On a commencé la journée a faire le tour du dispositif pour le nouveau film de Roland Emmerich ou Michael Bay, avec barrières partout dans la ville autour d'un parcours bien précis (les autres débrouillez vous) , blocs de ciments, un pot de fleur irréaliste au milieu de la rue, l'armée Famas à la main, BRI ou sécurités renforcés au abord toujours du CID, le film doit être sacrément violent, pour tous ce déploiement de force.
Cela n'augurait rien de bon, un passage au delà du tapis rouge qui se restreint autant que la robe de Frédérique Bell sur ce même tapis rouge il y a quelques années, des fouilles très appuyées (oh oui ph oui palper moi) des yeux qui fouillent partout à l'horizon, cela doit être du lourd qui doit arriver, oui j'avais raison Elie Seimoun qui descend le tapis rouge aussi vite que de canapé de Drucker.
Malgré tout du côté du Normandy rien d'exceptionnelle pour l'arrivée des tenants des fauteuils de la soirée, ou on pensait les voir de loin avec notre zoom 500 ,non une cinquantaine de personne tout au plus, collés aux barrières (non pas à Alain) , la première invité de nos écrans d'appareil photo aura été Marjane Satrapi, habillé pour son prochain rôle dans Mistic la sorcière de Picsou,
Petit moment de solitude quand Frédéric Mitterand est sorti de sa propre voiture, quand nos lectures nous montent à la tête.
Le Jury a continué dans l'après-midi à déployé ses ailes , avec ses affaires personnelles et leurs coiffures personnelles sans la présence des équipes techniques cher au tournage, c'est bien de voir les stars à leurs réveils en sortant du lit.
L'arrivée de l'ambassadrice des Etats-Unis en France, on se serait crut de nouveau quelque instant dans un film de Jean François Richet,mais ce fut bref comme un cachou du festival.
Ça y est on annonçait une grande star, cela bougeait dans l'hôtel, le direction était au taquet, la sécurité sur les dents (non c'est pas des sans dents) l'armée sur les toits, le GIGN prêt à intervenir (on j'exagère un peu), mais on allait voir ce qu'on allez voir, et ben non, ce n'était que David McKenzie (le réalisateur de Comancheria) ouf qu'est ce que cela va être quand Kev Adams va venir.
Mes bons mes pieds panés, continuaient à trépigner sur le sol qui s'enfonçait sous le poids de mon corps, et voilà qu'un coin de soleil est arrivé, avec l'arrivée avec autant de sécurité qu'à l'entrée de Leclerc du coin, comme quoi c'est à cela que l'on mesure sa popularité.
Un petit "Chloé" a permis une petite photo posée de sa part, et en souvenir le soir elle s'arrêtera juste devant moi au tapis rouge (témoin la vidéo du festival) pour venir me faire une bise (tu vas bien, merde je dormais, mais elle c'est vraiment arrêté ) bon on va oublier ses robes qu'elle a du trouver chez François Morel.
La rumeur à circulé que Michael Moore a annulé sa présence, pour des raisons personnelles, on l'espère, car avec que 3 hommages cette année, et des tapis peu remplis, cela sonne peu vide, étonnant tout cela, c'est chaque année pareil à moins qu'il craignait la présence de Kheiron, what not.
A l'arrivée comme dirait mon auteur de mes livres de chevet William Shakespeare,Beaucoup de bruit pour rien, car les stars se comptaient au centimètre carré, seule Diane Kruger dans une superbe robe et Chloé Grace Moretz dans une robe quoi, ont illuminés cette soirée d'ouverture, avec le film de Brad Furman (The Infiltrator).
A l'arrivée comme dirait Chèque(s) pire, c'est moins pire que pire.
Radu Milhaienu |
Marjane Starpi |
Diane Rouxel |
David McKenzie |
Chloé Grace Moretz |
Le Jury Révélation |
Julie Gayet |
Chloé Grace Moretz |
Diane Kruger |
Le Jury |
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