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dimanche 18 janvier 2015

CHRONIQUE DE LA SEMAINE : ESSAYONS DE RIRE UN PEU

Après cette semaine qui aura été dur dans tous les sens du terme, sauvagerie barbare et ses conséquences dans le monde, et politique politicienne, et ses faux-culs qui veulent nous faire croire à leur monde, le but de la semaine était d'essayer de rire un peu, ou en tous cas de se distraire.

Même si à l'arrivée je n'ai pas eu le plaisir que je souhaitais (probablement l'ambiance plombée), j'ai tout de même essayé.

Mais on a cette chance en France, d'avoir le couple Dombasle/ Lévy (même si ce dernier à pas faire rire Charlie Hebdo),avec le film de cette première qui sera le plus grand éclat de rire de ma part, on la refait pas c'est certains, et franchement il faudrait faire un biopic d'Arielle Dombasle cela vaudrait le coup assurément, avec elle on oublie tout nos petits soucis du moment.

Pour pas me refaire j'ai bien aimé la prestation de Grégoire Collin pas né au moment de l'action du Film.

Car quelle CARICATURE est plus réaliste que ce couple (Dombasle/Lévy).

Le nouveau Disney/Pixar m'a un peu déçu , mais c'était un peu prévu, étant un film de transition, et Les Nouveaux Sauvages c'était pas le moment de le voir.

Les Nouveaux Sauvages de Damian Szifron avec Ricardo Darin et Léonardo Sbaraglia, est le film phénomène en Argentine avec plus de 3 millions de spectateurs, et qui avait été présenté au Festival de Cannes l'année dernière.

Le film est présenté comme un grand éclat de rire, est-ce l'ambiance actuelle, mais celui-ci m'a à peine fait sous-rire, car le sujet principal étant le pétage de plomb, on peut en rire ou pas.

Les Nouveaux Sauvages est aussi un film à sketchs, sans lien entre eux, qui est format inhabituel depuis plusieurs années et toujours très spécial a apprécié, car on a l'impression que chacun des sketchs peut mieux faire.

Avec ce film, on pense évidement aux deux films de Dino Risi, "Les monstres" et "Les nouveaux monstres", mais sans le talent de ce dernier.

Quel est le défaut du film pour moi, l'hystérie collective, qui a force plombe le sujet, si sur les deux premiers sketchs cela passent, après cela devient répétitif dont le dernier long, long comme la cordillères des Andes.

A l'arrivée, un film très inégal, très colorés, qui est contradictoire sur la noirceur du sujet, probablement un film, qu'on aurait du voir dans un autre contexte.

"Dans le monde actuel beaucoup de personnes plongent dans le stress ou la dépression, et certaines finissent par craquer. Confrontés à une réalité qui change du jour au lendemain pour une déception amoureuse, le poids du passé ou la vie quotidienne, les personnages de Relatos Salvages se retrouvent vulnérables et sombrent complètement, parfois en prenant plaisir à perdre le contrôle.

Note : 13.30

BIG HERO 6 (Les nouveaux héros) est un film d'animation de Don Hall et Chris Williams. Le film des studios Disney est évidement un film de Transition en attendant cette année le très attendu Vice-Versa, qui devrait déplacer les foules et les récompenses.

Big Hero 6 qui utilise des personnages de l'univers Marvel Comics, et ces personnages sont mythiques au Japon, on s'aperçoit très vite que le film est fait surtout pour le public Japonais.

Big Hero 6 est une équipe de super-héros évoluant dans l'univers de Marvel. Les personnages de fiction apparaissent pour la première fois dans le comic book Sunfire et Big Hero 6 de septembre 1998. Ils remplissent au Japon les mêmes fonctions que les vengeurs aux Etats-Unis


L'équipe de Big Hero 6 fut formée par des politiciens et des hommes d'affaires, dans les l'équipe on retrouve Baumax (synthézoide créé par Hiro), Le Samourai d'Ebene (un super combattant immortel), Gogo Tomako (qui transforme son corps en boule d'énergie, Hiro Takachiho (un jeune inventeur génial) Honey Lemon (jeune fille possédant une bourse liée à une autre dimension) Wasabi No6dinger, Fred et Sunpyre.

On retrouve des personnages comme le Samourai dans Wolverine.

Ici, Hiro Hamada, un génie de la robotique, va apprendre à maîtriser et exploiter son talent grâce à son frère, le brillant Tadashi, et à leurs amis GoGo Tamago, accro à l'adrénaline, Wasabi, un maniaque de la propreté, HOney Lemon, une chimiste surdouée et Fred, un Fanboy convaincu. LOrsqu'ils se retrouvent embarqués dans un complot criminel qui menace de détruire la ville de San Fransokyo (une ville hybride entre San Fransisco et Tokyo) , Hiro se tourne vers son plus proche compagnon de robot, Baymax, et transforme la petite bande en un groupe de super-héros high-tech déterminés à résoudre le mystère et à sauver la ville.

Le film peut plaire aux petits fans de super-héros et de robotique, mais laissera froid (comme le dessin d'ailleurs) les adultes, pour un film loin d'être le meilleur des studios Pixar.

Note : 12.90

 

Opium d'Arielle Dombasle avec Grégoire Colin, Samuel Mercer et Marisa Berenson.

C'a y est j'ai déjà vu le film le plus drôle de l'année (film qui date de 2013), dont le titre "Opium" que c'est certainement pas le parfum de YSL, qui était de la partie pendant le tournage.

Premier grand rire "Arielle Dombasle" notre Angelina Jolie mais sans Brad Pitt, qui se prend au jeu du métier de réalisatrice.

Quand on pense à Dombasle, on pense bien-sûr à son philosophe de mari, qui n'a pas philosopher sur le film de sa chère (très chère) et tendre, faut dire qu'il n'a pas à lui faire la morale après avoir réalisé Le jour et la nuit.

Dombasle n'étant plus à un paradoxe près nous raconte les aventures amoureuses de Raymond Radiguet (Le Diable au corps) et Jean Cocteau, qui jusque là était plus caché, sans preuve et témoignage apparent.

Le film raconte les amours contrariés de Jean Cocteau et Raymond Radiguet au début des années 20, jusqu'à ce que Cocteau sombre dans l'Opium après la mort de Radiguet en 1923. Librement adapté du journal d'une cure de désintoxication tenu par Cocteau en 1929, le film restitue cette aventure sous la forme d'une comédie musicale dans l'esprit de Cocteau.

Est ce que cette icône gay et bourgeoise inhérente, Dombasle nous sert une soupe à l'Opium psychédélique avec quelques herbes qui font mal à la tête.

Elle invite dans sa virée , une grande partie de l'intelligentsia parisienne gay et gay-friendly,ce qui est moins difficile à gérer.
Par contre, j'aurais du fumer avant de voir le film, pour y comprendre la moindre image, à l'arrivée tellement c'est IN que c'en est très drôle.

Vous trouverez aussi Philippe Katherine en Ninjinsky sans la grâce, et le retour de Grégoire Colin, même s'il était pas né (colin:pané) en 1920.

Note : Entre 0 et l'indéfini au dessous de 0


Le premier film de la compétition "A Girl Walks Home Alone at Night" de Ana Lily Amirpour avec Sheila Wand et Arash Marandi. Drôle de film que ce film Iranien, qui n'a d'Américains que la production, un film en noir et blanc ou même le sang est noir pas comme dans Sin City.

Si l'équipe du film a été impressionné par la taille de la salle (pour un film de ce budget), le comparant au Super Bowl,nous a été surpris par le ton du film que ce soit au niveau photo, scénario et point de vue global.  Un film avec de long plan séquence 100/100 hypnotique qui dure plusieurs minutes avec un chat ou une vampire et un jeune homme qui se prend pour Dracula.

Ce film me rappelle les films des années 50/60 psychadéliques ou les fans des salles obscures se confondaient entre ce que voulaient dire le réalisateur et ce qu'il avait compris (il y a du Franju là dedans) voir du Ed Wood..

L'histoire se passe à Bad City, un lieu ou tous les vices suintent la mort et solitude, les habitants n'imaginent pas qu'un vampire les surveille, pour leur sucer les doigts et les croquer comme un nuggets. Alors qu'en l'amour s'en mêlent c'est une passion peu commune qui s'embrase.Une passion couleur de sans mais en noir et blanc.

De bon matin, à Deauville, c'est osé car les plans sont long, les dialogues sont aussi intéressant que dans certains livres de cette rentrée, mais là on n'est pas avec les "sans-dents".

Il y a certainement des messages dans ce film, des messages concernant la condition de la femme en Iran, voir plus, mais moi cela m'a laissé froid, mon sang ne s'est pas réchauffé, et la salle encore moins. La réalisatrice dit qu'elle est folle, non mais elle en est pas loin.

A noter un plan dans une voiture, face au pare-brise, ou le héros, la vampire et un chat nous offre un plan arrêté de plusieurs minutes , heureusement que le chat bouge la queue.

Note : 12.00

















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