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mardi 16 février 2021

FILMS DU PASSE : L'APPEL DE LA FORET DE KEN ANNAKIN (1972)


Vu L’Appel de la Forêt de Ken Annakin (Le Jour le plus Long) (1972) d’après le roman de Jack London avec Charlton Heston, Michèle Mercier, Raimund Harmstorf , George Eastman, Maria Rhom, Juan Luis Galiardo et Sancho Gracia

À la fin du xixe siècle, au Canada. La ruée vers l'or bat son plein, et les centaines de prospecteurs venus chercher fortune ont besoin de chiens de traîneaux pour se rendre sur les sites enneigés du Klondike. L'un de ces chiens est Buck, un animal volé à un riche propriétaire et vendu à John Thornton, chargé par le gouvernement d'acheminer le courrier dans ces régions inhospitalières. Ensemble, ils vont affronter mille dangers, défier une nature particulièrement hostile, être attaqués par les loups, combattre les Indiens, et devenir les meilleurs amis du monde ...

Co-production internationale, comme on en faisait beaucoup à l’époque, ce qui donne un casting très international dont l’américain Heston et la française Mercier, ce qui donne un parfum exotique au film, même si sur le fond cette internalisation ne se sert pas à grand-chose, pour cette histoire purement américaine au moment de la ruée vers l’Or.

Le livre de London est des grands classiques du film d’aventures qu’on cherchait ado et que je voyais dans mes cinémas de quartier pour la première fois.

C’était déjà le 4ème remake du film (histoire éternelle) et il y a aura deux par la suite dont le dernier avec Harrison Ford avec des CGI affreux notamment de Buck, ici pas de Buck et si même c’est tourné en studio on se laisse happé par cette histoire de l’amitié et de la fidélité d’un homme et son chien.

Personnellement je préfère Croc Blanc de la même hauteur, mais on se laisse envouté par cette histoire et qui nous emmène dans la nature rude et froide de la région.

Charlton Heston est parfait dans le rôle de ce loup solitaire qui quelques cailloux dorés lui feraient du bien, mais qui va s’attacher à ce chien Buck (pas vraiment chien de traineau finalement au casting) mais on se laisse prendre et c’est efficace.

NOTE : 12.00

FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Ken Annakin


DISTRIBUTION

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