Pages

samedi 8 août 2020

ADAM MCKAY ET AMY ADAMS REUNIS DANS LA S2RUE KINGS OF AMERICA

L’actrice et le réalisateur de Vice se retrouvent pour Kings of America, une minisérie diffusée sur le géant du streaming, centrée sur un trio de femmes occupant de hauts postes dans la multinationale Walmart 


Deux ans après Vice, qui plongeait dans les arcanes de la politique américaine, le réalisateur et scénariste Adam McKay et l’actrice Amy Adams refont équipe pour narrer l’histoire de trois héroïnes, Kings of America.

Le programme destiné au petit écran, et prochainement intégré au catalogue de Netflix, sera consacré aux trois personnages « dont la vie était inextricablement liée à la plus grande entreprise du monde : une héritière de Walmart, une dirigeante non-conformiste et une vendeuse et prédicatrice de Walmart de longue date, qui ont osé se battre contre le géant de la grande distribution américain, au cours d’un procès en class action, l’un les plus énormes de l’histoire des États-Unis », détaille Deadline.

L’actrice revient pour la première fois à la télévision depuis Sharp Objects en 2018, elle sera également productrice exécutive, aux côtés de Diana Son (13 Reasons Why), qui affiliée au projet en tant que showrunneuse, ainsi que la journaliste Jess Kimball Leslie, créatrice chargée de l’écriture du show.

L’histoire devrait évoquer la plainte collective déposée en 2001 pour « discrimination sexiste » contre le géant de la grande distribution américaine. Plusieurs femmes, dont Betty Dukes, caissière dans un magasin de Pittsburg et première à sortir du silence, avaient fait part de la politique sexiste de Walmart à l’égard de ses employées.

Une trame propice à la narration chorale, qui n’est pas sans rappeler celle de Scandale de Jay Roach, très inspiré du style de McKay, qui retrace la mise au jour du système toxique et misogyne instauré à Fox News par le magnat Roger Ailes, accusé de multiples agressions et de harcèlement sexuel. Un canevas dramatique similaire, dans lequel excellera certainement Adams.

Source : Ciné Chronicle

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire