Au cinéma, les annonces et critiques de certains films nous annonçaient une belle semaine (ah les accroches des affiches de film).
Car on annonce un film avec Michael Mann avec Hacker mais il est au abonné absent, de même pour le nouveau soi-disant film de Tim Burton "Big Eyes" ou celui-ci est également absent,où alors pour ces deux là, c'est un imposture (un fake pour parler jeun's) qui a réalisé le film.
Un sujet au centre d'Un homme idéal, qui est lui même le plagiat ou l'imposture de d'autres films du même genre, mais sans s'en référencer, les hommages non, mais l'affiche de Niney avec ses lunettes de soleil, fait quand même largement penser à Delon dans une pub pour Dior.
Imposture avec Tu dors Nicole, qui veut nous faire croire que le cinéma radicale, c'est du cinéma, mais uniquement pour le jury de la Fémis ou de l'avance sur recette (laquelle).
Et puis il y a Divergente 2, le plus politique d'ailleurs, ou des mômes sans expression , vont combattre les dictatures, dans la réalité c'est dans les urnes qu'on doit le faire.
Divergente 2 de Robert Schwentke avec Shaleine Woodley, Ansel Elgort et Miles Teller est un film de Science Fiction tiré du roman de Véronica Roth.
Comme Alice Stills on avait oublié le premier, et ce deuxième opus ne restera pas non plus dans les mémoires comme si on souffrait tous d'Alzheimer.
Le pire pour nous il y aura un Divergente 3 en deux épisodes, il manquait plus que cela.
Bon il es vrai Divergente est un film pour adolescent pré-pubère qui en avait pas assez avec Hunger Games et qui remettent avec celui-là, mais tous ces casts , ces maisons, ces conflits je n'y comprend , vraiment fait pour les amateurs de jeux vidéos en ligne et qui ne sortent plus de chez eux et qui vivent en autarcie qui croient que ce qu'il y a sur l'écran c'est vrai.
Je me pose aussi la question pourquoi des actrices aussi connues que Kate Winslet cherche se type de rôle. L'avantage maintenant avec Divergente et Hunger Games c'est que les filles en prenne plein la gueule , égalité des sexes.
Bon nos jeunes acteurs, je les appellerais comme les One Direction les "One Expression" c'est sur que le maquillage tient bien.
Bon les effets spéciaux numériques sont efficaces, mais il y a eu mieux , mais avec le budget qu'il avait il pouvait pas faire pire au moins.
Donc je suis pas un ado-pré pubère c'est sur.
Note : 9.10
Hacker de Michael Mann avec Christ Hensworth, Viola Davis et Tang Wei.
Hacker dont le titre US 'Blackhat" veut dire Chapeau noir, alors un mystère, si on peut m'aider, est film classé dans la catégorie Techno-Thriller, c'est nouveau cela vient de sortir.
Vous allez me dire le titre français Hacker est valable 10 minutes, mais après plus rien sur le sujet.
Si le film avait été tourné par John Woo, Jonnie To ou un des pensionnaires d'Europacorp, j'aurais dit pourquoi pas, film d'action bourré de testotérone, mais voilà c'est tourné par Michael Mann (réalisateur du 6ème sens, Révalations, Ali ou The Heat), les fins de mois doivent être difficile, ou est passé le premier utilisateur de la caméra HD numérique, ou son rôle ambigue de dualité chère au cinéma de Mann, non simplement un film d'action Thriller, dont le scénario en sent fout surtout qu'on a vu CitizenFour qui nous a tout dit.
Le film est vraiment formaté pour le marché Asiatique et Chinois, nouvel Eldorado du cinéma d'Hollywood, et même Français (Le dernier loup) avec situant son action à Hong-KOng, Manille et les îles paradisiaques aux alentours.
Le film dure 133 minutes, c'est vraiment trop long, surtout qu'on c'est très vite comment cela va se passer, et les méchants sont pas vraiment emblématiques. Pas mieux que Chris Hensworth qui se penche vraiment vers les films d'actions (Avengers) à t-il Thor ou pas, mais il me donne l'impression qui ne peut pas plus, comme Val Kilmer (en dehors des Doors).
"Le Hacking de la Chicago board of Trade provoque une réaction de chaîne dans le monde qui plombe les marchés boursiers mondiaux. Le code informatique utilisé a été écrit par un pirate informatique qui purge actuellement une peine de prison. Ce dernier est donc libéré s'il accepete de collaborer avec le FBI et le gouvernement chinois pour démasquer le coupable de cette attaque informatique.
Note : 11.80
Tu dors Nicole, de Stéphane Lafleur avec Julianne Côté et Marc André Grondin est un film québécois sorti en 2014.
Tu dors Nicole, non je parle pas à ma voisine, mais à tous les spectateurs de la salle peu nombreux qui sont allés voir ce film , n'ont pas que c'est un film de genre, mais il s'y passe rien ou pas grand chose.
Certains verront un film générationnel , il est vrai que les jeunes se font chier aujourd'hui au Québec y compris, mais pendant que Xavier Dolan casse les codes et les écrans dans le monde entier, Stéphane Laffleur nous raconte l'été un peu paresseux (comme lui d'ailleurs) de deux jeunes filles , la vingtaine, perdues dans leur vie. Rien de bien emballant jusque là, avec une ambiance lente digne d'un documentaire sur FR3 très tard dans la nuit où un épisode de l'Homme de Picardie, avec beaucoup d'esthétisme en noir et blanc qui dresse une chronique de jeunes qui se font chier, comme les spectateurs.
Les jeunes font des plans sur la comète, comme nous d'ailleurs en nous disant qu'il y a Divergent 2 dans la salle à côté , boivent sur la terrasse ou au bord de la piscine, en espérant qu'il y tombe pour avoir un peu d'action.
Puis arrivent des copains pendant ce week-end qui vont jouer de la batterie 24/24 , les deux jeunes filles ont en marre nous aussi, car en plus il joue mal, mais cela n'a pas d'importance, on espère que les batteries seront bientôt à plat.
Le réalisateur a choisi des acteurs capables de jouer de la musique, et non des musiciens capable de jouer la comédie, il aurait du essayer le contraire.
Dans le noir et blanc, on n'est pas dans Ida, là on est dans le brouillard, en tous cas un bon film pour rattraper une bonne nuit difficile.
Note : 6.60
Big Eyes de Tim Burton avec Amy Adams et Christoph Waltz.
Un Homme idéal de Yann Gozlan avec Pierre Niney et Ana Girardot
Hacker dont le titre US 'Blackhat" veut dire Chapeau noir, alors un mystère, si on peut m'aider, est film classé dans la catégorie Techno-Thriller, c'est nouveau cela vient de sortir.
Vous allez me dire le titre français Hacker est valable 10 minutes, mais après plus rien sur le sujet.
Si le film avait été tourné par John Woo, Jonnie To ou un des pensionnaires d'Europacorp, j'aurais dit pourquoi pas, film d'action bourré de testotérone, mais voilà c'est tourné par Michael Mann (réalisateur du 6ème sens, Révalations, Ali ou The Heat), les fins de mois doivent être difficile, ou est passé le premier utilisateur de la caméra HD numérique, ou son rôle ambigue de dualité chère au cinéma de Mann, non simplement un film d'action Thriller, dont le scénario en sent fout surtout qu'on a vu CitizenFour qui nous a tout dit.
Le film est vraiment formaté pour le marché Asiatique et Chinois, nouvel Eldorado du cinéma d'Hollywood, et même Français (Le dernier loup) avec situant son action à Hong-KOng, Manille et les îles paradisiaques aux alentours.
Le film dure 133 minutes, c'est vraiment trop long, surtout qu'on c'est très vite comment cela va se passer, et les méchants sont pas vraiment emblématiques. Pas mieux que Chris Hensworth qui se penche vraiment vers les films d'actions (Avengers) à t-il Thor ou pas, mais il me donne l'impression qui ne peut pas plus, comme Val Kilmer (en dehors des Doors).
"Le Hacking de la Chicago board of Trade provoque une réaction de chaîne dans le monde qui plombe les marchés boursiers mondiaux. Le code informatique utilisé a été écrit par un pirate informatique qui purge actuellement une peine de prison. Ce dernier est donc libéré s'il accepete de collaborer avec le FBI et le gouvernement chinois pour démasquer le coupable de cette attaque informatique.
Note : 11.80
Tu dors Nicole, de Stéphane Lafleur avec Julianne Côté et Marc André Grondin est un film québécois sorti en 2014.
Tu dors Nicole, non je parle pas à ma voisine, mais à tous les spectateurs de la salle peu nombreux qui sont allés voir ce film , n'ont pas que c'est un film de genre, mais il s'y passe rien ou pas grand chose.
Certains verront un film générationnel , il est vrai que les jeunes se font chier aujourd'hui au Québec y compris, mais pendant que Xavier Dolan casse les codes et les écrans dans le monde entier, Stéphane Laffleur nous raconte l'été un peu paresseux (comme lui d'ailleurs) de deux jeunes filles , la vingtaine, perdues dans leur vie. Rien de bien emballant jusque là, avec une ambiance lente digne d'un documentaire sur FR3 très tard dans la nuit où un épisode de l'Homme de Picardie, avec beaucoup d'esthétisme en noir et blanc qui dresse une chronique de jeunes qui se font chier, comme les spectateurs.
Les jeunes font des plans sur la comète, comme nous d'ailleurs en nous disant qu'il y a Divergent 2 dans la salle à côté , boivent sur la terrasse ou au bord de la piscine, en espérant qu'il y tombe pour avoir un peu d'action.
Puis arrivent des copains pendant ce week-end qui vont jouer de la batterie 24/24 , les deux jeunes filles ont en marre nous aussi, car en plus il joue mal, mais cela n'a pas d'importance, on espère que les batteries seront bientôt à plat.
Le réalisateur a choisi des acteurs capables de jouer de la musique, et non des musiciens capable de jouer la comédie, il aurait du essayer le contraire.
Dans le noir et blanc, on n'est pas dans Ida, là on est dans le brouillard, en tous cas un bon film pour rattraper une bonne nuit difficile.
Note : 6.60
Big Eyes de Tim Burton avec Amy Adams et Christoph Waltz.
Qu'arrive t-il au réalisateur de Beetlejuice, Edward aux Mains d'argents ou Sleepy Hollow, qu'a t-il fait de son cinéma et de son génie créatif, sa séparation avec Helena ? l'âge ? l'argent du aux Impots.
Quel idée d'allez chercher un fait divers qui n'a aucun intérêt, car on s'en fout de savoir, qui a peint les Grands Yeux (Big Eyes) , en plus les tableaux sont moches, et le film est de cet acabit moche très moche, filmé comme Truman Show mais sans scénario, une photo kitsch affreuse et des acteurs en de ça de leur talent, comme Amy Adams a pu avoir un Golden Globes pour ce rôle ? Quand à Waltz revient chez Tarentino SVP.
Et pourtant pas faute d'avoir des bons scénaristes c'est ceux de Ed Wood précédent film de Burton qui lui était très bon.
Du très mauvais Tim Burton qu'on raye de notre mémoire comme le ferais très bien Julianne Moore dans Still Alice.
" Dick Nolan, journaliste dans un journal à scandale, est le narrateur de cette histoire qui commence avec l'histoire de Margaret Ulbrich.Big Eyes raconte la scandaleuse histoire vraie de l'une des plus grandes impostures de l'histoire de l'art. A la fin des années 50 et au début des années 60, le peinte Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l'art grâce à ses énigmatiques tableaux représentants des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n'avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L'extraordinaire mensonge des Keane à réussi à duper le monde entier."
Note : 8.80
Si on a un minimum de culture cinématographique, on reconnaîtra à travers ce film, d'autres films (soit c'est des hommages, soit carrément un plagiat) et on se demande même par moment si le vrai héros plagieur c'est pas le réalisateur.
Tout d'abord Un homme idéal est carrément le remake (sans le citer) du film The Swords avec Bradley Cooper sorti en 2012. Ensuite il plagie volontairement le style de Stephen King dont il cite une phrase connu des écrivains de pacotille "écrire 20 000 signes par jour", dans le genre Misery.
Le roman de Martin Suter avait déjà été adapté au cinéma dans une production allemande intitulée "Lila, LIla", mais c'est le même sujet du roman de Henri Troyat "La mort saisie le vif" en 1942.
Mais bien sur on lorgne totalement sur Plein Soleil et La Piscine, Un homme idéal étant la bande-annonce à peine cachée pour présenter Pierre Niney comme le nouveau Delon, pose, torse nu, lunette de soleil, la Riviera, l'introspection des personnages , la culpabilité et bien sûr de se prendre pour un autre (Plein Soleil) tout en essayant à avoir de l'empathie du personnage.
Il est difficile de faire des choix après un César surtout du meilleur acteur surtout lorsqu'on a pas 25 ans, et qu'on a simplement à part ce César, une expérience de théâtre. J'espère pour Niney que ce film n'est qu'une parenthèse dans sa carrière et qu'il sera capable de faire autre chose, quitte à faire des seconds rôles de qualité dans des films étrangers, parce c'est pas celui là, qui va lui mettre le pied à l'étrier.
Il joue bien pas de problème , il a une sacré présence, malgré son physique plus que particulier, tout en ligne droite et ses grands yeux tout droit sortie de Big Eyes, mais là il est plombé par un scénario plus qu'improbable, et qui devient irréaliste au fil des pages, pour finir à l'opposé de ce que on pouvait en attendre, avec des incompréhensions totalement à côté de la plaque.
On aurait aimé que le personnage sombre dans la folie, suite à son imposture, car il doit être toujours en alerte pour répondre à des questions sur ce qu'il n'a pas écrit, au lieu de devenir un criminel.
Le film se laisse voir, mais la réalisation et le scénario plombe le film, et le casting à part André Marcon n'est pas à la hauteur du héros, peut être que c'est voulu pour faire la part belle au nouveau héros du cinéma français.
Finalement Un homme idéal c'est l'histoire d'un plagiat au cinéma d'un plagiat à l'écran, le scorpion qui se mord la queue.
" Mathieu écrivain parvient à rencontrer le succès de façon malhonnête : il publie à son nom le manuscrit posthume d'un ancien combattant de la guerre d'Algérie. Mais il ne s'en sortira pas comme ça."
Note : 12.10
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