Synopsis : Paris 1930. Paul n’a toujours eu qu’un seul et même horizon : les hauts murs de l’orphelinat, sévère bâtisse de la banlieue ouvrière parisienne. Confié à une joyeuse dame de la campagne, Célestine et à son mari, Borel, le garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne, l’enfant des villes, récalcitrant et buté, arrive dans un monde mystérieux et inquiétant, celui d’une région souveraine et sauvage.
L’immense forêt, les étangs embrumés, les landes et les champs, tout ici appartient au Comte de la Fresnaye, un veuf taciturne qui vit solitaire dans son manoir. Le Comte tolère les braconniers sur le domaine mais Borel les traque sans relâche et s’acharne sur le plus rusé et insaisissable d’entre eux, Totoche. Au cœur de la féérique Sologne, aux côtés du braconnier, grand amoureux de la nature, Paul va faire l’apprentissage de la vie mais aussi celui de la forêt et de ses secrets. Un secret encore plus lourd pèse sur le domaine, car Paul n’est pas venu là par hasard…
Au même titre que Knock , L'école Buissonnière
joue sur les valeurs de c'était mieux avant et on nous le répète à longueur de
temps pendant, la solidarité, les valeurs d'entraide et l'amour du pays et des
belles choses, c'est bien mais est-ce cela peut en faire un film.
Sauf que Nicolas Vanier montre pas de belles choses au
niveau des animaux, car il ne fait aucune critique, mais montre les chasses à courre,
la mort des loups comme un jeu sacré de la campagne française comme les
corridas dans le sud de la France, si on part de ce postulat le film me met mal
à l'aise, oh bien sûr pour atténuer on agrémentera le film d'une belle amitié
entre un petit garçon et u vieux
braconniers bougons mais avec un grand cœur.
Le film est terriblement ennuyeux et n'avance jamais et on
se croirait dans une énième version de Rémy sans famille, d'ailleurs pourquoi
ce titre "l'école buissonnière" alors que la majeure partie de
l'action l'enfant se trouve en vacances, on y rajoute des secrets de familles
inavouables à tiroir et au fait du hasard se retrouve tous au même endroit
comme dans une Agatha Christie.
Je ne suis pas emballé par le gamin Paul Scandel qui s'il a
une présence, semble perdu sur le plateau, cherchant du regard quelconque
indications de jeu. Mais le pire ce n'est pas lui, car après Vincent Lindon
(Rodin) et Vincent Cassel (Gauguin) on a la période barbue bien broussailleux
avec deux acteurs en totale cabotinage et qui en fond des tonnes Éric Elmosino
et François Cluzet.
Heureusement Valérie Karsenti et Frédéric Saurel donne une âme
d'époque eu film.
Reste le pauvre camp de roms qui est d'une caricature cherchant même pas le faire exprès.
Maintenant comme dans tous les films de Nicolas Vannier ,
reste la nature ici la Sologne en Automne ce qui est un pléonasme avec de
magnifiques photos et une couleur de la nature que j'adore, et puis les animaux
dont ce magnifique cerf au-delà de ces bois. En espérant que Vannier à mieux
traiter les animaux que dans des précédents films.
Un film pour le dimanche soir sur TF1 qui me laisse froid et
sans intérêt.
NOTE : 7.40
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Nicolas Vannier
Scénario : Nicolas Vanier et Jérôme Tonnerre
Musique , Armand Amar
Production ; Clément Miserez et Matthieu Warter
Mixage : François Joseph Hors
Son : Emmanuel Hachette
Scripte ; Valentine Traclet
Cadreur : Mathieu Le Bothlan et Loic Savouré
Costumes ; Adelaide Gosselin
Monteur Son ; Thomas Desjonqueres
Effets Visuels ; Alain Carsous
Dresseur : Muriel Bec et Sandra Kiesser
Coiffure : Gérard Portenart
Maquillage : Thu Thanh Tu Nguyen
1er Assistant Réalisateur : Olivier Horlait
Directeur de Production ; Philippe Gautier
Casting : Sylvie Brocheré et Gwendale Schmitz
Décors : Sebastian Birchler
Montage , Raphaelle Urtin
Photographie ; Eric Guichard et Laurent Charbonnier
DISTRIBUTION
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