Synopsois : Michael Mason, un pickpocket américain, devient l’homme le plus recherché par la CIA à Paris lorsqu’il vole ce qu’il croyait être un simple sac. Sean Briar, l’agent chargé de l’enquête, se rend rapidement compte que Michael n’est qu’un pion dans le vaste complot qui se prépare, et il le recrute pour remonter jusqu’à la source. Commence alors une course contre la montre, où les deux hommes vont devoir faire équipe pour déjouer les plans d’une puissante organisation dont ils sont désormais les cibles
Bon, ce film restera dans les mémoires pour être programmé quelques jours après l'attentat de Nice, pour que les spectateurs pas très intelligent puissent ne pas faire la différence entre la réalité et la fiction.
Ou plutôt de la part des producteurs ont eu certainement peur de ne pas remplir les salles pour les mêmes raisons sans vraiment être concerné par ceux-ci.
Et si finalement Bastille Day n'est pas sorti en salles parce que le film est une daube internationale qui ne c'est pas ce classé anglais, américain ou français, un peu des trois au vu des castings.
Il est certain que les deux scénaristes Andrew Baldwin et James Watkins sont des adeptes de CBS News ou ABC News qui ont une vu très réduite de la vie des français car dans celui-là à part la baguette et le béret tout y est.
Mais sans aucun doute , ils ont un photocopieur chez eux car ils ont du voir Die Hard 3 des centaines de fois, tellement la parenté est évidente.
Alors pour ceux qui connaissent l'original on ne peut pas dire que ce film parle de terrorisme ni islamiste, ni d'extrême de n'importe quel bord.
C'est tout simplement un film de braquage avec un coupable tellement impossible et prévisible à la fois qu'on a également l'impression d'être dans les films des années 80.
Mais voilà tout cela pourrait allez si le film avait un quelconque, car à peine la première scène ou le héros effectue son métier de pickpocket , tout le reste est d'une incroyable misérable nullité affligeante.
C'est très mal filmé, oui c'est quand même le réalisateur de La Dame en Noir avec Daniel Radcliffe, des effets spéciaux qu'ils ont du trouvez dans le journal de Mickey, avec des ellipses impossibles qui font penser à des livres pour les nuls.
Sans compter tous les clichés qui défilent comme des perles sur les français et notamment ces immigrés et ses banlieues, avec bien sur des manifestations violentes ou on met le feu partout pour un oui ou un non, qu'on deale de la drogue que dans les quartiers de banlieue.
Et je ne sais pas ou ils ont trouver les décors de la Banque de France, ils se croient dans Fort Knox, car la Banque de France est dans un quartier populaire de Paris et non dans des grands espaces.
Mais le pire est a venir , ce sont les acteurs qui plombent le film et surtout dans un grand élan, les acteurs français, Charlotte Lebon, José Garcia et Thierry Godard qui jouent comme une sitcom d'AB Production ou dans les Télénovella, c'est dire le niveau du jeu, Idris Elba s'en sort plutôt bien avec ses muscles, mais pas avec ce film que les producteurs de James Bond, pourraient faire leur choix pour incarner 007.
Il est certain que le film va concourir dans la catégorie "Daube" de l'année et non du nanar car dans un nanar il y a toujours des scènes cultes qui restent dans la mémoire, ici un part une scène de cul-cute on a rien à se mettre sous la dent.
Pitoyable, mauvais, caricatural à souhait, on va oublier tout ce gâchis.
Note : 3.40
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : James Watkins
Scénario : Andrew Baldwin et James Watkins
Musique ; Alex Heffes
Producteur : Philippe Rousselet, Steve Golin, Bard Dorros, David Kanter et Fabrice Gianfermi
Photographie : Tim Maurice-Jones
Costumes : Guy Speranza
Assistant Réalisateur : Jill Gagé
Casting : Julie Harkin et Michael Lahuens
Décors : David Morison
Décors : Paul Kirby
Directeur Artistique : Joe Howard et Eric Viellerobe
Montage : Jon Harris II
DISTRIBUTION
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