Saucisson, car cela va devenir une habitude , les films que l'on devra maintenant se farcir, sauront saucissonner en plusieurs parties , maintenant deux parties à un an de différence, bon pour le saucisson cela devrait allez dans une bonne cave, mais le pain devrait être rassit (donc pour nous sera No Pain, mais pour les producteurs ce ne sera pas No gain bien au contraire).
Donc on peut prédire les Visiteurs 4 en 7 épisodes de 50mn , comme on voit les séries aujourd'hui, comme cela on coupe rien au montage, et on verra le mauvais et le mauvais.
Gueule de bois, vu les notes des films cette semaine, j'ai mal à la tête , j'ai pas vraiment pris mon pied dans les salles,heureusement la semaine prochaine plus besoin de dôliprane.
Gueule de bois,pour toutes les conneries de censure qu'on voit en ce moment, La censure qui mettre à R-17 à Pride ou Love is Strange, On interdit Winnie L'ourson en Pologne, en accuse l'Ours Peddington d'avoir des goûts particuliers, on veut interdire l'Expo Zizi,on démonte une sculpture sur la place Vendôme,ou on interdit Hunger Games en Thailande pour ne pas déplaire au pouvoir,pour un geste vu dans le film, ou on va la Peste noir de la censure est en train de s'abattre partout dans le monde.
Donc les Jeux de la faim (Hunger Games) de cette première partie n'est pas la fin, et encore moins une fin en soi. Hunger Games 3 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence et tout à tas de vedettes décrépis (non je rigole) et de jeunes pousses pas encore fini (je rigole encore) est la suite des aventures du livre éponyme de Suzanne Collins.
Quoi de neuf, dans cet épisode, en réalité rien, car apparemment tout est gardé pour le numéro 2 de cet épisode 3 (vous suivez) , car ici on bavarde, on palabre, on suppute mais en réalité on se bat peu, ou on constate les dégâts, sauf peut-être l'attaque du Capitole.
Pour moi, ce film découpé en tranche de saucisson,qui va très bien avec notre beaujolais national, et pas celui de Floride, ne se laisse pas voir avec vraiment un cerveau, on peut manger du pop-corn et réfléchir.
Et comme j'ai dit qu'on était dans le saucisson, on est également dans la saucisse ,avec le Capitole, donc Toulouse, réfléchissé avant d'effacer ma chronique.
Ce film est toujours utopique, ce que les jeunes ont le vouloir et le pouvoir de se révolter, sur Internet, Twitter ou Facebook oui mais comme 68 avec Cobhen-Dit dans la voiture de Marie-France Pisier, on est loin de là, car on ce moment on casse plus de vitrines que de briques.
Au moins le numéro 1, remake non dissimulé de Battle Royale, avait un semblant de compétition qui rendait un peu le spectateur attentif ensemble ou seul,mais là il ne se passe rien, surtout que Peeta on ne le voit vraiment qu'à la fin (et non pas faim) vraiment en colère (le futur Hulk ?), bref comme dirait pépin (des raisins de notre Beaujolais) est en attente d'un train, qui va arriver en retard dans un an,on ne souviendra même plus, le pour qui du pour quoi.
Mais à l'arrivée, on va doubler les recettes du 3ème épisode et vendre plus de friandises.
Un peu d'attente avec le comportement psychotique (provisoire on vous rassure, sinon ce serait pas un film d'ado) de Peeta (qui va remplacer Tom Hardy dans Bronson 2), qui n'a pas le temps de ce là jouer mercenaires (Bronson donc Mercenaires,je vous ai dit de suivre).
Jennifer (qui ne chante pas on se rassure) , mais si hélas dans une séquence digne des "Misérables) continue sur sa lancée entre Blockbuster et film indé, mais par contre Liam , a du avaler un somnifère, bon il a pas Thor, il a du toucher son cachet de somnifère bien sûr.
On prend plus de plaisir avec Labyrinthe ici qu'avec ce film,mais on est là de la qualité du scénario et autre de Snowpierce, qui passe en ce moment sur Canal Plus.
"Dans cette suite, La rébellion s'organise contre le pouvoir totalitaire du Capitole et du Président Snow. Katniss Everdeen le "Geai moqueur" est devenue le principal symbole de cette rébellion dans laquelle elle s'engage physiquement.
Son destin, celui de ses proches, et celui de Panem tout entier sont en jeu. Sa mission sera de ralier tous les districts de Panem et de déclencher un soulèvement pour renverser le Capitole, supprimer les jeux (les Hunger Games) et sauver les vainqueurs survivants qui ont été capturés après l'explosion de l'arène."
Comme on dit si six saucisses sont secs, six saucissons regarde saw six.
Le film est dédie à Philip Seymour Hoffman
Note : 12.30
Un illustre inconnu de Matthieu Delaporte (qui c'est fait un prénom avec son scénariste Alexandre de la Patellière) sous une production Dimitri Rassam (fils de Carole Bouquet) avec Matthieu Kassovitz et Marie-Josée Croze, risque de le rester car malgré un sujet intéressant , la réalisation est d'une fainéantise évidente, il y avait que voir leur premier film pour entre être sur.
Pourquoi je dit cela le thème du film est la schizophrènie est le changement de peau pour un personnage, en se fondant dans le corps des autres, sur le pitch on se dit que les maquillages vont être étonnants, et on pourra voir un grand numéro d'acteur.
Et bien le réalisateur a supprimé ce point de vue du spectateur, pour faire jouer le même rôle par Kassovitz,la victime et le psychopathe, si il sont fiers de leurs idées car il parle que le parle que le personnage se sent seul et il est tous les autres à la fois, pour moi je considère que c'est une erreur, et dès qu'on s'aperçoit de la supercherie le charme tombe, et de haut je vous le garantit.
A partir de là, on commence à chercher la petit bête,au début du film, la maison du héros explose,dans le côté gauche de l'écran, on voit l'immeuble mitoyen regarder à la fenêtre (vu l'explosion,déjà il devrait plus avoir de vitres, et puis une explosion, plus la maison en feu, on se barre le plus vite possible, là non,il descende d'un étage toujours pour regarder à la fenêtre, dans un autre plan plus tard , la même maison et la même maison mitoyenne, l'étage bas à disparu !!!).
On aurait aimer, que le film tombe dans les pattes de David Fincher, pour en faire un thriller machiavélique, car le héros on ne connait pas ses raisons de sa folie, pour le personnage final a peu près ,mais avant et bien avant , pas du tout, ce qui est intéressant de sentir les raisons ou de s'en faire une idée, Audiard pour le même sujet (Un Héros très discret) avec le même Kassovitz était plus inspiré.
Je ne parle même pas du scénario entre invraissemblance et d'une mise en scène sans aucune qualité,pas d'angles, pas de travelling mystérieux. Il y a quelques bonnes idées mal exploitées malgré tout,pour une fois Kassovitz dans sort bien, mais trop seul, les autres acteurs servent à rien.
Ce héros qui avait toujours rêvé de se faire passer pour quelqu'un d'autre, sans la moindre imagination, tout en observant et copiant les gens autour de lui comme le reflet dans un miroir, si on avait su l'astuce de réalisation, on aurait eu une autre vision pendant le film, garder des secrets mais à quoi bon.
Note :10.50
Pourquoi je dit cela le thème du film est la schizophrènie est le changement de peau pour un personnage, en se fondant dans le corps des autres, sur le pitch on se dit que les maquillages vont être étonnants, et on pourra voir un grand numéro d'acteur.
Et bien le réalisateur a supprimé ce point de vue du spectateur, pour faire jouer le même rôle par Kassovitz,la victime et le psychopathe, si il sont fiers de leurs idées car il parle que le parle que le personnage se sent seul et il est tous les autres à la fois, pour moi je considère que c'est une erreur, et dès qu'on s'aperçoit de la supercherie le charme tombe, et de haut je vous le garantit.
A partir de là, on commence à chercher la petit bête,au début du film, la maison du héros explose,dans le côté gauche de l'écran, on voit l'immeuble mitoyen regarder à la fenêtre (vu l'explosion,déjà il devrait plus avoir de vitres, et puis une explosion, plus la maison en feu, on se barre le plus vite possible, là non,il descende d'un étage toujours pour regarder à la fenêtre, dans un autre plan plus tard , la même maison et la même maison mitoyenne, l'étage bas à disparu !!!).
On aurait aimer, que le film tombe dans les pattes de David Fincher, pour en faire un thriller machiavélique, car le héros on ne connait pas ses raisons de sa folie, pour le personnage final a peu près ,mais avant et bien avant , pas du tout, ce qui est intéressant de sentir les raisons ou de s'en faire une idée, Audiard pour le même sujet (Un Héros très discret) avec le même Kassovitz était plus inspiré.
Je ne parle même pas du scénario entre invraissemblance et d'une mise en scène sans aucune qualité,pas d'angles, pas de travelling mystérieux. Il y a quelques bonnes idées mal exploitées malgré tout,pour une fois Kassovitz dans sort bien, mais trop seul, les autres acteurs servent à rien.
Ce héros qui avait toujours rêvé de se faire passer pour quelqu'un d'autre, sans la moindre imagination, tout en observant et copiant les gens autour de lui comme le reflet dans un miroir, si on avait su l'astuce de réalisation, on aurait eu une autre vision pendant le film, garder des secrets mais à quoi bon.
Note :10.50
De Puzzle de Paul Haggis avec James Franco, Mila Kunis, Liam Neeson et Adrien Brody, on en retiendra seulement le générique et le titre, car comme dans une boîte du même nom, il nous manque beaucoup de pièces pour comprendre le film dans sa globalité, ou dans chaque des fragments que l'on nous propose,on pensait allez vers un thriller machaviélique comme "Collision", mais si le principe est là, la conclusion elle n'est pas là,malheureusement le film est vide de sens, et l'interprétation est en conséquence.
Et puis ou est la pièce finale du Puzzle qui relit des 3 histoires, on attend encore, on attendra un nouveau film de Paul Haggis.
"Trois histoires d'amour à Paris, Rome et New York, se rejoignent de façon étrange.
Paris : Michael, un écrivain qui a récemment quitté sa femme, reçoit la visite de sa petite-amie Anna. L'histoire explore leur relation très compliquée due à son incapacité à s'engager à cause d'un terrible secret.
New-York : Julia a récemment été inculpée de tentative d'assassinat sur la personne de son fils, accusation qu'elle nie fermement. A la suite de cela, son fils est maintenant sous la responsabilité de son père Rick, qui fait tout son possible pour l'empêcher de la voir. Julia tente à tout prix de récupérer la garde de son fils.
Rome : Sean, un homme d'affaires américain en voyage en Italie, tombe amoureux d'un femme italienne, Monica, Sean est inévitablement entraîné dans un complot où il tente de libérer la fille de Monica qui a été kidnappée par un gangster et qui se tient pour la rançon.
Note : 8.80
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