Pascal Thomas n'est pas Hitchcock , ni Chabrol, et cela depuis longtemps, mais Pascal Thomas persiste à le croire.
Dans ce film, ou le beau et timide Valentin (Vincent Rottiers) pas si timide que cela à en croire l'actualité de ce garçon, mais très bon comédien par ailleurs, dont toutes les femmes tombent amoureuses (avec un peu plus de fantaisie, on aurait pu lui mettre un garçon dans le package) à fort à faire entre son insatiable maîtresse, Claudia (Marie Gillain) , le mari jaloux de celle-ci, Freddy, sa mère égoiste et immature (insupportable Arielle Domsbale) sa voisine alcoolique (Géraldine Chaplin), qui essaierai même de faire pleurer un hérisson, la voisine alcoolique, les trois jeunes voisines du 5ème étage, et une mystérieuse chinoise Lys Tigré, maintenue en esclavage dans la maison d'en face (évidemment comme cliché ces chinois sont des trafiquants).
Et puis bien sûr l'éternel pédophile (pauvre François Morel).
Lors d'une crémaillère et après une violente dispute, Valentin va être retrouvé mort, commence l'enquête, attention ce n'est pas Agatha Christie.
Note / 7. 50
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Pascal Thomas
Scénario : Clémence de Biéville, Pascal Bonitzer, François Caviglioli, Nathalie Laurie et Pascal Thomas d'après La Maison du Lys Tigré de Ruth Rendell.
Montage : Yann Dedet
Photographie : Jean Marc Fabre
Musique : Reinhardt Wagner
Producteur : Michel Merkt et Nathalie Lafaurie
DISTRIBUTION
- Marilou Berry : Élodie
- Vincent Rottiers : Valentin
- Marie Gillain : Claudia Livorno
- Arielle Dombasle : la mère de Valentin
- Geraldine Chaplin : Jane
- Alexandra Stewart : Sylvia
- François Morel : Roger
- Christine Citti : Antonia
- Louis-Do de Lencquesaing : Freddy Livorno
- Félix Moati : Romain
- Isabelle Candelier : Rose
- Christian Morin : Marius
- Victoria Lafaurie : Noor
- Agathe Bonitzer : Florence
- Karolina Conchet : Lys tigré
- Christian Vadim : Sergio
- Bernard Chapuis : le client de Rose
- Valériane de Villeneuve : la femme au parapluie
- Pascal Bonitzer : lui-même
- Philippe Caroit : le patron de la SRPJ
- Alain Kruger : le conducteur maladroit
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