Si au moins le réalisateur, avait raconté toutes les histoires que racontent sur ses catacombes, religieux, morbides,policiers ou érotiques, on aurait une toute autre histoire,bien plus passionnante, dans la lignée des histoires de Poe, ou du Marquis de Sade. En plus c'est mal filmé,mais le système du Found Footage n'arrange rien à l'affaire.
Pour revoir les catacombes mieux filmées, on reverra Cartouche (1962) de Philippe de Broca, Les Gaspards (1974) de Pierre Tchernia, Le nom de la Rose (1986) de Jean Jacques Annaud, et Paris (2008) de Cédric Klapish.
Les Catacombes de Paris : terme utilisé pour nommer l'ossuaire municipal sont d'anciennes carrières souterraines situées dans le 14ème arrondissement de Paris (en tous cas pour les touristes), reliées entre elles par des galeries d'inspection. Elle sont transformées en ossuaire à la fin du XVIIIème siècle avec le transfert des dépouilles de 6 millions de Parisiens, évacués des divers cimetières parisiens pour des raisons de salubrité publique. Elles prennent alors le nom de decatacombes par analogie avec les nécropoles souterraines de la Rome antique, bien qu'elles n'aient quasiment jamais servi de sépulture initiale.
D'environ 1.7 km de long, situées à 20 mètres sous la surface, elles sont officiellement visitées par environ 300 000 visiteurs (dont moi 2 fois) à partir de la place Denfert-Rochereau et constituent un musée de la ville de Paris, dépendant du Musée Carnavalet. Cette partie ouverte au public ne représente qu'une infime fraction (environ 1/800 ème) des vastes carrières souterraines de Paris,qui s'étendent sous plusieurs arrondissements de la capitale. Il existe aussi d'autres ossuaires souterrains à Paris inaccessibles au public, et qui demeurent en particulièrement méconnus.
L'histoire elle parle de Scarlet Marlow une étudiante en archéologie urbaine. Elle maîtrise quatre langues vivantes et deux langues mortes, mais ne maîtrise cependant pas l'armaéen, la langue dans laquelle elle écrit un texte permettant de trouver la pierre philosophale,une pierre pouvant offrir l'immortalité , et va donc faire appel à son ami George. Après avoir découvert, un texte sur la stèle de Nicolas Flamel dans un musée,ils découvrent que sous sa tombe se trouve la pierre philosophale. Mais, ils découvrent que la pierre alchimique se trouve sur la carte des catacombes de Paris. Pour cela, ils ont besoin d'aller dans les catacombes de Paris, et demandent l'aide de Papillon, connaisseur des catacombes, et vont prendre un chemin dont certains d'entre eux ne sortiront jamais.
Note : 6.30
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : John Erick Dowdle
Scénario : Drew et John Eick Dowdle
Direction artistique : Louise Marzaroli
Décors : Pascal Leguellec
Costumes : Annie Bloom
Photographie : Léo Hinstin
Montage : Elliot Greenberg
Musique : Max Richter
Production : Patrick Aiello et Drew Dowdle
DISTRIBUTION
Ben Feldman : George
Perdita Weeks : Scarlet Marlow
Edwin Hogde : Benji
François Civil : Papillon
Ali Marhyar : Zed
Marion Lambert : Souxie
Roger Van Hool : Le père de Scarlet
Théo Cholbi : L'ado dépressif
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