Faille, oui car il y a des semaines on a des dizaines de films, plus ou moins intéressants, seuls les femmes de l'ombre de Philippe Garrel a oser sortir , mais les il va pas faire d'ombre aux fans de Dwayne Johnson.
Faillite, sans être prédicateur, je met en doute , sur la suite des festivals dans le monde sur le cinéma, à part maintenant Toronto et New York qui vont devenir les deux plus importants pour les américains.
Faillite, car le Festival de Cannes, qu'on annonçait flamboyant n'a été qu'un défilé de fausses actrices ou qu'ils croivent l'être qui passe une heure sur la tapis rouge, montrant la coiffure de , la robe de, ou les bijoux de et pour les messieurs les costumes de chez smoking, c'est plus simple.
Même la Direction du Festival, hautement responsable, n'a pas arrêté de citer le sponsor du film de clôture, on est plus au cinéma, mais dans les Galeries marchandes.
Bien sûr, il faut pas être faux cul, les journaux se servent au passage.
Faillite, pour les Festivals ferment les uns après les autres, la culture n'étant pas vraiment le point d'entrer pour une autre vision de celle-ci, baisse des subventions déjà par l'état, puis les mairies de droite, surfant sur cette vague, supprime tout, je l'avais dit un jour, on fera des festivals sur Mobile de chez soi bientôt cela coûte moins cher.
Car que dire des festivals restants, celui des champs élysées, (pour les bobos des champs élysées) déjà les années précédentes c'étaient pas folichons, mais là c'est le ponpon, le film le plus attendu est Spy avec Melissa McCarthy, c'est dire.
Tout est centré sur un week-end pour un festival qui dure une semaine, c'est plutôt une filiale de TCM Cinéma, avec de vieux films qui ne coûte rien
Fayot, bien sûr les journalistes de quelques bords que ce soit, qui ne font de bonnes critiques qu'au film ou sponsorisé par eux ou pour faire plaisir à leurs copains cinéastes, producteurs, pour nous vendre la comédie de l'année, le film de l'année etc......
Enfin, un conseil, aux producteurs de La Loi du Marché qui marche relativement bien de distribuer leurs recettes aux sans personnes sans emplois pour allez au bout de leur idée.
Je vais signer signer mes chroniques ou mes Critiques Mini-Moi (nom donner par mon ami Fabrice)
San Andréas de Brad Peyton avec Dwayne Johnson.
Il n'y a que que faille qui faille, bon des films sur ce type d'aventures, dans les années 70/80 on les faisait à la pelle (Tremblement de Terre, La Tour Infernal, Météo etc ..) on revient un peu en arrières et comme le film marche bien aux States , on pourrait avoir d'autres films de ce genre dans les prochaines années, si les spectateurs suivent
Evidemment c'est le type de film ou l'on met son cerveau à l'accueil , et on ne réfléchis par au cadrage de la caméra ou l'aspect politique du réalisateur.
Il y a les grosses ficelles habituelles, sur le courage et la solidarité de la famille décomposée, ou nos héros traversent poussière, tremblement, tsunami ou flammes qu'avec quelques bobos, bon oublions de regarder si c'est crédible ou pas, c'est pas le but.
Voilà un film qu'on aurait pu voir en 3D, allez comprendre Charles, pourquoi on l'a qu'en 2D, alors qu'on a pu avoir Godard en 3D.
L'histoire est de celle, de la Faille de San Andreas en Californie, qui finit par s'ouvrir et provoque un séisme de magnitude 9.6 . Ray Gaines, pilote d'hélicoptère de secours en montagne, et son ex-femme Emma quittent Los Angelès pour Sans Francisco avec l'espoir de retrouver et sauver leur fille unique, Blake. Aloes qu'ils s'engagent dans ce dangereux périple chaotique vers le nord de l'état, pensant que le pire est à présent derrière eux, ils ne tardent pas à comprendre que la réalité est bien plus effroyable encore.
Pas grand chose à voir avec l'actualité brûlante au Népal, les conditions de vie, ne sont pas les mêmes , et on dans le film on ne s'occupe pas beaucoup des survivants.
Les effets spéciaux ne sont pas au niveau de Inception et Mad Max, c'est le gros défaut du film, on y croit pas, comme un reportage de BFMTV.
Asseyez vous dans le fauteuil et ne réfléchissez pas.
Note : 9.70
MAGGIE de Henry Robson avec Arnold Schwarzenegger et Abigail Breslin , pourrait être la métaphore malade du cinéma, ou un pandémie de censure et d'interdit se propage à travers le monde, avec des malades infectés de films pré-fabriqués au pop-corn et au coca, avec un déluge de zombies qui essaient se sucer nos dernières illusions de sauver le cinéma. Les pères du cinéma eux essayant absolument de sauver leurs enfants de cette pandémie.
C'est comme cela que je vois le film Henry Robson, qui parle de pandémie, de zombie , des films à l'ancienne mais qui ne donner plus rien, le sang n'existe plus, et le pauvre Schwarzzy pas meilleur que gouverneur revient au cinéma, pour notre plus grand mal.
Comme dans la vie, ce film et douloureux , ou on croirait dans un film français de Haneke, avec la maladie, l'euthanasie et le deuil, pour un film de distraction cela ne passe pas, on espérait rien, mais la l'espoir est perdu à tout jamais.
Evitez le et regarder le en streaming pour éviter d'en avoir d'autres.
Note : 3.80
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