Depuis Juillet 1969, la rumeur veut que Appolo 11 et ses astronautes n'ont jamais atterri sur la Lune un soir de pleine Lune, et qu'il fallait trouver un moyen rapide pour faire croire au peuple et surtout aux Russes, que les Américains avaient atteint leurs buts face à leurs ennemis préférés de l'époque.
Le plus important était la propagande et non l'exploit en lui-même. Encore aujourd'hui 47 ans la thèse de complot existe encore et encore plus dans une époque ou la rumeur complotiste se répand de plus en plus.
Mais un homme alimenta la rumeur à lui tout seul, et il est la base de ce film complètement loufoque et déjanté.
En effet comme dans le film, il se dit (mais attention c'est un secret) que c'est Stanley Kubrick qui aurait improvisé dans des studios en Angleterre l'amerrissage des astronautes sur la Lune, ce jour important pour l'humanité.
Pour cela, la CIA demanda à un ancien agent (Ron Perlman) avec ses méthodes radicales , très radicale, de trouver Kubrick et de le pousser à faire le film avec les moyens du bord, il va tomber sur deux loosers de première catégorie, sortent de pieds nickelés roux et sous-acides qui n'ont vraiment aucun rapport avec le réalisateur, mais font comme, avec Jony (Rupert Grint) manager d'un groupe qui connaissent plus les acides que le tempo de musique et Léon (Robert Shenan) son pote, mélange de Chaplin sous acide mais avec aucun talent, sauf d'essayer toutes et vraiment tous les trips.
Ils vont présenter Tom Kidman à un réalisateur underground Renatus hippie pas trop engagé, mais vivant avec sa meute de hippies dévergondés et pas asexués du tout, et qui va jeter son dévolue sur Léon pas si farouche que cela. Mais ce réalisateur underground proche des pires réalisateurs de la terre, va se prendre pour Ed Wood et faire ce tournage à sa façon avec des méduses sur la lune et des hommes nu évidemment. Tout cela commence mal et il reste que 24 heures pour parfaire les dialogues et que Jony e Léon fasse de parfait astronautes.
Vous voyez que tout cela est loufoque, et pourtant le personnage central de cette histoire Stanley Kubrick en personne a laissé lui même courir la rumeur de cette incroyable performance, en effet si vous êtes fan de Shinning et du film Room 237 vous aller apercevoir
Une théorie explique que les Amérindiens sur les boîtes de conserve de l'hôtel font référence à l'impérialisme américain et la plus dingue des théories est celle du théoricien Jay Weidner affirme que Kubrick a truffé Shinning d'indices laissant suggérer qu'il avait filmé la mise en scène de l'atterrissage sur la Lune pour la Nasa en 1969. Donc d'après cette théorie Kubrick dévoile le secret sans tout à fait le dire.
C'est sur le petit Danny Torrance que se cache le plus gros indice du film : il porte un pull sur lequel est cousue la fusée Apollo 11. Elle n'est pas difficile à voir et liasse penser que Kubrick ne faisait pas tellement d'efforts pour la cacher.
D'autre par Kubrick a jugé bon de s'eloigner un peu du livre de Stephen King en Changeant le numéro de la chambre emblématique de l'hôtel Ouverlook, la faisant passer de 217 à la chambre 237. La raison de ce changement est évidente : la distance moyenne entre la terre et le Lune est de 237 000 miles. La chambre 237 représnete le lieu du faux atterrissage sur a Lune, L'hôtel Overlook représente l'Amérique et Danny, qui se dirige représente le côte artistique de Kubrick.
La feuille que Jack laisse sur la machine à écrire , là ou vous lize le mot "All" dans la phrase "All work and no play makes Jack a dull boy", Weidner lit "A11" soit Apollo 11 en abrégé.
Weidner affirme également que le motif hexagonal emblématique des tapis de l'hôtel Overlook ont été dessinés specialement pour rappeler les rampes de lancement d'Apollo 11. Voilà en réalité les rampes de lancement d'Apollo 11.
Est ce que tout cela sont des âneries ou comme tous nos personnages ont abusé des drogues illicites, mystères et boule de gomme, où comme le laisse suggéré de Kidman devant la catastrophe de la mise en scène de la vrai nasa, et si finalement tout cela était vrai.
Théorie dingue et film qui n'en est pas moins dingue, passant à la théorie du complot à la mise en scène et dialogues dans la lignée de The Kingsman ou de Deapool, et cette façon de voir les choses pudiquement fait du bien aux neurones, on réfléchit un peu, beaucoup, passionnément à la folie.
Ron Perlman joue les gros bras et petite cervelle avec le même visage du début à la fin, Ron Perlman sort enfin de son rôle de petit roux qui se la pète de Harry Potter, avec un rôle et un physique à la Transpotting, mais la révélation du film ets Robert Sheenan, drôle et complètement décalé, et sexy comme une bière irlandaise rousse bien sur.
Un bon trip à l'arrivée, pour un film qui risque de devenir culte, dans ce qui va remplacer les vidéos-clubs.
Le film est réalisé par un jeune réalisateur français qui vient du clip et dont c'est son premier film.
Note : 14.50
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Antoine Bardou-Jacquet
Scénario : Dean Craig
Musique ; Kasper Winding et Alex Gopher
Production : Georges Bermann, Sylvain Goldberg
1er Assistant Réalisateur : Arnaud Esterez
Casting : Gail Stevens
Montage ; Bill Smedley er Chris Gill
Photographie : Glynn Speeckaert
Maquillage ; Katja Piepenstock
Effets Visuels : Joseph Catté
DISTRIBUTION
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