"Cette histoire se passe en des temps reculés, des temps de violence. Partout à travers l’Europe une sorte de guerre se propageait. Dans une ville il y avait deux sœurs qui vivaient…"
Le réalisateur a souhaité faire un film sur les Tours du Merculiales de Bagnolet en Seine Saint-Denis à côté de Paris, car elles sont riches d'un point de vue symbolique dans son histoire comme dans la grande histoire, symbole du capitalisme d'après guerre sur les cendres de la dernière guerre.
Le film est découpé de façon que chaque personnage prend le relais sur l'autre.
On peut considérer que Merculriales est un film personnel et intime du réalisateur sur un endroit qu'il connaît bien mais dans un temps indéfini.
Il est certain que le film n'est pas grand public, même dans les films sans super-héros, mais le film plus proche du documentaire dans des émissions du genre caméra caché ou tout le monde s'ennuie, spectateur et réalisateur compris, ou on devra essayer de liés ces histoires qui n'ont pas malheureusement de sens ou de compréhension.
Le réalisateur a utilisé le 16 mm à l'ancienne, comme un film personnel que personne devrait voir pour ses amis et sa famille, ou les habitants de Bagnolet.
On parle de système prolétaire mais sans en comprendre le fond, ou donnez des idées, et en plus le film est très maciste.
Beaucoup ennuyé à l'arrivée, et rien découvert dans les acteurs pour l'avenir.
Note : 6.90
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Virgil Vernier
Scénario : Virgil Vernier et Mariette Désert
Musique ; James Ferraro
Production : Jean Christope Reymond et Amaury Ovise
Son : Julien Sicart et Simon Apostolou
Assistant Réalisateur : Luc Catania et Christophe Jarosz et Tristan Minault
Directeur de Production : Pierre Delaunay
Casting : Judith Chalier et Lisa Akoa
Décors : Isabelle Voisin
Directeur Artistique : Pauline Lévêque
Montage , Raphaelle Martin-Holger
Photographie : Jordane Chouzenoux
DISTRIBUTION
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