JOUR 1 : Mercredi 2 avril 2014
Départ ce Mercredi 2 avril 2014 à 10h23 de la Gare de Lyon pour Beaune, avec ses spécialités régionales qui excitent mes papilles (Jambon Persillé, Oeuf en Meurette, Boeuf Bourguignon, Coq au vin, pain d'épices, Délices de Pommard, Epoisses et Citeaux) et quelques verres de Bourgogne.
Bien arrivé à Beaune à 12h35, mais le voyage en TGV assez craignos, un emplacement pour vos jambes et vos bagages digne d'un Low-Coast, mais pas le prix, lui on dirait qu'on voyage en classe affaire. Tellement serré que j'avais les genoux collés sur mon voisin un militaire ou un agent de la DGSE (vu sa carte tricolore). Le train allait après Dijon, vers Bâle et Zurich, mais après avoir regardé mes bagages, ou je n'avais pas de Lingot d'or, je suis descendu à Dijon pour la correspondance, pas le temps de manger un hot-dog, malgré toute la moutarde à dispo.
Arrivé à l'Hôtel Henri II, comme j'avais vu le Henri III de Kenneth Brannagh, je voulais voir ce qu'il avait fait avant, et bien il avait fait un Hôtel.
Bon il parait que c'est un 4 étoiles, a bah mon ami Teddy, il va pas descendre un 4 étoiles notre ami Viggo , petite chambre pour un 4.
Etant donné qu'en passant vers 13 heures devant le lieu du festival, avec déjà beaucoup de monde (surtout des fans de Johnny) , j'ai décidé de venir tôt au Tapis Rouge, n'étant pas très attirer par le film de Lelouch. Bien m'en a pris, comme d'habitude j'ai pu discuter avec des gens dont Rémy qui m'avais pris avec Lynch et Bates l'année dernière, et qui recommencé gentiment ( à suivre), et Frédéric un fan de cinéma de Lyon, j'en ai profité de vendre mon Blog avec mes petites cartes de visites.
5 heures d'attente, ou on vanné (pardon ou j'ai vanné sur Johnny), regarder un sosie de Johnny, remarquer que les fans du dit Johnny qui sont soit sourd ou pas aimable, quand quelqu'un d'autre que Johnny leur pose une question.
Dis bonjour à nos amis de la sécurité de Deauville aussi, et les personnes qui s'occupe des relations au Public Systems toujours aussi gentille et content de me voir, cela donne son effet quand des gens de l'organisation viennent vous dire bonjour.
Demandé au maire de Beaune ou en était de son extension du cinéma, ou il m'a dit que c'était en cours de signature (reste 2 ans à attendre), par contre il a annoncé que l'Ecole de Cinéma de Lelouch serait inauguré en Novembre.
Et puis enfin les invités sont arrivés, qui se sont prêtés for bien au jeu.
Et puis l'arrivée de Johnny vers 19h15 sous un concert d'Harley de ses vrais fans motorisés.
Au total 2 photos avec des stars, pleins de photos et autographes "Pascal Demolon (Radio Stars) - Cédric Klapish - Anne Parillaud - Marie Gillain - Isabelle de Hertogh - Irène Jacob - Paul Haggis - Walter Hill, Marc Lavoine - Claude Lelouch et bien sûr Johnny Halliday.
Pour une première soirée on ne peut qu'être content, et en plus pas de bordel.
Donc demain on pourra s'atteler au film, car pour un début c'est pas si mal.
LES STARS ET MOI POUR CE JOUR 1
Walter Hill et moi |
Pauline Lefevre et moi |
ET QUELQUES PHOTO EN PLUS
Pauline Lefevre |
? |
Cédric Klapish |
Anne Parillaud |
Marie Gillain |
Marc Lavoine |
Walter Hill |
Paul Haggis |
Johnny Halliday |
Irène Jacob |
Claude Lelouch |
Isabelle de Hertogh |
Les Bikers Dijonnais qui ont reçu Johnny à coup de moteur va va vroum |
Avant c'était un Boeuf Bourguignon çà c'était avant |
On continue mes aventures à Beaune, bon c'est pas Rouletabille, célèbre feuilleton du début du 20ème siècle, mas mes pérégrinations au festival pour ce 2ème jour.
Réveil difficile avec un mal de hanche (fatigue, vieillesse) je ne sais pas mais cela gâche la journée, dont aujourd'hui 1er jour de compétition :
Avec "71" de Yann Demange, avec Sean Harris, Jack O'Connel, David Vilmot, Paul Anderson, qui raconte l'histoire du conflit irlandais en 1971, ou de jeunes recrues sont appelés en renfort à Belfast lieu très chaud et affrontement entre une ville coupée en deux, entre catholique et protestant.
Dès le début du film, on voit les hommes montés au front envoyant des adolescents et même des enfants soutenirs leurs luttes et puis les femmes pensées les plaies, et puis il n'est pas bon de rester d'un côté de la lutte quand on est dans l'autre camp, ce qui arrive à Gary recrue britannique, qui devra survivre blessé dans le mauvais côté, avec toutes les trahisons qui soient dans les 2 camps.
C'est pas un film nouveau dans l'histoire du conflit, mais cela donne une bonne idée de la connerie de la situation au jour le jour, surtout quand des enfants sont mis en avant, c'est filmé aux forceps, caméra aux poings c'est le cas de le dire. Et puis on peut déplacer l'histoire partout dans le monde (Palestine, Ukraine, Kozovo) on aurait la même honte.
Note : 13.40
Le suivant "Blue Ruin" de Jérémy Saulnier avec Macon Blair, Devin Ratray et Amy Heargraves, ou va suivre un vagabond solitaire, qui décide de retourner dans sa maison d'enfance pour accomplir une vielle vengeance , étant pas très doué, il est entraîné dans un conflit brutal pour protéger cette famille qui lui est étrangère.
Très Difficile d'accès surtout au début, et la violence gratuite du quotidien m'emballe pas trop, mais bon c'est la vie, pas du grand cinéma, et une morale un peu limite.
Note : 10.80
Sinon journée bien calme, je voulais allez voir le dernier film d'Eric Barbier, en compétition, mais considérer comme tapis rouge, donc bien m'en a pris de ne pas faire la queue, car que 40 personnes en plus sont entrés du public.
Donc Tapis Rouge, ou j'ai continué mes emplettes avec des autographes en plus (Fanny Valette, Eric Barbier, Sophie Mounicot, François Berléand, Anne Parillaud qui a gentiment signée "Nikita" a ma demande, Yvan Attal et Bérénice Béjo à qui j'ai rappelé que la dernière fois qu'on l'avais vu c'était à Deauville 1 semaine avant d'avoir son bébé. Et puis des poses avec Paul Haggis, Bérénice Bejo et Anne Parillaud.
LES STARS ET MOI POUR CE JOUR 2
ET QUELQUES PHOTOS EN PLUS JOUR 2
La grande vadrouille |
Cédric Klapish |
Pio Marmai |
Sophie Mounicot |
Marie Gillain |
François Berléand |
Marc Lavoine |
Marc Lavoine |
Yvan Attal |
Bérénice Bejo |
Eric Barbier |
Le Carmel de Beaune ou se trouve le centre du Festival et ou Louis XIV est passé en 1658 avec sa cour. |
JOUR 3 : VENDREDI 4 avril 2014
Un invité exceptionnel pour ce 3ème de jour de Festival "La pluie", et une annulation qui déçoit beaucoup "Viggo Mortensen", plus l'annulation dans le Jury de Jean Hughes Anglade, cela fait beaucoup quand même,heureusement que le Jury joue le jeu à plein, ainsi que les équipes de films, et puis Nikita est toujours aussi belle.
L'acteur Kim-Roi-Ha reçu comme une star pour présenter son film, c'est vu à la sortie diriger vers la sortie du public pour ne pas déranger les stars françaises, il se souviendra de cet accueil, mais heureusement grâce à votre serviteur qui a vu la scène et c'est détourné des barrières pour lui demander une photo et un autographe, la suite a été pour lui un grand moment ou une vingtaine de personnes lui ont demander de poser et signer, et un groupe de lycéens, et avec son zen asiatique, il s'est prêté au jeu (bon moment).
J'ai été interviewé par le "Bien Public", je verrais Lundi si j'y suis, puis discuter 2 mots avec Rachid Bouchareb sur ses films, et remis à sa place une pipelette qui se moquait que je lisais l'équipe (et blablabla). Qu'on me donne une hache.
Et puis pour oublier ma peine de ne pas voir le roi de la purée (Viggo) , je suis allez manger en ville, toujours pas trouver le bon resto.
Mais à la table à côté de moi, c'est installé 3 couples dont un m'a interpellé pour savoir si j'étais un propriétaire de chevaux, vu que je lisais le Turf. Et tout ce beau monde était Norvégien.
Lui m'a parlé de son cheval fils d'Idéal du Gazeau qui ne court qu'en Norvège , et moi je lui ai parlé du film Norvégien que j'ai vu le matin, échange de bon procédé.
J'adore ce type de rencontre du hasard.
On commence pour les films par un film coréen (du sud) "The Stone" de Cho-Se-Rae avec Kim-Roi-Ha et Cho-Dong-Hi.
C'est le premier film du réalisateur, mais hélas le dernier, car il est mort dans un accident de voiture, l'année dernière.
The Stone, c'est pas un film sur Mick Jagger ou de Sharon, non The Stone c'est la Pierre utilisée dans le "GO" chinois.
Si on ne connait pas ce jeux (une sorte de Dames) ce qui est mon cas, le film va vous donner des visions de sommeil, car tout le film tourne autour du talent du jeune Nam-Hae qui grâce à son talent va intégrer la pègre.
Un bon oreiller et puis dodo.
Note : 10.40
Le deuxième par contre est mon premier coup de coeur, mis pas le seul, car la salle a applaudi à tout rompre, ce vaudeville noir comme le charbon qu'on ne trouve pas en norvège.
Le film s'appelle " In Order Of Disappearance" et en norvégien plus facile "Kraftidioten" de Hans Peter Molland avec Stellan Skarsgard, Bruno Ganz et Pale Sverre Hagen.
C'est un western norvégien entre Peckinpah, Tarentino et les Frères Coen et s'est un sacré compliment.
Il y a une trouvaille à la minute, et quand on va vers une discussion académique, le sujet se barre en couille et les théories sur tout et sur rien fusent de toute part.
C'est un film noir, mais on se marre tout le temps, comme si tous ses branques nous refaisaient les Dalton, un vieux Lucky Luke et plein de rantanplan.
Imaginé, Nils père de famille tranquille apprend la mort de son fils (1er In-Mémorian à l'écran) qui c'est trouvé au mauvais endroit entre des mafieux locaux fils de bonne famille, et des mafieux Serbe.
Le père décide de se venger, et comme il est conducteur de chasse-neige, il va s'en servir et faire passer de vie à trépas les coupables présumés de l'un ou l'autre camp, car ceux-là n'on pas inventé le glaçon d'eau chaude. De nouveau des In-Mémorian, on voit pas la vengeance, mais après ce qu'il en reste.
Et comme dans les villes de Western , l'affichage au début de la ville, va diminuer de jour de jour, comme les 2 clans se croient les coupables, ils en rajoutent.
Les chauffeurs des mafias norvégiens s'emmerdant tellement palabre soit sur les prisons norvégiennes ou s'embrassent pour passer le temps.
C'est du Tex Avery avec un mélange Plympton.
Jusqu'à la vengeance finale, qui va remplir l'écran d'In Mémorium.
Des meurtres à la pelle et du rire jaune ou plutôt Norvégiens, et comme on dit en Norvège il n'y a pas d'Hamlet sans cassez des Oeufs.
Et puis si vous penser à la fin du film, qu'il manque quelqu'un dans les In Mémorium, qui est allez faire du parapente pendant que les autres s'entretuait, rien n'est définitif.
Et puis si vous penser à la fin du film, qu'il manque quelqu'un dans les In Mémorium, qui est allez faire du parapente pendant que les autres s'entretuait, rien n'est définitif.
Note : 17.00
LES STARS ET MOI POUR CE JOUR 3
Kim Roi Ha et moi |
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Rachid Bouchareb et moi ET QUELQUES PHOTOS DE PLUS |
Kim Roi Ha |
JOUR 4 : Samedi 5 avril 2014
Un film très esthétique, dans la lignée de Wong Kar Wai, Le titre en anglais fait référence aux charbons et la glace, deux indices dans la découverte des meurtres.
Si on aime, ce type de film très lent, et stylisée c'est pour vous, autour d'une soupe chinoise, ou de feux d'artifices, joli film mais pas assez d'action, pour un polar.
Note : 14.50
Le deuxième est un film anglais "Les poings contre des murs" d'Andrew McKenzie avec la star de Skin et déjà en début de compétition dans "71", Jack O'Connel, Rupert Friend, Sam Spruell et Ben Mendhelson qui a obtenu le prix du meilleur acteur aux British Spirit Awards, et le film nommé 6 fois.
Un film huis-clos carcéral, sous tension, ou la filiation père/fils est le principal accès du film, très violent, mais sacrément interprété, et je découvre Jack O'Connel que je connaissais peu.
Le film retrace l'histoire d'Eric un jeune garçon de 17 ans, qui va être transféré dans une prison pour adulte. Là, il va tenter de se faire respecter par les autres détenus et surveillants. Mais il v surtout tenter de contrôler ses pulsions grâce à Olivier le psychiatre, et rencontrer un homme Neville, qui va se révéler être son père. Chacun voulant montrer qui le maître.
Note : 15.90
A la déclaration du palmarès suivi avec les journalistes de France 3 Bourgogne en dehors de la salle, oui car le public lambda n'est pas invité aux cérémonies de ce type, pire à Deauville le prix du public est remis en dehors de ceux qui ont votés, mais bon.
Donc à la lecture du palmarès, je me réjouis que le grand gagnant de la soirée est mon gros coup de coeur (voir demain matin une fiche spéciale).
Après la sortie, j'ai été interviewé par France 3, j'irais voir sur le site demain soir, et j'ai félicité Klapish du choix de son Jury qui l'honore, ne récompensant pas comme les critiques l'Ours d'Or de Berlin (dort est le mot juste), trouvant le film élitiste et plastique plus que du cinéma.
La pluie ayant voulu nous laisser tranquille, on a pu aujourd'hui alliez films et photos, et avec de la patience, même fait ce pour qui j'étais en retard projection oblige.
Et puis un Selfie avec Niels Arestrup qui n'est pas évident à faire, et même bien le seul je crois bien, par contre Lanvin, Karyo et Lespert ont bien joué le jeu.
Aujourd'hui le palmarès mais certainement pas avec l'équipe du gagnant, car les équipes de films cette année étaient faméliques, un acteur Koréen par ci, un réalisateur Néerlandais par là, pour en plus les 2 films les plus soporifiques, mais avec un jury sait-on jamais.
Aujourd'hui je verrais 2 films de la compétition.
Pour aujourd'hui commençons avec "Wolf" de Jim Tahiuttu, je sais cela ne fait pas vraiment Hollandais avec Marvan Kenzari, Chems Eddine Amar et Raymond Thiry.
D'ailleurs pas beaucoup de hollandais pur jus, mis ceux issues de l'immigration Turque et Marocaine.
Ou Majid, jeune marocain tout juste sorti de prison, peine à se réinsérer. Il alterne vols de scooters et séances de Kickboxing. Sa rage est vite repérée par la pègre locale turque, qui voit en lui une recrue de choix.
Le réalisateur qui nous avait prévenu pourtant avant la séance, on nous précisant que si on voulait passer une douce matinée, qu'il fallait sortir de la salle, on devrait écouter les conseils de ceux qui nous les donnent, car pendant 2 heures il va nous donner une image de son immigration pas vraiment folichonne, et d'une violence gratuite.
En plus c'est en noir et blanc, qui n'est pas sans rappelé "La haine" de Mathieu Kassovitz, et il ne donne aucun espoir à ses personnages, Madjid ne suivant pas les préceptes de son père, va gangrener son jeune frère, qui ne suivait pas son chemin.
Mais c'est pas impossible que ce type de films obtiennent un prix (pas celui du public), par son avant-gardissme et sa brutalité même dans ses images et son montage.
Note : 10.30
Dans le film suivant " Devil's Knot" du réalisateur Canadien Atom Egoyan (en forme en ce moment le cinéma canadien "Vallée-Villeneuve"), avec un gros casting Reesse Weesterpoon, Colin Firth, Elias Koteas, Bruce Greenwood et Dan de Han.
Voilà un film ou entre bouleversé et en sort encore plus perturbé, surtout chez nous en France en ce moment par l'affaire de Montigny-les-Metz.
3 enfant de 8 ans dans une petite ville de l'Arkansas jouent innocemment puis disparaissent dans l'antre du bois.
Les recherches commencent dès le signalement des disparitions, mais la police fait un peu n'importe quoi, avec justement 3 disparitions qui ne lient pas ensemble au départ.
Quelques jours après (le réalisateur ne joue pas avec la notion du temps, et passe d'une scène à l'autre), les 3 enfants garçons sont retrouvés noyés, nus et attachés dans les marais gluants.
Va s'en suivre, une chasse aux sorcières incompréhensibles pour tout homme bien éduqués.
Car des dizaines de piste s'offre aux enquêteurs, un Black ensanglanté qui se réfugie dans un Drive mais qu'on laisse partir, et dont on relève même pas l'ADN sur le sang collé au mur. Un adolescent (génialissime Dan de Haan) petite frappe locale, qui a des dizaines de kilomètres des faits s'accuse des meurtres, des viols des 3 enfants (pas d'ADN pour savoir si les enfants ont été violés), qui va avouer puis se rétracter et qu'on laisse en liberté.
Des Octoctones dont les emplois du temps ne sont pas vérifiés, pour savoir ou il était au moment des faits.
Pourquoi toutes ses erreurs, tout simplement parce un jeune enfant du même âge que les victimes (ah la parole de l'enfant), affirme connaître les coupables et avoir assisté aux meurtres avant de s'échapper (sauf que l'on sait qu'il était que 3), et que cette affaire sont des meurtres sataniques (liens importants dans cette région très religieuse), et le diable se sont 3 adolescents de 16 à 18 ans qui rien ne préfigure ce qui va leur arrivée (même si leur cursus, ne les aide pas , satanisme, Heavy Métal, QI très bas).
Et bien ces 3 adolescents sans preuve matériel, vont être condamné à perpétuité et peine de mort car un enfant à parler trop apparemment.
Un enquêteur va toutefois après le procès trouver le vrai coupable grâce à un cheveux retrouvés sur les liens d'un des gosses.
Malgré tout les 3 ados ont fait 18 ans de prison, et même s'il sont en liberté, ils sont considérés comme coupable au yeux de cette justice aveugle, car tout est faux dans les témoignages, et la police local s'est trop focalisé sur les 3 ados au lieu de s'occuper du reste.
C'est un fait divers célèbre aux States, ayant fait l'objet de plusieurs documentaires, peut-être plus précis.
Les acteurs sont tous très bon, surtout les adolescents, mais le fond et plus important que la forme, mais j'ai cette impression que le film n'est pas complètement fini au montage. D'ailleurs le film n'était pas sous-titrés en Français, mais uniquement par le festival.
Malgré tout cela fait froid dans le dos.
Note : 15.30
LES STARS ET MOI POUR CE JOUR 4
LES STARS ET MOI POUR CE JOUR 4
Pio Marmai et moi |
François Berléand et moi |
Marie Gillain et moi |
Jalil Lespert et moi |
Tcheky Karyo et moi |
Niels Arestrup et moi (dure à avoir, il y a que voir son attitude) |
Gérard Lanvin et moi |
ET QUELQUES PHOTO EN PLUS
Thomas Chabrol |
Jalil Lespert |
Sophie Mounicot |
Tcheky Karyo |
Olivier Champot |
Tchecky Karyo |
Niels Arestrup |
Gérard Lanvin |
JOUR 5 : Dimanche 6 avril 2014
Dernier jour du Festival de Beaune, et en attendant le palmarès ce soir, les 2 derniers films en compétition.
Donc finalement pendant ce festival j'aurais vu 8 films dont 7/8 en compétition, car pour les films Hors-Compétitions (la plupart des films français), il est dur de faire les photos, les autographes et la queue pour assister à la projection; dont certains viennent 2 heures avant, et les équipes de film, 5 minutes avant.
Il a fallu donc faire un choix, vu que cette année, les équipes françaises ont été nombreuses et se ont déplacés, cela nous a permis de faire de belles photos, et comme en plus on a eu majoritairement du beau temps, et sans incident d'accès, tout est bien dans les meilleurs des mondes.
Avant de donner mon palmarès de ce festival, je vais parler des 2 derniers films en compétition.
Le 1er , le film Chinois/Hong-Kongais (plus Chinois d'ailleurs) "Black Coal Thin Ice" de Diao Yinan avec Fan Liao Lun Mei Kwai et Xuebing Wang, et qui le grandissime favori, parce que surtout il a remporté rien que moins l'Ours d'Or à Berlin, donc le voir battre ici, semble être de la sinécure.
Le film commence en 1999, ou un employé de carrière minière est retrouvé assassiné et son corps dispersé aux quatre coins de la Mandchourie. L'inspecteur qui mène l'enquête et gère un divorce, doit rapidement abandonner l'affaire, après avoir été blessé lors l'interpellation des principaux suspects. 5 ans plus tard, deux nouveaux meurtres sont commis dans la région, tous deux liés à la première épouse de la victime. Devenu agent de sécurité Zhang décide de reprendre du service. Son enquête l'amène à se rapprocher dangereusement de la mystérieuse jeune femme.
Donc finalement pendant ce festival j'aurais vu 8 films dont 7/8 en compétition, car pour les films Hors-Compétitions (la plupart des films français), il est dur de faire les photos, les autographes et la queue pour assister à la projection; dont certains viennent 2 heures avant, et les équipes de film, 5 minutes avant.
Il a fallu donc faire un choix, vu que cette année, les équipes françaises ont été nombreuses et se ont déplacés, cela nous a permis de faire de belles photos, et comme en plus on a eu majoritairement du beau temps, et sans incident d'accès, tout est bien dans les meilleurs des mondes.
Avant de donner mon palmarès de ce festival, je vais parler des 2 derniers films en compétition.
Le 1er , le film Chinois/Hong-Kongais (plus Chinois d'ailleurs) "Black Coal Thin Ice" de Diao Yinan avec Fan Liao Lun Mei Kwai et Xuebing Wang, et qui le grandissime favori, parce que surtout il a remporté rien que moins l'Ours d'Or à Berlin, donc le voir battre ici, semble être de la sinécure.
Le film commence en 1999, ou un employé de carrière minière est retrouvé assassiné et son corps dispersé aux quatre coins de la Mandchourie. L'inspecteur qui mène l'enquête et gère un divorce, doit rapidement abandonner l'affaire, après avoir été blessé lors l'interpellation des principaux suspects. 5 ans plus tard, deux nouveaux meurtres sont commis dans la région, tous deux liés à la première épouse de la victime. Devenu agent de sécurité Zhang décide de reprendre du service. Son enquête l'amène à se rapprocher dangereusement de la mystérieuse jeune femme.
Un film très esthétique, dans la lignée de Wong Kar Wai, Le titre en anglais fait référence aux charbons et la glace, deux indices dans la découverte des meurtres.
Si on aime, ce type de film très lent, et stylisée c'est pour vous, autour d'une soupe chinoise, ou de feux d'artifices, joli film mais pas assez d'action, pour un polar.
Note : 14.50
Le deuxième est un film anglais "Les poings contre des murs" d'Andrew McKenzie avec la star de Skin et déjà en début de compétition dans "71", Jack O'Connel, Rupert Friend, Sam Spruell et Ben Mendhelson qui a obtenu le prix du meilleur acteur aux British Spirit Awards, et le film nommé 6 fois.
Un film huis-clos carcéral, sous tension, ou la filiation père/fils est le principal accès du film, très violent, mais sacrément interprété, et je découvre Jack O'Connel que je connaissais peu.
Le film retrace l'histoire d'Eric un jeune garçon de 17 ans, qui va être transféré dans une prison pour adulte. Là, il va tenter de se faire respecter par les autres détenus et surveillants. Mais il v surtout tenter de contrôler ses pulsions grâce à Olivier le psychiatre, et rencontrer un homme Neville, qui va se révéler être son père. Chacun voulant montrer qui le maître.
Note : 15.90
MON CLASSEMENT DE CE FESTIVAL DE BEAUNE 2014
1 - IN ORDER OF DISEAPPEARANCE de Hans Peter Moland
2 - RAID 2 de Gareth Edwards
3 - LES POINGS CONTRE LES MURS de Andrew McKenzie
4 - UGLY de Anourag Kashyap
5 - DEVIL'KNOT d'Atom Egoyan
6 - 71 de Yann Demange
7 - TWO FACES A JANUARY de Oussein Hamini
8 - LE DERNIER DIAMANT d'Eric Barbier
9 - BLACK COAL de Diao Yinan
10 - WOLF de Jim Tahiuttu
11 - 96 HEURES de Frédéric Shoendorffer
12 - THE STONE de Cho Se-Rae
13 - BLUE RUIN de Jérémy Saulnier
LE PALMARES 2014 DU FESTIVAL DU FILM POLICIER DE BEAUNE
A la déclaration du palmarès suivi avec les journalistes de France 3 Bourgogne en dehors de la salle, oui car le public lambda n'est pas invité aux cérémonies de ce type, pire à Deauville le prix du public est remis en dehors de ceux qui ont votés, mais bon.
Donc à la lecture du palmarès, je me réjouis que le grand gagnant de la soirée est mon gros coup de coeur (voir demain matin une fiche spéciale).
Après la sortie, j'ai été interviewé par France 3, j'irais voir sur le site demain soir, et j'ai félicité Klapish du choix de son Jury qui l'honore, ne récompensant pas comme les critiques l'Ours d'Or de Berlin (dort est le mot juste), trouvant le film élitiste et plastique plus que du cinéma.
GRAND PRIX : IN ORDER OF DISEAPPEARANCE de Hans Peter Moland
PRIX DU JURY : LES POINGS CONTRE LES MURS de Andrew McKenzie
& 71 de Yann Demange
PRIX DE LA CRITIQUE : BLACK COAL de Diao Yin
PRIX DU JURY POLICE : IN ORDER OF DISEAPPEARANCE de Hans Peter Moland
PRIX SANG NEUF : R-100 de Matsumoto Hitoshi
RATTRAPAGE APRES LE FESTIVAL
PRIX DU JURY : LES POINGS CONTRE LES MURS de Andrew McKenzie
& 71 de Yann Demange
PRIX DE LA CRITIQUE : BLACK COAL de Diao Yin
PRIX DU JURY POLICE : IN ORDER OF DISEAPPEARANCE de Hans Peter Moland
PRIX SANG NEUF : R-100 de Matsumoto Hitoshi
RATTRAPAGE APRES LE FESTIVAL
96 Heures de Frédéric Schoendorffer avec Gérard Lanvin, Nils Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny et Laura Smet : Carré est le patron de la BRB (Brigade de Répression du Banditisme, 3 ans plus tôt , il fait tomber un grand truand, Kancel. Aujourd'hui, à la faveur d'une extraction, Kancel kidnappe le flic. Il a 96 heures pour lui soutier une seule information : savoir qui l'a balancé.
Que penser du film, le scénario est prévisible à souhait et n'a pas grand intérêt à suivre, surtout qu'on nous ment le film dure 96 minutes et pas 96 heures. Seul Arestrup est à son niveau et la Belle Laura Smet qui ressemble de plus en plus à sa mère.
Lanvin ne dit pas grand chose, et c'est tant mieux, sinon dans les dialogues il aurait critiquer le cinéma Français qui le fait pourtant vivre et quel chef-d'oeuvre il a fait (Camping, Le boulet, ou Angélique). Pas très intéressant et le public l'a constaté moins de 20 000 entrées France ler jour.
Note : 11.15 mais j'aurais aimé mettre 9.60
Le dernier Diamant de Eric Barbier avec Yvan Attal, Bérénice Bejo, Jean François Stevenin et Jacques Spiesser.
Le "Dernier Diamant" est un polar à l'ancienne, des méchants, une belle et des truands pas si méchant, Une sorte de Océans Eleven à la Française, puis comme une grande illusion on a rien vu arriver, c'est rare dans ce type de film.
Sans trop en dire : Simon un truand de haut-vol, sa méthode pour entrer dans les chambres est imprévu, vole les riches dans les grands hôtels, jusqu'au on lui propose de voler un très grand diamant, après que celle qui l'avait découverte meurt dans sa voiture. Sa fille prenant la suite, Simon va monter une équipe pour le voler dans un grand hôtel d'Anvers, avec des complices à tous les étages.
Plein de rebondissements pas cachés derrière un cadre, spectaculaire, une petite bluette, et des comédiens charmant et des seconds rôles parmi les meilleurs français (Stevenin, et Spiesser).
On prend son temps et du plaisir.
UGLY de Anurag Kashyap, avec Ronit Roy, Tejaswini Kolhapure et Rahul Rhat : Rahul et Shalini, les parents de Kali, 10 ans , sont divorcés. La fillette vit désormais avec sa mère et son beau-père, Shoumik, responsable d'une brigade de la police de Bombay. Un Samedi, alors que Kali passe la journée avec son père Rahul, elle disparaît ....
Il y quelques années, pour voir un film Indien (notamment sur Bollywood) , il fallait allez dans des cinémas de quartier, ou au Louxor à Barbès. Aujourd'hui grâce à la programmation des cinémas UGC ont peut voir aussi bien des films mexicains, indiens, suédois ou chinois, sans courir à travers Paris.
Le réalisateur Anurag (qui a mis son Kway pour se protéger de l'horreur qu'il filme) amène un film de 2h06 d'une puissance et d'une énergie qui dans le domaine du film de rapt d'enfants donne souvent des films triste et peu nerveux. Car en plus de cette histoire policière, le réalisateur peint également la société indienne de son intérieur ou finalement entre le clinquant de Bollywood que l'on voie à la télévision et la réalité il y a un monde.
Même si le film est un peu long, certaines pouvant être évitées, et une musique puissante européenne, le scénario est d'un diabolisme intense, pendant tout le film, les flics dont un est même concerné, se concentre sur la famille (beau-père, père, oncle, soeur et faux ravisseurs), alors qu'on s'y attendait pas, la solution terrible sous nos yeux.
A voir, mais avec le coeur bien accroché, encore un bijou indés.
NOTE : 15.70
UGLY de Anurag Kashyap, avec Ronit Roy, Tejaswini Kolhapure et Rahul Rhat : Rahul et Shalini, les parents de Kali, 10 ans , sont divorcés. La fillette vit désormais avec sa mère et son beau-père, Shoumik, responsable d'une brigade de la police de Bombay. Un Samedi, alors que Kali passe la journée avec son père Rahul, elle disparaît ....
Il y quelques années, pour voir un film Indien (notamment sur Bollywood) , il fallait allez dans des cinémas de quartier, ou au Louxor à Barbès. Aujourd'hui grâce à la programmation des cinémas UGC ont peut voir aussi bien des films mexicains, indiens, suédois ou chinois, sans courir à travers Paris.
Le réalisateur Anurag (qui a mis son Kway pour se protéger de l'horreur qu'il filme) amène un film de 2h06 d'une puissance et d'une énergie qui dans le domaine du film de rapt d'enfants donne souvent des films triste et peu nerveux. Car en plus de cette histoire policière, le réalisateur peint également la société indienne de son intérieur ou finalement entre le clinquant de Bollywood que l'on voie à la télévision et la réalité il y a un monde.
Même si le film est un peu long, certaines pouvant être évitées, et une musique puissante européenne, le scénario est d'un diabolisme intense, pendant tout le film, les flics dont un est même concerné, se concentre sur la famille (beau-père, père, oncle, soeur et faux ravisseurs), alors qu'on s'y attendait pas, la solution terrible sous nos yeux.
A voir, mais avec le coeur bien accroché, encore un bijou indés.
NOTE : 15.70
Two Faces of January (comme je parle anglais couramment que je traduirais par 2 fesses de Janvier), les 2 fesses bien sûr de Kirsten Dunst, que l'on voit de long en large.
Ce film est un thriller de Hossein Hamini scénariste de Drive avec Viggo Mortensen (qui n'est pas dans la purée), Kirsten Dunst et Oscar Isaac.
Le film est tiré d'un roman de Patricia Highsmith (Plein Soleil et son remake La talentueux M.Ripley), scénari classique de polar sur la chaleur grecque avec des escrocs et un couple qui se déchire entre le grand et le petit escroc.
Film porté par 3 festivals récemment (Cannes, Beaune et Paris) avant de sortir en France.
Le film suit l'histoire d'un couple de touristes américains, le charismatique Chester MacFarland et sa jeune épouse Colette arrive à Athènes. A l'Acropole ils, rencontrent Rydal, jeune guide américain, arnaqueur de touristes à l'occasion. Séduit par la beauté de Colette et impressionné par la fortune de Chester, Rydal accepte sans hésiter leur invitation à dîner. Les McFarland se révèlent moins lisses qu'il n'y paraît ; le luxe et leur raffinement cachent bien mal leur part d'ombre.
En navigue, dans des décors superbes entre les vestiges d'Athènes ou d'Heraclion et d'Istambul et les bas-fonds ou à chaque coin de pierre, pourrait surgir Hercule Poirrot.
Le film en 2 parties et peu intéressant tant que Kirsten Dunst est présente à l'écran (vraiment pas efficace et sexy) ou il s'agit d'une histoire d'adultère, et plus intéressante quand les 2 hommes (les 2 acteurs excellents) joue au chat et à la souris jusqu'au dénouement final.
A petit polar , malgré tout du vendredi soir.
Note : 13.80
Pour finir le Week-End, un film indonésien 'RAID 2" de Gareth Edwards qui lui est gallois, mais vit là bas, ou pendant deux heures 28 (le temps est important) , des os seront brisés, des crânes seront brisés et éclatés et servirons à faire tenir debout une batte de base-ball, des jambes seront brisées, des bras seront brisés, des rêves seront brisés, des cous seront brisés, des pattes seront brisés, des pâtes seront brisés, des litres de sang sont déversés sur les murs, les sols, les têtes, les dents seront brisés, mais a t-on les moyens de tout remettre en ordre, pas sur, il faut dire qu'on dit à l'inspecteur chargé de la mission, qu'il faut plus de survivant, il obéît le bougre.
Pendant 2h28, l'action va allez crescendo, sans jamais s'arrêter, chorégraphier comme un ballet baroque , c'est une mise en scène magistrale, c'est la grande et principale qualité du film, ou on en sort brisé et lessivé, et comme dirais le héros à la fin du film "Je suis crever" nous aussi , on va demander 3 jours de RTT pour s'en remettre.
Si on cherche les 50 kg d'Héroines, qui se sont perdus au Quai des Orfèvres, je conseillerais de voir le réalisateur du film, tellement son film est rempli d'énergie.
Heureusement , on aura bientôt Expandables 3, qui va ralentir notre rythme cardiaque.
Cardiaque et ceux qui aiment pas le sang s'abstenir.
Note : 16.50
Pour finir le Week-End, un film indonésien 'RAID 2" de Gareth Edwards qui lui est gallois, mais vit là bas, ou pendant deux heures 28 (le temps est important) , des os seront brisés, des crânes seront brisés et éclatés et servirons à faire tenir debout une batte de base-ball, des jambes seront brisées, des bras seront brisés, des rêves seront brisés, des cous seront brisés, des pattes seront brisés, des pâtes seront brisés, des litres de sang sont déversés sur les murs, les sols, les têtes, les dents seront brisés, mais a t-on les moyens de tout remettre en ordre, pas sur, il faut dire qu'on dit à l'inspecteur chargé de la mission, qu'il faut plus de survivant, il obéît le bougre.
Pendant 2h28, l'action va allez crescendo, sans jamais s'arrêter, chorégraphier comme un ballet baroque , c'est une mise en scène magistrale, c'est la grande et principale qualité du film, ou on en sort brisé et lessivé, et comme dirais le héros à la fin du film "Je suis crever" nous aussi , on va demander 3 jours de RTT pour s'en remettre.
Si on cherche les 50 kg d'Héroines, qui se sont perdus au Quai des Orfèvres, je conseillerais de voir le réalisateur du film, tellement son film est rempli d'énergie.
Heureusement , on aura bientôt Expandables 3, qui va ralentir notre rythme cardiaque.
Cardiaque et ceux qui aiment pas le sang s'abstenir.
Note : 16.50
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