Synopsis : C'était avant qu'elle ne devienne Wonder Woman, à l'époque où elle était encore Diana, princesse des Amazones et combattante invincible. Un jour, un pilote américain s'écrase sur l'île paradisiaque où elle vit, à l'abri des fracas du monde. Lorsqu'il lui raconte qu'une guerre terrible fait rage à l'autre bout de la planète, Diana quitte son havre de paix, convaincue qu'elle doit enrayer la menace. En s'alliant aux hommes dans un combat destiné à mettre fin à la guerre, Diana découvrira toute l'étendue de ses pouvoirs… et son véritable destin.
Une héroïne filmée par une réalisatrice , c'est très bien et cela permet à celle-ci de battre les records pour un film réalisé par une femme. Mais on aura avancer sur la parité quand les grands films de studios seront filmés par des femmes, sans s'attacher au côté féministe de l'oeuvre comme ici.
Son apparition dans Superman vs Batman sous les traits de Gal Gadot laissait bien entrevoir un film sur ces seules performances de super héroïne.
Je ne suis pas fan de la façon qu'on tourné la réalisation de DC Comics depuis les derniers films de Christopher Nolan, la photographie des images, leurs côtés bibliques avec des Dieux venant de chez où, des ralentis digne d'Alerte à Malibu et cette musique omniprésente qui me donne à chaque fois des boutons, rien pour me donner du plaisir.
Et pourtant jeune j'étais fan de ces personnages en Bande Dessiné, en film ou en série kitch soient mais tellement plus ludique et réjouissante.
Même si celui-là est moins mauvais que les précédents peut-être à l'humour qu'amène Chris Pine, mais je n'arrive pas à accoster à la façon d'amener ces divertissements dans nos salles, même si c'est Patty Jenkins à la réalisation, en production on a , mais on est loin de l'univers de la BD créé par William Moulton Marston.
Le film est très faible au niveau dialogue et réparti, et comme les combats nous sont filmés comme un jeu vidéo, on prend notre manette et on essaie de sortir de ce foutoir d'images et de ralentis.
On regardant Wonder Woman on pense beaucoup à Lara Croft , ou le côté sexy est mis en avant pour attirer le chaland , c'est bien pâle comme attraction. Et dire qu'il y aura d'autres numéros vu le succès international (merci la Chine).
A l'arrivée un film sans identité, sans marge de plaisir , mais finalement pour moi ce n'est pas une surprise, je m'attend à rien des films produit par Jack Snyder.
NOTE : 11.00
FICHE TECHNIQUE
Réalisation ; Patty Jenkins
Scénario ; Allan Heinberg
D'après ; William Moulton Marston
Sur une idée de ; Zack Snyder, Allan Heinberg et Jason Fuchs
Musique ; Rupert Grehson Williams
Production ; Deborah Snyder, Zack Snyder, Charles Roven, Richard Suckle et Tommy Gormley Directeur de la photographie
Casting : Kristy Carlson Lora Kennedy et Lucinda Syson
Décors Aline Bonetto et Anna Lynch Robinson
Direction Artistique ; Steve Carter, James Collins, Phil Harvey, Stuart Kearns, Dominic Masters, Domenico Sica, Remo Tozzi
Montage : Martin Walsh
Photographie ; Matthew Jensen 1er assistant réalisateur
Maquillage ; Christine Blundell
Combats ; Wayne Dalglish
Cascades ; Damon Caro
Effets Visuels ; Guy Botham
Effets Spéciaux ; Danilo Bollettini
Costumes Lindy Hemming
DISTRIBUTION
CharlieEwen Bremner
SameerSaïd Taghmaoui
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