du cinéma, ou ses films hollywoodiens fabriqués à la chaîne sans intérêt et vendu avec une boite de pop-corn, entre les deux il y a encore du cinéma, mais pour combien de temps.
Oui dans ce cas, je n'ai pas aimé le palmarès, non pas à cause des films que je n'ai pas tous vus, je n'ai pas une connaissance assez perverses de ce milieu, mais il était évident que celui ci est dirigé vers une orientation politique, et ce dès le début de la compétition (en écartant pas exemple 3 souvenirs de ma jeunesse) , écarter du palmarès Sicario qui avait trop de connotation avec tous les membres du jury, et de ne pas mettre de film Italien au palmarès et un seul film asiatique, mais trois films français, dont Vincent Lindon en lieu et place de Michael Caine, John Turturro ou Michael Fassbender, cela fait tâche au moins cinématographiquement.
Donnez un prix à Emmanuelle Bercot (faudra qu'on m'explique) et pas le donner à Cate Blanchett, je suis quand même sur le cul.
Peut-être que ce festival était de petite qualité finalement, et que le moins mauvais l'a emporté, mais la connotation politique est évidente, à voir les politiques sauter dessus comme sur Kowelsi.
Oui je n'ai pas vus tous les films, c'est pas le fond que je critique , mais la forme politique qui m'a ennuyée.
Maintenons revenons au cinéma, au vrai celui que j'aime avec bientôt Vice-Versa.
A la Poursuite de Demain (Tommorowland) n'est-il pas le contraire au niveau du titre de Retour vers le futur.
Mais au niveau du scénario, on est dans la même veine.
Frank Walker est un jeune garçon qu'il y a 50 ans va découvrir par accident, un nouveau monde très avancé techniquement où les gens semblent tous heureux.Cela rappelle évidemment DisneyWorld (dont la maison mère est producteur du film), cette partie la du film semble un peu poussif.
50 ans plus tard Casey Newton, une jeune ado débrouillard (Brittany Robertson) et férue de technologie nouvelles et d'aventures nouvelles se voit remettre par une autre ado (sans qu'elle le sache), un pin's à l'image de Tomorrowland. Et c'est à partir de là que le film démarre , car Casey en touchant le pin's va entrer dans ce monde imaginaire qu'avait connu Franck Walker, mais le pin's à une vie limité et elle va donc revenir dans son monde.
Ursula, la jeune ado en question est à la recherche de Casey et essayer de récupérer le pin's en assayant de fraterniser, sauf qu'Ursula est un robot venu de Tomorrowland et tous ne ce pas comme elles veulent (très bonne partie du film). En général , les jeunes ados de ce type sont assez agaçantes , et cette fois on a eu de la chance.
Avant la rencontre entre Casey et Ursula , on se retrouve dans une scène digne de Men in Black, du plus bel effet, puis suivie d'une sorte de Thelma et Louise au niveau adolescence, pour enfin rencontrer Georgesssssssss en l'occurence Frank Walker, 50 ans après reclus dans une forêt avec ses secrets, ses pin'set qui a tout prévu (comme Géo) au cas où, dans un bric-à-brac digne du Doc dans Retour vers le futur.
Eux mêmes poursuivis par le FBI sourires aux lèvres, tout droit venu de X-Files. Georges Clooney n'a pas le rôle du siècle, mais il fait son passe avec sa présence emblématique.
On aura le droit à une séquence dignes de Jules Verne, avec une Tour Eiffel qui se coupe en deux, et qui sert de pas de tir à une fusée qui va les emmener sur Tomorrowland.
Bien sûr , il y a beaucoup de références au film d'aventures et le plaisir est partagé, c'est pas Inception (celui-là on le comprend) et on laisse allez notre âme de gosse voyager dans le temps et l'espace.
Note : 15.00
Trois souvenirs de ma jeunesse de Arnaud Desplechin :
Cette histoire est vraie, puisque je l'aie inventée, cette phrase célèbre de Boris Vian, correspond bien au film de Arnaud Desplechin, car dans son film préquelle de Comment je me suis disputé ou ma vie sexuelle, Desplechin raconte une histoire (et contrairement à beaucoup de réalisateurs qui nous compte avec leur vie, dont on se fout) Desplechin s'amuse à nous raconter une histoire, une histoire et encore une histoire.
Car même dans le film, on se demande si le héros également nous raconte pas une histoire, avec la voix du narrateur Mathieu Almaric.
L'histoire est celle de Paul Dedalus aujourd'hui (le personnage 20 ans après de Comment je me suis disputé ou ma vie sexuelle), qui travaille au Quai d'Orsay et ce fait interroger par la DGSE par qu'il ont retrouver son corps, oui car pour la DGSE il est mort, et Paul Dedalus (Mathieu Almaric) face à André Dussolier (joli duo d'acteurs) va lui raconter une histoire que l'on voit que dans les films d'espionnage, est-elle vrai ou inventer ?
On retrouve Paul Dedalus avant 1989 principalement (avec une incursion dans sa très jeune jeunesse, ou il déteste son père et sa mère mourant ne s'occupe peu de lui).
Avec un copain, il va faire une mission d'espionnage digne d'un film de John Le Carré, et garder le secret toute sa vie.
Comment dans le premier opus, Dedalus aime les femmes et le sexe, et malgré son jeune âge c'est ce qui veut, un peut fleur bleue, mais qui va tomber sur une jeune fille, qui a au temps d'amants que de jour dans l'année.
Desplechin nous raconte cette adolescence surpris par la chute du mur , ébouriffante , joyeuse et amoureuse, oui bien sûr Dedalus et le Antoine Doisnel de Desplachin.
Le film est frais comme un gardon, grâce au comédien, et après Rod Paradot, on découvre une nouvelle perle Quentin Dolmaire dont c'est le premier film et qui vient du cours Florent, par contre moins catégorique pour Lou-Roy Lecollinet trop académique et récitant son cours.
Beaucoup de plaisir avec son film , qui amène une fraîcheur dans cette liste de film Cannois qui nous fond chier, celui-là me plait vraiment.
Note : 16.00
La tête haute de Emmanuel Bercot avec Rod Paradot, Catherine Deneuve, Benoit Magimel et Sarah Forestier.
Oui, je met en tête Rod Paradot, car sans le personnage de Malony et du jeune acteur (Rod Paradot) le film n'aurais pas la même saveur, car Malony attire autant la lumière que les ténèbres, pour un film qui malgré le thème est optimiste.
Oui quelques grincheux, en lisant les premiers propos sur Twitter des journalistes en sortant de la séance de presse hier matin, le compare trop à Mommy, même si le personnage adolescent du film n'est pas sans rappeler celui du film de Xavier Dolan, sauf que dans le Dolan, la gamin est malade, alors qu'ici Malony est habité d'une rage (qui n'est pas expliqué d'ailleurs) , puis la mère est protectrice dans le Dolan, alors que là sa mère est probablement de son comportement agressif, tellement elle se comporte comme les gamins de son quartier.
Au départ du film, la réalisatrice film Malony à hauteur d'enfant quand il a 6 ans, il est dans le bureau du juge (Catherine Deneuve) mais pour sa mère (Sarah Forestier) ou la justice se demande si elle peut garder ces enfants avec son comportement proche de la délinquance, ou le rôle de mère elle l'a oublié dès la naissance.
Malony on le retrouve 10 ans plus tard , on il se retrouve en garde à vue pour des faits de délinquance mineure ou il devra s'expliquer à son éducateur. Mais eu lieu de discuter Malony va lui défoncer la tête, car il a pas envie d'entendre quoi que soit , sans vraiment comprendre le but des uns et des autres.
Evidemment avec ce fait, il se retrouve dans le bureau de la juge, qu'il avait vu 10 ans plus tôt, mais là le centre du monde c'est lui, et là aussi il n'accepte pas qu'on discute avec lui, et insulte la juge sans se rendre compte des conséquences, comme de plus un homme jeune se tient de la coin de pièce, il l'agresse dès le début, pourtant il devra cohabiter avec lui, car il est son nouveau éducateur, les premiers moments seront très difficiles, entre cet ado vigoureux et cet éducateur qui ne semble pas si simple que cela (a-t-il pas été récupéré et sauvé par la juge ? une scène de tutoiement entre les deux semble le préciser.
Malory est enfermé (en tous cas pour lui) dans un centre, et cohabiter tant bien que mal avec éducateurs et pensionnaires, lors d'une sortie en boîte il va rencontrer une fille style garçon manquée (qui laisse sujet à ambiguïté) qu'il va violé dans un premier temps, puis l'aimer (ah les femmes,) puis lui faire un bébé plus tard.
Entre temps, on assistera à des fulgurances de violences de Malony sans raison apparente, même son éducateur sera emporter la tempête, qui confirme ce que je dis plus haut.
A tort, on compare le film à Mommy, parce que surtout Dolan à un style inimitable et imbattable, alors qu'Emannuelle Bercot est plus dans la caméra coup de poing proche des acteurs , mais dans les deux cas on a faire à un scénario solide et des dialogues percutant bien dans la bouche des acteurs, Rod en premier pour se gamin venu de la banlieue de Stains, qui a phrasé très particulier qui colle bien à son personnage.
Rare peut-on voir dans un film de la violence sur des femmes enceintes par un ado, Bercot ose le faire, elle dans la logique de son scénario de Polisse de Maiwen. Et puis on a des moments de tendresse, qui fait que j'ai dit au début que c'est optimiste aussi, car ce garçon qu'on aimerait détesté on a de l'empathie au fur et à mesure , et puis quelques fulgurances de positif, des doigts qui se croisent, une carte postale avec une écriture difficile, et un "Je t'aime" inattendue qui va nous bouleverser.
Concernant les acteurs, en passant vite sur Sarah Forestier pourtant excellente, dont on l'a affublée de dents jaunes et d'un langage châtié sans compter son look Catherine Deneuve retrouve un rôle digne de son statut, son dernier grand rôle étant celui de Elle s'en va de Emmanuelle Bercot.
Puis enfin on découvre Benoît Magimel, qui n'a jamais été aussi bon depuis le film de Haneke, qui fait que je le sort de ma liste des têtes de turcs, est-il comme le bon vin, il va vieillir en bien.
Et puis et surtout il y a Rod Paradot-Baquié, qui pulvérise l'écran de son talent, un diamant brut même q'il faudra encore le polir, qui entre dans un monde de strass et de lumières, on espérant qu'il se fasse pas bouffer par les hyènes qui traînent dans ce milieu.
Si les acteurs sont à ce niveau c'est grâce à lui essentiellement, car comment être en dessous de ce garçon qui éclabousse de son talent, sans lui porter la poisse il peut préparer un noeud pape pour février prochain.
En plus le garçon a l'air très sympathique, beaucoup de tchatch , de bagout, de l'humour et les pieds sur terre et la tête haute.
Et en plus il a de la répartie, quand on l'interroge sur ce film, il préciser qu'il s'en souviendra toute sa vie, même si il a alzheimer.
Bien sûr c'est pas Mad Max, Mais Emannuelle Bercot nous sert une nouvelle fois un film plein de justesse, même si la mise en scène n'est pas le meilleur du film, mais la côte du film est haute
Un conseil allez voir Mad Max et aussi La Tête Haute.
Note : 18.00
Oui, je met en tête Rod Paradot, car sans le personnage de Malony et du jeune acteur (Rod Paradot) le film n'aurais pas la même saveur, car Malony attire autant la lumière que les ténèbres, pour un film qui malgré le thème est optimiste.
Oui quelques grincheux, en lisant les premiers propos sur Twitter des journalistes en sortant de la séance de presse hier matin, le compare trop à Mommy, même si le personnage adolescent du film n'est pas sans rappeler celui du film de Xavier Dolan, sauf que dans le Dolan, la gamin est malade, alors qu'ici Malony est habité d'une rage (qui n'est pas expliqué d'ailleurs) , puis la mère est protectrice dans le Dolan, alors que là sa mère est probablement de son comportement agressif, tellement elle se comporte comme les gamins de son quartier.
Au départ du film, la réalisatrice film Malony à hauteur d'enfant quand il a 6 ans, il est dans le bureau du juge (Catherine Deneuve) mais pour sa mère (Sarah Forestier) ou la justice se demande si elle peut garder ces enfants avec son comportement proche de la délinquance, ou le rôle de mère elle l'a oublié dès la naissance.
Malony on le retrouve 10 ans plus tard , on il se retrouve en garde à vue pour des faits de délinquance mineure ou il devra s'expliquer à son éducateur. Mais eu lieu de discuter Malony va lui défoncer la tête, car il a pas envie d'entendre quoi que soit , sans vraiment comprendre le but des uns et des autres.
Evidemment avec ce fait, il se retrouve dans le bureau de la juge, qu'il avait vu 10 ans plus tôt, mais là le centre du monde c'est lui, et là aussi il n'accepte pas qu'on discute avec lui, et insulte la juge sans se rendre compte des conséquences, comme de plus un homme jeune se tient de la coin de pièce, il l'agresse dès le début, pourtant il devra cohabiter avec lui, car il est son nouveau éducateur, les premiers moments seront très difficiles, entre cet ado vigoureux et cet éducateur qui ne semble pas si simple que cela (a-t-il pas été récupéré et sauvé par la juge ? une scène de tutoiement entre les deux semble le préciser.
Malory est enfermé (en tous cas pour lui) dans un centre, et cohabiter tant bien que mal avec éducateurs et pensionnaires, lors d'une sortie en boîte il va rencontrer une fille style garçon manquée (qui laisse sujet à ambiguïté) qu'il va violé dans un premier temps, puis l'aimer (ah les femmes,) puis lui faire un bébé plus tard.
Entre temps, on assistera à des fulgurances de violences de Malony sans raison apparente, même son éducateur sera emporter la tempête, qui confirme ce que je dis plus haut.
A tort, on compare le film à Mommy, parce que surtout Dolan à un style inimitable et imbattable, alors qu'Emannuelle Bercot est plus dans la caméra coup de poing proche des acteurs , mais dans les deux cas on a faire à un scénario solide et des dialogues percutant bien dans la bouche des acteurs, Rod en premier pour se gamin venu de la banlieue de Stains, qui a phrasé très particulier qui colle bien à son personnage.
Rare peut-on voir dans un film de la violence sur des femmes enceintes par un ado, Bercot ose le faire, elle dans la logique de son scénario de Polisse de Maiwen. Et puis on a des moments de tendresse, qui fait que j'ai dit au début que c'est optimiste aussi, car ce garçon qu'on aimerait détesté on a de l'empathie au fur et à mesure , et puis quelques fulgurances de positif, des doigts qui se croisent, une carte postale avec une écriture difficile, et un "Je t'aime" inattendue qui va nous bouleverser.
Concernant les acteurs, en passant vite sur Sarah Forestier pourtant excellente, dont on l'a affublée de dents jaunes et d'un langage châtié sans compter son look Catherine Deneuve retrouve un rôle digne de son statut, son dernier grand rôle étant celui de Elle s'en va de Emmanuelle Bercot.
Puis enfin on découvre Benoît Magimel, qui n'a jamais été aussi bon depuis le film de Haneke, qui fait que je le sort de ma liste des têtes de turcs, est-il comme le bon vin, il va vieillir en bien.
Et puis et surtout il y a Rod Paradot-Baquié, qui pulvérise l'écran de son talent, un diamant brut même q'il faudra encore le polir, qui entre dans un monde de strass et de lumières, on espérant qu'il se fasse pas bouffer par les hyènes qui traînent dans ce milieu.
Si les acteurs sont à ce niveau c'est grâce à lui essentiellement, car comment être en dessous de ce garçon qui éclabousse de son talent, sans lui porter la poisse il peut préparer un noeud pape pour février prochain.
En plus le garçon a l'air très sympathique, beaucoup de tchatch , de bagout, de l'humour et les pieds sur terre et la tête haute.
Et en plus il a de la répartie, quand on l'interroge sur ce film, il préciser qu'il s'en souviendra toute sa vie, même si il a alzheimer.
Bien sûr c'est pas Mad Max, Mais Emannuelle Bercot nous sert une nouvelle fois un film plein de justesse, même si la mise en scène n'est pas le meilleur du film, mais la côte du film est haute
Un conseil allez voir Mad Max et aussi La Tête Haute.
Note : 18.00
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