ANNABELLE de John R.Leonetti avec Annabelle Wallis, Ward Horton et Alfre Woodward, est film d'épouvante produit par James Wan et préquel de Conjuring.
Annabelle a les yeux bleus, bleus les yeux d'Annabelle a, cette poupée de cire , cette poupée de son, qui doit faire aux jeunes spectateurs, les excites plutôt qu'autre chose, comme dans les années 70, les films érotiques, qui ramenaient des spectateurs autres que cinéphiles, car il n'y a pas de différence entre ce type de films. C'est de la daube intergalactique, et j'espère pour eux que les martiens, on leur évite cela.
"John Form est certain d'avoir déniché le cadeau de ses rêves pour sa femme Mia, qui attend un enfant. Il s'agit d'une poupée très rare, habillée dans une robe de mariée d'un blanc immaculé. Mais Mia, d'abord ravie par son cadeau, va vite déchanter.
Une nuit, les membres d'une secte satanique s'introduisent dans leur maison et agressent sauvagement le couple, paniqué. Et ils ne se contentent pas de faire couler le sang et de semer la terreur, ils donnent vie à une créature monstrueuse, pire encore que leurs sinistres méfaits, permettant aux âmes damnées de revenir sur terre."
Déjà elle est moche comme une poupée de chiffon, et n'a rien de comparable avec l'Ours et la poupée, le niveau est bas, très loin du film du même genre "Chucky" qui avait un scénario avec un fond encore plus sanglant, en plus la poupée à un prénom ici de Prune.
On va pas s'étendre sur cette jolie poupée sur notre doigt mouillé (dixit le poète Menez) et on demandera au spectateur plutôt de se faire rembourser que de casser les fauteuils, pour votre confort et sécurité, regarder plutôt le film sur Les Champs Elysées, même si on n'est pas à l'abri des Hooligans avec des sacs Louis Vuitton ou Gucci.
Note : 2.70
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