Alors qu'il est sur le point de devenir le nouveau roi du Zamunda, le prince Akeem Joffer découvre qu'il a un fils, Lavelle, qui vit dans le Queens. Honorant la dernière volonté de son père, Akeem décide donc de retourner aux États-Unis avec son fidèle acolyte Semmi.
Vous imaginez 33 ans qu’on attendait la suite des premières aventures de Akeem et Semmi égaré à New York pour trouver l’âme sœur du futur Roi du Zamunda. A L’époque le film avait conquis le public où Eddie Murphy était au sommet de sa gloire, et donc de voir ses nouvelles aventures même avec un peu de poids supplémentaires, reste un film à voir tout de même.
Mais sui aurait cru ses dernières années que Murphy allait revenir au-devant de la scène, c’était impossible, mais le succès inattendu cette fois sur Netflix « Dolemite Is My Name » a changé la donne et donc surtout en cette période de disette dans les salles, un film qui nous rappelle le bon temps des années 80, où ce type de comédie nous faisait rire.
Ce 2ème Opus n’est pas du même niveau , certainement en premier lieu car le réalisateur John Landis qui réalisa le premier connaissait parfaitement Murphy cet ex du SNL et le mettait en valeur, ici il a pas la place principal , ce qui fait que ces mimiques , rires et compagnie sont dilluées dans les autres histoires qui elle on moins d’intérêt, car justement Brewer a voulu dans la première ou les séquences à Zamunda , de nous faire du Black Panther, super costumes, super couleurs, super décors mais les gags au niveau zéro.
Par contre dès qu’il est à New York avec Arsenio , on retrouve l’esprit du premier , moins branché sexe (l’époque qui veut ça) avec des gags qui fonctionnent toujours surtout quand il interprète plusieurs personnages dans le salon de coiffure, ici New York est moins mis en valeur, et la modernité des danses et de la musique ne correspond plus à l’univers du premier ;
Un petit regret aussi avec l’utilisation des images du premier,
mais à l’arrivée même si Murphy est beaucoup moins efficace, le film se regarde
avec plaisir et distrait un tant soit peu.
NOTE : 11.20
FICHE TECHNIQUE
- Réalisation : Craig Brewer
- Scénario : Kenya Barris, Barry W. Blaustein et David Sheffield, d'après l'histoire de Barry W. Blaustein, Justin Kanew et David Sheffield, basée sur les personnages créés par Eddie Murphy
- Musique : Jermaine Stegall
- Direction artistique : Kristen Sherwin et Thomas Valentine
- Décors : Jefferson Sage
- Costumes : Ruth E. Carter
- Photographie : Joe Williams
- Montage : Billy Fox
- Production : Kevin Misher
- Production déléguée : Bradley J. Fischer, Michele Imperato et Brian Oliver
- Production associée : Justin Kanew
- Sociétés de production : Eddie Murphy Productions, Misher Films, New Republic Pictures et Paramount Pictures
- Sociétés de distribution : Amazon Studios (États-Unis) / Paramount Pictures (globale)
- Eddie Murphy (VF : Christophe Peyroux)3 : le roi Akeem Joffer / Randy Watson / Clarence / Saul
- Arsenio Hall : Semmi / le révérend Brown / Morris / Baba
- Jermaine Fowler (en) : Lavelle Joffer
- Leslie Jones : Mary Junson, la mère de Lavelle
- Tracy Morgan : Reem, l'oncle de Lavelle
- KiKi Layne : la princesse Meeka Joffer
- Shari Headley : la reine Lisa Joffer
- Wesley Snipes (VF : Thierry Desroses) : le général Izzi
- James Earl Jones : le roi Jaffe Joffer, le père d'Akeem
- John Amos (VF : Jean-Paul Pitolin): Cleo McDowell
- Rotimi : Pretty Iddi, le fils du général Izzi
- Vanessa Bell Calloway : Imani Izzi
- Nomzamo Mbatha (en) : Mirembe
- Louie Anderson : Maurice
- Garcelle Beauvais : Rose Bearer
- Rick Ross : lui-même
- Davido : lui-même
- Bella Murphy : Omma
- Morgan Freeman : lui-même
- Dikembe Mutombo
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