Synopsis : Protégés par la jungle, César et les singes sont confrontés à l'armée d'un colonel humain sanguinaire qui cherche à tout prix à retrouver César pour installer la domination des hommes sur les primates. Défaits lors d'un assaut violent, le colonel se déplace en personne dans le refuge de César pour le tuer alors que ce dernier venait de prendre la décision de faire avancer la colonie vers un désert repéré par son fils et son ami Rocket, où les humains ne pourraient plus leur causer d'ennuis. Le Colonel tue le fils de César ainsi que sa femme, épargnant sans le savoir un autre nouveau-né du singe. César tente de le tuer pour cet acte mais n'y parvient pas. Il se lance alors à sa poursuite, aidé par Maurice, Rocket et Luca tandis que la colonie avance vers le désert promis.
Rencontrant en chemin un autre singe sachant parler, échappé d'un zoo, ils trouveront sur leur route une petite fille et son père. Celui-ci, ancien combattant dans l'armée du colonel, tentera de tuer César qui sera plus rapide que lui. L'orpheline s'avère être muette et Maurice insiste pour la prendre sous son aile.
Le groupe retrouvera l'armée du colonel qui laisse derrière lui de nombreuses traces dont des cadavres humains de sa propre armée. Il aura, notamment, capturé toute la colonie de singes qui s'enfuyait et les obligera à construire un mur destiné à le protéger de troupes ennemies. En effet, après avoir capturé César, il lui expliquera que le virus de la grippe simienne qui a détruit l'humanité est encore présent dans les gènes des survivants et est en train de muter, rendant muet et à l'état d'animal quiconque serait touché. Il a donc exterminé certains de ses hommes touchés ainsi que son propre fils unique. Certains soldats avaient des enfants touchés et ont préféré s'enfuir. Evidemment, les autres troupes militaires ne cautionnent pas cela et viennent arrêter cette folie meurtrière. C'est pourquoi il a besoin d'un mur.
Au terme d'une bataille épique où César est blessé par un tireur d'élite qu'il avait épargné, le colonel se suicide après s'être rendu compte qu'il était touché par le virus à son tour. César aura préféré l'épargner malgré la haine qu'il ressentait à son égard pour ne pas devenir comme Koba, le singe responsable de la guerre entre Hommes et Primates.
Les singes libérés partent une nouvelle fois en direction du désert en compagnie de la petite orpheline que Maurice rebaptise Nova et atteignent une immense étendue d'eau où ils vont pouvoir s'installer. Malheureusement, la blessure de César s'est infectée et il a attendu de savoir son peuple en sécurité pour s'éteindre dans les bras de Maurice en lui faisant promettre de veiller sur la colonie. En retour, Maurice lui promet que le fils de César, Cornélius, saura qui était son père : le sauveur des singes.
On rendra grâce au réalisateur (Matt Reeves) et au scénariste Mark Bomback et Matt Reeves de respecter enfin (après deux opus assez faible) le roman de Pierre Boule de 1963, on connaît le roman ou les films qui en ont été tirés dans les années 68/75 dans les cinq films avec le chef d'oeuvre pour moi qui est Les Evadés de la Planète des Singes, qui est comme un lien indéfectible avec ce nouvel épisode.
Si ces premiers films , les singes pouvaient semblé ressemblé à des peluches, mais l'histoire donnait un sens à beaucoup de questions que l'on peut se poser sur une vie ailleurs, ou de projection christique , Matt Reeves à réussi le pari grandiose de donner un sens à l'histoire conçu par Pierre Boulle, nous parlant de racisme, d'intégration, d'exode de peuples, ou ségrégation et même de religion si on s'y penche plus près.
Dans ce film on retrouve nos classiques du cinéma, l'exode des Dix Commandements ou La Grande Evasion avec un appétit jubilatoire , car c'est précis comme une horloge et les aiguilles tournent vraiment dans le bon sens et pas à l'envers.
Il faut savoir que cet sage tiré du roman de Pierre Boule est inspiré des travaux de Darwin sur l'évolution ne contradiction avec les aspects religieux qui nous pourrissent la vie aujourd'hui sur des mensonges. Et cet histoire semble tellement possible que nos fameux singes soient finalement plus humains eux même, sachant eux aussi avoir la haine quand on touche à leur famille, les scènes de César avec son fils Cornélius sont formidables, car pour ceux qui connaissent le film avec Charlton Heston, Cornelius se posaient des questions sur ses origines, ici sans toutes les explications soient totalement données, on avance sur les questions restant en suspens.
Si le livre était plus un film d'anticipation simiesque, ici le film s'intéresse au combat au quotidien des singes de pouvoir vivre dans une société qui les a exclus avec des paramilitaires avec à sa tête le Colonel jouer par Woody Harrelson vrai facho qui considère les singes comme ses ennemis, toute ressemblance.
Matt Reeves a réalisé un grand film d'aventures, tout en laissant quelques messages de réflexion, et même si il y a quelques lenteurs , les scènes d'actions et de combat sont assez géantes et notamment la scène de l'évasion qui est géante.
Mais la grande qualité du film outre les décors et les effets visuels et du montage son ou on prend plein les oreilles, ce sont ces singes sur avec ce système Motion Capture encore plus extraordinaire que les précédents , il n'y a pas que César (Andy Serkis) cette fois qui nous sert une prestation éblouissante, mais également tous les autres singes des Gorilles, au Chimpanzé et au magnifique Orang Outang avec ces yeux tellement expressif, il faut saluer le très grand travail d'Andy Serkis dans le rôle expressif de César qui mériterait un Oscar et également en tant que coach pour les autres comédiens qui utilisent ce mode de motion capture, jamais autant ce système donne des sensations exceptionnelles.
Le film de Matt Reeves est une des très bonne surprise de cet été assez catastrophique sur les blockbusters.
Et la fin annonce t-elle la fin de l'histoire , pour moi par essentiellement car Cornélius est le lien important avec le début du livre de Pierre Boulle, la fin est ouverte en tous cas j'espère qu'on conclu pour se retrouver à l'origine de l'histoire.
Et cette scène superbe sur la plage qui rappelle tellement la scène finale du premier tout premier.
NOTE : 17.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Matt Reeves
Scénario : Mark Bomback et Matt Reeves
D'après : La Planète des Singes de Pierre Boulle
Direction Artistique ; Maya Shimoguchi
Décors , James Chinlud
Costumes ; Melissa Bruning
Photographie ; Michael Seresin
Montage ; William Hoy et Stan Salfas
Musique : Michael Giacchino
Production : Peter Chernin, Dylan Clark, Rick Jaffa, Amanda Silver, MarBomback et Mary McLaglen
Effets Visuels : Dan Lemmon et Joe Letteri
Budget ; 150 millions de dollars
DISTRIBUTION
Dans ce film on retrouve nos classiques du cinéma, l'exode des Dix Commandements ou La Grande Evasion avec un appétit jubilatoire , car c'est précis comme une horloge et les aiguilles tournent vraiment dans le bon sens et pas à l'envers.
Il faut savoir que cet sage tiré du roman de Pierre Boule est inspiré des travaux de Darwin sur l'évolution ne contradiction avec les aspects religieux qui nous pourrissent la vie aujourd'hui sur des mensonges. Et cet histoire semble tellement possible que nos fameux singes soient finalement plus humains eux même, sachant eux aussi avoir la haine quand on touche à leur famille, les scènes de César avec son fils Cornélius sont formidables, car pour ceux qui connaissent le film avec Charlton Heston, Cornelius se posaient des questions sur ses origines, ici sans toutes les explications soient totalement données, on avance sur les questions restant en suspens.
Si le livre était plus un film d'anticipation simiesque, ici le film s'intéresse au combat au quotidien des singes de pouvoir vivre dans une société qui les a exclus avec des paramilitaires avec à sa tête le Colonel jouer par Woody Harrelson vrai facho qui considère les singes comme ses ennemis, toute ressemblance.
Matt Reeves a réalisé un grand film d'aventures, tout en laissant quelques messages de réflexion, et même si il y a quelques lenteurs , les scènes d'actions et de combat sont assez géantes et notamment la scène de l'évasion qui est géante.
Mais la grande qualité du film outre les décors et les effets visuels et du montage son ou on prend plein les oreilles, ce sont ces singes sur avec ce système Motion Capture encore plus extraordinaire que les précédents , il n'y a pas que César (Andy Serkis) cette fois qui nous sert une prestation éblouissante, mais également tous les autres singes des Gorilles, au Chimpanzé et au magnifique Orang Outang avec ces yeux tellement expressif, il faut saluer le très grand travail d'Andy Serkis dans le rôle expressif de César qui mériterait un Oscar et également en tant que coach pour les autres comédiens qui utilisent ce mode de motion capture, jamais autant ce système donne des sensations exceptionnelles.
Le film de Matt Reeves est une des très bonne surprise de cet été assez catastrophique sur les blockbusters.
Et la fin annonce t-elle la fin de l'histoire , pour moi par essentiellement car Cornélius est le lien important avec le début du livre de Pierre Boulle, la fin est ouverte en tous cas j'espère qu'on conclu pour se retrouver à l'origine de l'histoire.
Et cette scène superbe sur la plage qui rappelle tellement la scène finale du premier tout premier.
NOTE : 17.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Matt Reeves
Scénario : Mark Bomback et Matt Reeves
D'après : La Planète des Singes de Pierre Boulle
Direction Artistique ; Maya Shimoguchi
Décors , James Chinlud
Costumes ; Melissa Bruning
Photographie ; Michael Seresin
Montage ; William Hoy et Stan Salfas
Musique : Michael Giacchino
Production : Peter Chernin, Dylan Clark, Rick Jaffa, Amanda Silver, MarBomback et Mary McLaglen
Effets Visuels : Dan Lemmon et Joe Letteri
Budget ; 150 millions de dollars
DISTRIBUTION
- Toby Kebbell (VF : David Kruger) : Koba
- Chad Rook (VQ : Pierre-Étienne Rouillard) : Boyle
- Ty Olsson (VQ : Jean-François Beaupré) : Red
- Gabriel Chavarria (en) (VF : Alexis Gilot ; VQ : Xavier Dolan) : Preacher
- Mercedes de la Zerda : Lang
- Roger Cross (VF : Mohamed Sanou ; VQ : Fayolle Jean Jr.) : Capitaine
- Sandy Robson (VQ : Christian Perrault) : Mitrailleur
- Doug Chapman (VQ : Daniel Roy) : Déserteur
- Sara Canning : Lake
- Aleks Paunovic
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