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dimanche 21 mars 2021

FILMS DU PASSE : 2001 L'ODYSSEE DE L'ESPACE DE STANLEY KUBRICK (1968)

 Vu le film 2001 l'Odyssée de l'Espace de Stanley Kubryck (1968) avec Keir Dullea, Gary Lockwood, Douglas Rain (voix de Hal), William Sylvester, Margaret Tysack, Daniel Richter, Léonard Rossiter, Robert Beatty et Ed Bishop

A l'aube de l'Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts répétés d'une bande rivale, qui lui dispute un point d'eau. La découverte d'un monolithe noir inspire au chef des singes assiégés un geste inédit et décisif. Brandissant un os, il passe à l'attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est né.
En 2001, quatre millions d'années plus tard, un vaisseau spatial évolue en orbite lunaire au rythme langoureux du "Beau Danube Bleu". A son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête secrètement sur la découverte d'un monolithe noir qui émet d'étranges signaux vers Jupiter.

 Il aura fallu donc plus de 50 ans, pour que je puisse voir ce film, et si je ne l'ai hélas pas vu sur grand écran, l'impression en reste tout autant magique et fantastique.

Et il est intéressant qu'avec le temps, le film est devenu culte ce qui empêchera les discussions de bistrot qu'il y a eu à l’époque, Kubrick aborde plusieurs thèmes dans son film dont l'évolution (tout ce que déteste les religions) et le progrès et la technologie (tout ce que déteste les religions bis), 2001 est un film imparable pour passer des discussions en soirée avec des amis ouvert d'esprit.

La Première partie du film sans dialogues mais avec l'ouverture sur la symphonie de Richard Strauss "Ainsi parlait Zarathoustra " puis des moments du Beau Danube bleu plus poétique est absolument formidable, on se laisse allez dans cette ivresse métaphysique et poétique jusqu'au moment où un singe va taper comme un malade avec un os, créant la première arme de notre ère.

Après il faut brancher notre cerveau et se connecter avec Hal, il est vrai il faut réfléchir en même temps que Dr Floyd qui essaie de trouver une explication à se Monolithe. Je pense que les gens en 68 qui ont vu le film alors que l'homme n'avait pas encore marcher sur la lune, devait et les intriguer et leur faire peur, et dommage pour moi qui dès que j'ai passé sur la foi, j'ai toujours cru à l’évolution, cela m'aurait probablement intrigué mais j'avais 11 ans, est-ce mon cerveau était prêt (What Is the question)

Mélange de lenteur scientifique, bon il est vrai on ne fait pas la nouba dans ce genre de station, et la beauté des images de l'espace sur cette bande son et musicale exceptionnelle nous emmène dans des univers inconnus. Est-ce qu'on est plus intelligent après, je n’en sais rien, en tous cas j'en ai pris plein les mirettes.

Honnêtement pas tous compris, mais quel pied quand même et les effets visuels de Douglas Trumbull d'où la réussite du film sont étonnant et exceptionnels, il obtiendra un Oscar pour cela, le seul d'ailleurs pour le film.

NOTE : 16.70

FICHE TECHNIQUE


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