FESTIVAL DE DEAUVILLE CHRONIQUE JOUR 6 : DE L'IMPORTANT D'ETRE CONSTANT

En ce 6ème jour du Festival Américain de Deauville, je pourrais dire que l'Important c'est d'être constant comme dirais Oscar Wilde, car malgré les circonstances du jour qui ne promettaient pas grand chose, il y a finalement toujours quelque chose même minime, qui nous donne un peu de plaisir, comme la veille la présence de Lucy Boynton qui n'a pas laissée les Festivaliers et les copains indifférents, comme quoi comment commence une carrière.

Il y a deux ans la jeune chanteuse Héloise Letissier la chanteuse du groupe Christine and the Queens, avait laissez une trace indélébile sur le tapis rouge du festival en tant que juré, toujours dynamique qui n'a pas nui et loin du monde à sa carrière.

Constant on l'a été le matin, en faisant traditionnellement le tour du Marché de Trouville pour nous rapprocher de Marcel Proust et de Marguerite Duras , non pas vraiment, comme on est là pour le festival, on est allez voir si on pouvait trouver un jacquette d'un des acteurs présents, et qu'elle fut notre surprise de trouver la jacquette du film présenté en avant-première le jour même de Ainsi va la vie de Michael Douglas et Diane Keaton, il est vrai présenté l'année dernière sur Netflix, et soit le festival n'a pas Netflix et les bonnes informations, ou ce qu'on appelle du foutage de gueule de nous faire passer des vessies pour des lanternes. Cela nous rassure, car l'année prochaine on aura l'avant-première de Autant en Emporte le Vent (ouah !!!!)



Comme je vous l'ai dit l'important c'est d'être constant au lieu d'être a la recherche du temps perdu comme dirait notre ami Marcel Proust, avec mon ami Fabrice, on erra quelques secondes près de l'Hôtel Normandy, pour attendre je ne sais quoi, je ne sais ou.

Pour une fois, au lieu d'avoir un flash électrique dans mon pied, j'ai quelques minutes avant un flash dans ma tête et je dis mon ami, "ce serait marrant vu qu'on est seul que Michael Pena arrive (j'ai pas dis Skarsgard, non Michael Pena), pourquoi comment je n'en sait rien. Et bien ce qui devait arriver, arriva, cinq minutes après la voiture n°17 se présenta devant l'hôtel et qui en descendit, évidemment Michael Pena, qui vous vouez que ce soit, ne l'avais-je pas dit.

Evidemment avec mon pote on profita d'être seul de lui demander au moins de poser (malgré le protocole) et on c'est bien régalé.

Vu mes talents évident de magie , n'ai je pas le nom adéquat (non pas Sheila) je vais retenter le coup comme ça à la surprise, dans n'importe quel lieu, et je vous tiendrais au courant de mes talents de magie.

C'est ça Deauville, malgré des parcours balisés c'est quand on a du nez (comme Cyrano) ou de la chance qu'on fait les meilleurs moments.


Et à l'instar de Marguerite Duras, on va passer des journées entières dans les arbres, pour guetter Michael, Alexander et éventuellement Daniel dans cette journée à venir en espérant plus que un chanteur de Voices et d'éviter de glisser sur les planches de Deauville comme Jean Edern Hallier, et dépenser quelques sous sans braquer le casino de Deauville comme Mesrine.

Et comme dirais Merlin tout notre programme à Deauville :

"Gauche ou droite,

Comme nuit et jour,

C'est c' qui fait qu' tout tourne rond.

A jamais, à toujours,

C'est c' qui fait qu' tout tourne rond.

Si pour un court,

Il y a un long,

Pour chaque carré ...

Y'a un rond ?"