Synopsis : Deux soldats américains sont la cible d’un tireur d’élite irakien. Seul un pan de mur en ruine les protège encore d’une mort certaine. Au-delà d’une lutte pour la survie, c’est une guerre de volontés qui se joue, faite de tactique, d’intelligence et d’aptitude à atteindre l’ennemi par tous les moyens…
The Wall est un scénario qui est sur la liste noire, c'est à dire a tourné absolument depuis 2014 et c'est Doug Liman réalisateur et Dwain Worrell qui ont hérité du projet.
C'est un ancien militaire sniper du nom de Nicholas Irving qui a servi de conseiller technique sur le film, qui a passé beaucoup de temps avec les deux acteurs principaux, plutôt victime du sniper.
The Wall c'est huit-clos a ciel ouvert avec trois protagonistes pendant 85 minutes (je vous laisse dans l'expectative pour les 5 minutes restante).
Deux hommes dans un désert (le troisième on le voit pas) m'a fait penser au Gerry de Gus Van Sant, car la comparaison s'arrête là , car nos deux bonhommes ne vont pas bouger de leur mur , sans flamand rose, et se faire viser par un sniper qui se cache dans un tas d'ordures depuis des heures et qui a déjà décimé un groupe de soldats et d'"ouvriers.
Le personnage intéressant est Juba (Laith Nakli) car en plus d'être un sniper fin et précis, c'est aussi un manipulateur car il parle plusieurs langue et cet Irakien proche d'islamiste se fait passer pour les soldats amis de notre deux jeunes soldats et on suit son discours de salopard fini dès qu'il se fera reconnaître.
Malgré le peu de place pour l'action dans le film, de la poussière comme dans Du Sang et des Larmes, le film se laisse regarder avec brio et passion pendant ces 90 minutes malgré quelques longueur, ce qui est un comble pour un film si court.
Pour la performance visuelle du visage de John Cena (Sergent Matthews) on repassera , car pour le meilleur rôle du catcheur on ne voit que ses fesses, vu qu'il est couché sur le ventre tout le film.
Donc notre action se fera sur l'excellent et magnétique Aaron Taylor-Johnson qui démontre une fois de plus que c'est u beau et très bon acteur et qu'il a pas fini de nous surprendre.
Il y a du suspense, et Jason Bourne n'arrive pas pour les sauver et c'est le principal.
NOTE : 13.70
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Doug Liman
Scénario ; Dwain Worrell
Production ; David Bartis, Ray Angelic et Alison Winter
Maquillage ; Jamies Kelman
Cascades : Robert Alonzo et Bob Brown III
Maquillage ; Tami Lane
Consultant : Nicholas Irving
Effets Spéciaux ; Brendon O'Dell et Elia P.Popov
Son ; Mariusz Glabinski
Costumes : Cindy Evans
1er Assistat Réalisateur ; Michael J.Moore
Casting ; Mindy Marin
Décors : Kelly Berry et Jeff Mann
Montage : Julia Bloch
Photographie ; Roman Vasyanov
DISTRIBUTION
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