Jusqu'au moment où il sent, que malgré lui, toute cette haine l'abandonne. Mais comme se débarrasser de la violence, de la colère, de la bêtise qu'on a en soi ? C'est le parcours d'un salaud qui va tenter de devenir quelqu'un de bien".
Son réalisateur, Diasthème a posté il y a quelques un long message sur son site expliquant sa colère après avoir appris que des avants-premières de son film avaient été annulées et qu'il sortirait finalement dans moins de salles que prévu le 10 juin prochain. "Je me doutais évidemment que cela n'allait pas être simple, mais pas une seule seconde je n'aurais imaginé que des exploitants qui aiment le film, ne le prennent pas parce qu'ils ont peur. Il me vient même , spontanément cette phrase dont j'ai un peu honte : Mais dans quel pays est-ce qu'on vit ?
Cela s'appelle un début de Censure, pendant que nous fait les gorges chaudes de l'esprit social pendant ce festival de Cannes (ou le film n'a pas été sélectionné) , on empêche un film d'être vu, les gens ne l'ont pas vu, mais ils jugent déjà, sur la toile et notamment les réseaux extrémistes d'un avis violent ont été énoncés faisant peur aux exploitants, comme je l'ai dit hier dans ma chronique , le cinéma sera social et politique, ou ne sera pas, apparemment il ne sera pas. Alors qu'aujourd'hui on fête la résistance, alors levons-nous et résistons.
FIN DE LA DEMOCRATIE
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