Vu le film Résistance de De Jonathan Jakubowicz Avec Jesse Eisenberg, Ed Harris, Clémence Poésy FelixMoati MatthiasSchweighofer (sur CanalPlus)
Durant la Seconde Guerre mondiale, en 1942, Marcel Mangel
s'engage, sous le nom de Marcel Marceau, dans la Résistance française, sous
l'influence de son frère Simon et de son cousin, Georges Loinger. En partie par
le mime, il aidera de nombreux enfants orphelins, dont les parents ont été tués
par les nazis.
Un pan de l’histoire du plus grand mime du monde, nous est
relaté ici, s’il est intéressant de savoir ce type de destin, mais dès le début
on est influencé par La Vie est Belle de Begnini, et même si le personnage on peut
de points communs, on y pense forcément.
Je trouve le film froid sans empathie pour le personnage, bavard ce qui est un comble quand on parle de Marceau, et surtout pourquoi avoir choisi un doubleur français pour avoir le même débit mitraillette que Eisenberg, on fait un film sur Marceau par sur lui. Mais Bon !!
On aurait dû expliquer un peu plus les choses, au lieu de
nous faire un film nous montrant peu, savoir le pourquoi du comment est souvent
intéressant et comme on ne va pas plus loin que cette période, on ne sait pas
le lien qu’à eu son activité dans la résistance dans sa future vie.
Et puis il y a le personnage de Barbie, pourquoi on a autant
de scènes sur lui, même familiale, comme si la faim justifie les moyens, le
laisser dans l’ombre n’aurait pas été plus mal, on a assez parler de lui et la
scène entre sa femme et lui est indécente et inutile.
J’en attendais beaucoup plus, je suis resté sur ma faim et je
n’ai rien appris de plus, peut-être qu’il n’y avait pas plus, mais je n’en suis
pas certains.
La séquence inutile du Général présentant Marceau (au début
et à la fin seul occasion de voir Ed Harris) est théâtrale à souhait pour tirer
la larme à l’œil.
Quelques prises montrant Marceau exercé son talent aux
enfants mais c’est peu, on hésite à savoir si on est sur un film mémoire où un
téléfilm sur la guerre 39/45 avec un personnage hors du commun, le vrai hommage
se fait sur le générique ce qui est un comble.
Je pense à l’arrivée en plus de pas être convaincu de Eisenberg
en Marceau, que le film sur ce dernier reste à faire.
NOTE : 11.20
FICHE TECHNIQUE
- Réalisation et scénario : Jonathan Jakubowicz
- Direction artistique : Adela Hakova, Adriana Luna et Pierre Pfundt
- Décors : Tomas Voth
- Costumes : Katharina Ost
- Photographie : M.I. Littin-Menz
- Montage : Alexander Berner
- Musique : Angelo Milli
- Production : Carlos Garcia de Paredes, Claudine Jakubowicz, Jonathan Jakubowicz, Dan Maag et Patrick Zorer
- Producteurs délégués : Nik Bower, Christelle Conan, Wei Han, Frank Kusche et Deepak Nayar
- Sociétés de production : Pantaleon Films, Bliss Media, Epicentral Studios, Riverstone Pictures et Ingenious Film Partners
- Jesse Eisenberg (VF : Donald Reignoux) : Marcel Marceau
- Ed Harris (VF : Féodor Atkine) : le général George Patton
- Édgar Ramírez : Sigmund
- Clémence Poésy (VF : elle-même) : Emma
- Matthias Schweighöfer : Klaus Barbie
- Bella Ramsey : Elsbeth
- Géza Röhrig : Georges Loinger
- Karl Markovics : Charles Mangel
- Félix Moati : Simon Mangel
- Alicia von Rittberg : Regine
- Vica Kerekes : Mila
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