Les rues de Paris sont vides et silencieuses. Alors que certains ont préféré fuir la capitale, sept familles sont restées confinées dans un immeuble du 11ème au 8 rue de l’humanité avec entre autres ; une patronne de bistrot qui cherche le moyen de rester ouvert. Un scientifique ambitieux qui veut trouver le vaccin et ne plus jamais s’occuper d’analyses d’urines.
Il y a des moments on se demande pourquoi, on donne autant
d'argent à certaines comédies et notamment à Dany Boon, car ici son budget je
ne sais pas où il est passé. Ecrire avec sa compagne à la ville et à l’écran,
le film est sensé nous faire rire de moment pénible que vivent la plupart des
gens dans le monde.
C'est une catastrophe totale avec les mêmes vannes qu’Hypocondriaque
qui n’était déjà pas drôle, Boon reprenant pour lui les mêmes gags, du recyclé
mais le scénario aurait dû être testé en laboratoire, c'est usant très vite on
manque de souffle, envie d'ouvrir les fenêtres et crié notre désespoir.
A part la folie de Attal dans le rôle d'un laborantin qui
nous fait penser à un mixte en un médecin de Marseille et Tournesol. Mais à
part lui c'est insupportable et surtout Dany Boon, Le nombre de ses spectateurs
baissent depuis quelques temps et c'est mérité.
NOTE : 3.10
FICHE TECHNIQUE
- Réalisation : Dany Boon
- Scénario : Dany Boon et Laurence Arné
- Photographie : Glynn Speeckaert
- Production : Netflix France, avec le soutien du Tax shelter (Belgique)
- Distribution : Netflix
- Dany Boon : Martin Becquart
- Francois Damiens : Tony Boghassian
- Laurence Arné : Claire Becquart
- Yvan Attal : Jean-Paul Gabriel
- Jorge Calvo : Diego Romano
- Alison Wheeler : Agathe
- Tom Leeb : Samuel
- Liliane Rovère : Louise
- Nawell Madani : Leïla
- Éve Margnat : Victoire Boghassian
- Rose de Kervenoael : Louna Becquart
- Milo Machado-Graner : Basile Boghassian
- Élie Semoun : un policier
- Tatiana Gousseff : Caissière superette
- Isabelle de Hertogh : Cliente superette
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