Adaptation du roman victorien de Sarah Waters, Du bout des doigts, Mademoiselle transpose son intrigue vénéneuse en Corée dans les années 1930 pour mettre en scène les rapports des riches avec leurs domestiques. Park Chan-Wook signe avec ce thriller rutilant présenté à Cannes un retour au pays en fanfare après sa parenthèse hollywoodienne (Stoker).
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jeudi 15 septembre 2016
BANDE ANNONCE DE MADEMOISELLE DE PARK CHAN WOOK
Un arnaqueur coréen s'arrange avec une pickpocket pour la faire engager comme servante d'une riche héritière japonaise, afin de la faire interner pour toucher le magot. L'histoire se complique lorsque les deux femmes s'éprennent l'une de l'autre, ce qui donne lieu à une série de coups de théatre, de trahisons et de mensonges sur fond de perversions variées. C'est le nouveau terrain de jeu de Park Chan-Wook, sur lequel il fabrique un un film d'arnaque esthétiquement renversant sur fond de mélodrame sadien.
Adaptation du roman victorien de Sarah Waters, Du bout des doigts, Mademoiselle transpose son intrigue vénéneuse en Corée dans les années 1930 pour mettre en scène les rapports des riches avec leurs domestiques. Park Chan-Wook signe avec ce thriller rutilant présenté à Cannes un retour au pays en fanfare après sa parenthèse hollywoodienne (Stoker).
Adaptation du roman victorien de Sarah Waters, Du bout des doigts, Mademoiselle transpose son intrigue vénéneuse en Corée dans les années 1930 pour mettre en scène les rapports des riches avec leurs domestiques. Park Chan-Wook signe avec ce thriller rutilant présenté à Cannes un retour au pays en fanfare après sa parenthèse hollywoodienne (Stoker).
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