Piper devra en pincer avec un crabe qui cherche sa mayonnaise (tonton où est tu), et ses congénères plus prompt à surfer sur le sable et les vagues à la manière d'un Florès ou d'un Slatter.
Mais Piper est plein de bonne volonté, si la mer le rejette par la porte, il revient par la fenêtre et domptera les vagues et sa liberté de pensé.
Le réalisateur s'est inspiré des bécasseaux qu'il voyait en allant faire son jogging dans la baie de San Francisco (bon ça on est pas obliger de le croire) proche du studio.
De là est né Piper, petite demoiselle craquante (ou avec Dory, Disney fait dans le féminisme) en forme de boule de plume aux grands yeux très expressive.
L'idée est bonne de présenter Piper avant Le Monde de Dory, car les Studios Disney on eu de la suite dans les idées, essayons de savoir ce qui se passe sur terre et sur le sable, avant d'allez voir les profondeurs des mers.
Le réalisateur rêve bien sur, d'amener Piper en long métrage, mais il ne sent pas encore assez prêt, sur pourtant que les Studios, tiennent dans cette boule de plumes, de l'excellent marchandising.
Note : 17.90
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