Un compositeur en
panne d'inspiration, marié et père, part s'isoler dans une vieille maison, sur
la falaise d'une île bretonne a priori déserte, et trouve un vieux piano désaccordé.
Des visiteurs qui troublent sa tranquillité : sa femme, sa maîtresse, son
meilleur ami, ses parents et son docteur
Moi, moi, moi, Je, je, je le
cinéma de Canet depuis un moment sent la dépression, parlant de lui toujours lui,
même dans ses films non centrés sur lui, on a l’impression qu’il est perdu,
dans son jeu, dans ses réalisations, tout est vide surtout ce film.
Et pourtant le casting est royal,
mais Canet nous invite dans son cabinet de psychologie où on y retrouve Papa,
Maman, ma Femme et ma maitresse, le film est comme le piano complètement désaccordé,
où les dialogues sonnent faux, Canet devrait revoir ce que c’est un film de
famille qui se déteste avec Juste la Fin du Monde de Xavier Dolan, mais il s’est
perdu comme nous sur cette île qui au moins aurait pu être déserte.
Alors une séquence de
psychologie payer par le spectateur, cela fait cher quand même. Le public a
boudé le film et à juste titre.
FICHE TECHNIQUE
- Réalisation et scénario : Guillaume Canet
- Musique : Alexandre Desplat
- Décors : Philippe Chiffre
- Costumes : Maïra Ramedhan Levi
- Photographie : André Chemetoff
- Son : Rémi Daru (ingénieur) et Jean Goudier (montage)
- Montage : Simon Jacquet
- Production : Alain Attal
- Coproduction : Ardavan Safaee
- Production déléguée : Xavier Amblard
- Production associée : Marie de Cénival
- Sociétés de production : Trésor Films ; Pathé Films, TF1 Films Production et Caneo Films (coproductions françaises) ; Artémis Productions et Shelter (coproductions belges)
- Société de distribution : Pathé (France)
- Guillaume Canet : lui
- Virginie Efira : la femme
- Mathieu Kassovitz : le pote
- Laetitia Casta : la maîtresse
- Nathalie Baye : la mère
- Gilles Cohen : le médecin
- Patrick Chesnais : le père
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