Synopsis : Lors d’un voyage en Allemagne, un jeune professeur, Nathan Fabre, découvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d’un détenu dont la ressemblance avec son propre père, Adrien, le stupéfie.
De retour en France, le souvenir de cette photographie ne cesse de l'obséder. Face au silence de son père, il décide alors de se pencher sur l'histoire de sa propre famille. Les secrets qu'il y découvre bouleversent son existence.
À l'issue de sa quête, Nathan comprendra que le passé, même enfoui au plus profond des mémoires, finit toujours par ressurgir...
Je suis pas un très grand fan des films d'Elie Chouraqui et Alexandre Arcady, car je trouve qu'il ne donne qu'un seul point de vue sur leur communauté, ce qui est important en soi, mais à chaque film je trouve que cela fait trop.
Mais cette-fois il faut bien que je le reconnaisse, il réussi avec ce film à nous donner une belle leçon de scénario avec cette histoire qui montre que le passé et le présent sont souvent liés dans leurs excès, d'où l'excellent titre d'ailleurs.
On suit avec conscience cette quête de la vérité que Nathan essaie de comprendre à la seule vue d'une photo alors que dans sa famille, les secrets ont été enfouis au-delà des photos.
Construit comme un thriller, ou Nathan va devoir affronter la dureté du passé et ses origines est très facile à suivre et à accepter grâce en particulier à l'interprétation de Stanley Weber (le fils de Jacques), Richard Berry et surtout l'immense comédien qu'est Michel Bouquet.
C'est loin d'être un chef-d'oeuvre et le meilleur film de Chouraquie, et malgré quelques invraisemblances comme cette amourette dépourvu d'émotion, j'ai regardé le film avec plaisir.
NOTE : 12.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Elie Chouraqui
Scénario : Elie Chouraqui
D'après le roman de : Fabrice Humbert
Musique ; Cyril Etienne des Rosaies et Romain Poncet
Producteur : Elie Chouraqui, Alfred Humer
Effers Visuels : Mathhais Weber, Stéphane Bidaut, Christophe Chanvin et Paul Moriaux
Son ; Harld Maury
Costumes ; Sandrine Mogue
1er Assistant Réalisateur ; Giovanni Nazzaro
Directeur de Production ; Olivier Rohde et Tommy Kroepels
Décors : Albrecht Konrad
Monteur ; Lorenzo Fanfani
Photographie : Dominique Gentil
DISTRIBUTION
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire