Synopsis : Jeff Tuche, se réjouit de l’arrivée du TGV dans son cher village. Malheureusement, le train à grande vitesse ne fait que passer, sans s’arrêter à Bouzolles. Déçu, il tente de joindre le président de la République pour que son village ne reste pas isolé du reste du territoire. Sans réponse de l’Élysée, Jeff ne voit plus qu’une seule solution pour se faire entendre : se présenter à l’élection présidentielle... Profitant de circonstances politiques imprévisibles, Jeff Tuche et toute sa famille vont s’installer à l’Élysée pour une mission à haut risque : gouverner la France.
Après Monaco et les Etats-Unis qu'ils ont traversés grâce à
leurs fils (Coin-coin) plus que les 100 millions perdus bêtement, la famille la
plus burnouté de France à décider donc d'investir le Palais de l'Elysée pour
suivre ce qui les ont mis au sommet de l'état.
Donc Barroux et ses acteurs ont décidés de mettre en place
la devise de la France "Liberté, Egalité, Fraternituche" et va faire
souffrir outre le spectateur le Premier Ministre, les membres du gouvernement
et les salariés du Palais. Il est sûr qu'on est loin des Saveurs du Palais et
d'un Jean D'Ormesson dans la costume du Président de la République, que ce soit
par l'intelligence ou ses us et costumes.
L'idée de départ est bonne, décalé et on peut espérer un
film drôle pas trop vulgaire, mais hélas à la réalisation Barroux gâche tout
par ses propositions de réalisation, il suffit de regarder la cascade supposée
en voiture dans une rue avec 3 bagnoles, pour voir le niveau, plus cet façon de
clipper son film alors qu'on est dans une comédie, ou de mettre des musiques
assourdissantes sur les dialogues, peut-être pour cacher les défauts nombreux
du film.
Dommage de gâcher une idée aussi bonne, peut-être que ces
personnages n'ont pas évaluées beaucoup depuis le début, Jean Paul Rouve est
toujours dans le personnage des Robins des Bois et le Bière/Foot,
Isabelle Nanty regarde ses ouailles avec professorat , Claire Nadeau
toujours aussi déglinguée, et les trois enfants un peu moins mis en lumière
Théo Fernandez est mis dans son coincoin on le voit moins que dans le premier
on le verra pourtant en vedette dans la peau de Gaston Lagaffe (j'ai peur)
Pierre Fortin aime toujours les garçons qui aiment les garçons, mais on calme
des vannes car on est à l'Elysée, et Sarah Stern est toujours amoureux de son
footballeur.
Comme je le dis il y a des bonnes vannes ou des bonnes
situations mais elles sont pas du tout au bout des possibilités.
Pensez qu'ils se ont mis quand même à cinq pour écrire ce scénario,
peut-être chacun de leurs côtés à des milliers de kilomètres les uns des
autres.
Ce qui va m'amuser d'ailleurs, c'est que ce film va
entretenir notre intérêt durant le mois de Février, en effet l'Académie des
César a décidé de créer un Prix du Public par rapport aux nombres d'entrées
pendant les 8 premières semaines d’exploitation, or le premier jour des entrées
de Les Tuche 3 avec plus de 400 000 entrées laissent prévoir si le film
s'effondre pas un gros score autour de 4/5 millions d'entrées.
Et bien si ce prix créé pour Dany Boon avec son film Raid
Dingue, nous donnait une énorme rasra le soir des César en faisant monter la
famille Tuche entre deux conseils des ministres sur la scène de la Salle Pleyel
le 2 mars.
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Olivier Barroux
Scénario : Olivier Barroux, Jean Paul Rouve, Nessim Chikhaoui, Julien Hervé et Philippe Mechelen
Musique : Martin Rappeneau
Production ; Ardavan Safaee, Frédéric Doniguian et Richard Grandpierre pour Gaumont et TF1
Montage Son ; Gwennolé Le Borgne, Jon Goc
Mixage : Jean Paul Hurier
Son : Madone Charpail
Scripte : Véronique Garbarini
Costumes : Sandra Gutierrez
1er Assistant Réalisateur : Matthieu de la Mortière
Directeur de Production : Edouard Dupont
Décors : Perine Barre
Montage : Flora Volpelière
Photographie ; Christian Abommes
DISTRIBUTION
Barna BéNicolas Maury
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