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dimanche 3 août 2014

CHRONIQUE : UN OSCAR POUR CAESAR

Cette semaine, on va comparer, ce qui est comparable, entre des singes qui ont un côté humain, et des hommes qui se comportent comme des bêtes, mais au résultat ce sont les hommes qui l'emportent.

Il y a bien longtemps, Charles Darwin précisait que l'homme descendait du singe, mais il nous a jamais expliqué comment y remonter. L'un évoluant dans la bestialité, l'autre ne progressant pas de son animalité.
Il certain que les films et la série de la planète des singes, n'est pas fait pour les relions et leurs adeptes, car on y parle d'évolution, mais tout ceux qui pensent qui pensent qu'on ai pas seul sur terre, qui même bête comme soit, on y revient, comme les cosmonautes soviétiques qui pouvaient quitter leur pays à bord de fusée, mais qui atterrissaient dans leurs déserts.

Avant de voir "La planète des singes : l'affrontement", je vous conseille de voir le documentaire "Le projet de Nim", qui résume tout ce qui suit.

Mais rendons à Ceasar ce qui lui appartient pas, en effet Caesar dans les film et série de La Planète des singes, n'est venu que récemment.

Mais commençons par le commencement, et faisons un retour dans le futur, en 1963 Pierre Boulle un écrivain français (déjà auteur du Pont de la Rivière Kwaï, qui parlaient déjà d'envahisseurs et de colonialisme) était à l'origine d'un roman qui 50 ans après, fait encore parler de lui.

Dans le roman, point de d'Astronautes venant du passé, tombant sur un planète inconnu, mais une équipe scientifique siemesque, qui découvrait une planète inconnu, dirigés par des congénères, mais également des humains considérés comme des esclaves, dans ce but ils vont enquêter et essayer de comprendre l'origine de leur monde, dans le livre on retrouvait déjà Cornelius, Zira et Zaieus.

En 1968, Hollywood, s'intéresse à ce livre, et l'adapte à la situation de l'époque, la montée en puissance du nucléaire, la guerre froide, les révoltes étudiantes .... Mais Hollywood change la règle en envoyant dans le futur du passé composé, des astronautes, qui vont revenir aux origines du futur. Il est intéressant de noter que dans ce film, on décolle de base spatiale et ont peut atterrir sur une planète, alors qu'il a fallu un an de plus pour atterrie sur la lune, comme quoi la guerre des médias avec les russes, se passaient également à Hollywood, pour montrer sa puissance au monde.

Cette fois, ce sont les humains, qui découvraient que sur une planète X, des animaux (en l'occurrence des singes) tenaient le pouvoir. Les chimpanzés (pacifiste et humaniste, les gorilles (militaires et amoureux des armes) et Orang Outang (scientifique, qui avaient les idées des premiers, mais mettaient leurs pouvoirs au service des plus fort, les gorilles), une vision de l'époque d'alors, qui n'a pas beaucoup changé.

La fin du film de 1968, est l'une des fins les plus célèbres du cinéma, avec cette statue de la liberté abattue, comme des tours 33 ans plus tard, la folie du monde avait son oeuvre. Pierre Boulle n'avait pas apprécier cette fin, mais finalement avait accepter d'étudier une suite (tenant compte de la fin du film) au film de 1968, mais son scénario resta dans les tiroirs de l'auteur et est gardé par sa famille comme une relique.

Hollywood continua sa logique , du film, au moins jusqu'au 3 (les évadés, qui bouclaient la boucle), mais renvoyait à nos peurs l'arrivée au pouvoirs d'envahisseurs !!!!! On était pas dans une époque très démocrate à Hollywood.

Tim Burton, dans les années 2000, nous servi une bonne daube, et il a fallu attendre 2011, pour que Ruppert Wyatt, reprenne le projet (il est prévu 3 films) , ou il commença avant le film de 1968, et finalement à la fin du 5ème, ou de nouveau des savants arrivent à faire devenir autre chose que des bêtes un singe appelé "Casear", qui petit à petit va prendre sa liberté, et mené la révolution.

Wyatt devait faire le 2ème, mais avait amené son histoire très loin dans le futur, ou les singes dominaient le monde, les producteurs ont eu peur de se saut dans le temps, et confier le projet à Matt Reeves, qui lui voulaient développer le personnage de Caesar, peu usité dans le 1er. Et dans cette suite, tourné dans des décors naturels et non sur des effets spéciaux, c'est la criante vérité des personnages singes, qui est la grande qualité du film, mais aussi don défaut, car cela fout la trouille, car on ne c'est plus qui est réelle, ou numérique. Vous verrez qu'un jour on fera tourner Louis de Funès de nouveau au Cinéma.

Les humains en tête "Jason Clarke" ont moins d'humanité que les primates sous Motion Capture, c'est même à se demander, que les maquillages des humains sont mal fait, et que les primates qui les jouent, viennent des films de Rohmer ou de Godard (pas vraiment Maestro les humains), par contre chapeau aux acteurs singes, car je ne sais pas dans quels macaques Académie ils sont allez les chercher.

L'avantage d'un singe en hiver, c'est qu'il a jamais froid, donc pas d'alcool, mais avec le succès, qui sait drogue et alcool pour tous.

En tous cas Caesar (Andy Serkis) mériterait un Oscar.

On attend le troisième, en espérant qu'on reprenne cette fois l'idée de Ruppert Wyatt, et qu'on se rapproche du livre de Boulle (pas celui de Ford Boyard), voir son scénario inédit.

Note : 20/20 pour Andy Serkis , et 14.90 pour le film.

Au cinéma, on me demande "Qu'est ce que tu vas voir ?", je fait répéter "Qu'est ce que tu vas voir ?", bah comme tu l'as dit 2 fois ce sera "Echo" de Dave Green, avec de jeunes adolescents inconnus. Echo est tourné dans le système Found Footage, qui est le défaut du film, du style Chronicle, Paranormal Actrivity, car sinon c'est charmant et cela mange pas de pains (au contraire de Raid 2) , avec un histoire entre Les Gonnies, Stand By Me, Wall E et bien sûr E.T qui est carrément pompé.





Note : 11.40 (à cause du Food Fountage)

Pour finir le Week-End, un film indonésien 'RAID 2" de Gareth Edwards qui lui est gallois, mais vit là bas, ou pendant deux heures 28 (le temps est important) , des os seront brisés, des crânes seront brisés et éclatés et servirons à faire tenir debout une batte de base-ball, des jambes seront brisées, des bras seront brisés, des rêves seront brisés, des cous seront brisés, des pattes seront brisés, des pâtes seront brisés, des litres de sang sont déversés sur les murs, les sols, les têtes, les dents seront brisés, mais a t-on les moyens de tout remettre en ordre, pas sur, il faut dire qu'on dit à l'inspecteur chargé de la mission, qu'il faut plus de survivant, il obéît le bougre.

Pendant 2h28, l'action va allez crescendo, sans jamais s'arrêter, chorégraphier comme un ballet baroque , c'est une mise en scène magistrale, c'est la grande et principale qualité du film, ou on en sort brisé et lessivé, et comme dirais le héros à la fin du film "Je suis crever" nous aussi , on va demander 3 jours de RTT pour s'en remettre.

Si on cherche les 50 kg d'Héroines, qui se sont perdus au Quai des Orfèvres, je conseillerais de voir le réalisateur du film, tellement son film est rempli d'énergie.

Heureusement , on aura bientôt Expandables 3, qui va ralentir notre rythme cardiaque.

Cardiaque et ceux qui aiment pas le sang s'abstenir.

Note : 16.50




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