Dans cette catégorie Fan de, on va quitter la jeunesse d'aujourd'hui, pour parler de l'un de mes réalisateurs préférés, dont l'un de ces films fait parti de mon TOP 10, et qui à l'heure de la montée du populisme et du racisme, résumait combien il était difficile de vivre ensemble, sauf si les bonnes volontés s'y mettent.
John Sturges de qui il s'agit est le type même de réalisateur, dont on connait ses films, mais on ne s'est pas qui sont derrière la caméra. Il a connu de nombreux succès durant sa carrière, ou je m'aperçois que pour la plupart je n'étais pas né, ou trop petit pour allez au cinéma, il est donc obligatoirement ce qu'il m'ont fait aimer le cinéma, le cinéma des grandes largeurs et certainement le cinéma américain.
C'est donc avec un certain plaisir que je fait le tour de sa carrière de 36 film sur 28 ans, il s'est arrêté top à cause de la maladie dont j'ai vu 18 films sur sa carrière, c'est le début de sa carrière après la guerre que je ne connais pas.
Les jeunes d'aujourd'hui connaissent beaucoup de ses films, qui ont fait les beaux jours de la télévision (Règlement de compte à OK Corral, Les 7 mercenaires ou La Grande Evasion).
BIOGRAPHIE
John Sturges est un réalisateur, producteur de films américains né le 3 janvier 1910 à Oak Park (Illinois) et mort le 18 août 1992 à San Luis Obispo (Californie).
Au début des années 30, il entre à la RKO où il travaille sur les décors et les post-production de divers films. Il devient par la suite assistant de David O.Selznick avant d'être mobilisé par l'armée de l'air pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il revient ensuite comme assistant réalisateur à la Columbia. Il réalise en 1948, son premier film, le Signe du Bélier.
Son premier succès arrive en 1953 avec Fort Bravo. Ce western avec William Holden est le premier d'une longue série. Il fait tourner les grandes vedettes de l'époque : Barbara Stanwyck, Spencer Tracy, ou Robert Taylor. Un homme est passé lui vaut en 1956, une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur, mais c'est en 1957 qu'il accède à la gloire internationale avec un western resté célèbre : Règlements de compte à OK Corral avec Burt Lancaster et Kirg Douglas. L'année suivante, il remet en scène ce dernier avec Anthony Quinn dans Le Dernier train de Gun Hill.
En 1960, il connaît à nouveau un grand succès, inattendu avec Les Sept Mercenaires, inspiré du film d'Akira Kurozawa sorti en 1954 Les sept Samouraïs. Là encore il met en scène des "gueules" du cinéma américain comme Charles Broson ou James Coburn et des vedettes Yul Brynner et Steve Mc Queen. Il retrouve ce dernier pour un triomphe international : La Grande Evasion en 1963.
Il tourne une suite de Règlements de Comptes à OK Corral en 1967, Sept secondes en enfer avec Jason Robards et met en scène Grégory Peck dans les Naufragés de l'Espace deux ans plus tard. Son dernier film "L'aigle s'est envolé" raconte l'improbable mission d'un commando allemand pendant la guerre, celle d'enlever le 1er ministre Churchill.
Il s'éteint à l'âge de 82 ans, le 18 août 1992.
FILMOGRAPHIE - HORS TOP 20 DE MES FILMS PRÉFÈRES
1946 - The Man Who Dored
1946 - Shadowed
1947 - Keeper of the Bees
1948 - Le signe du Bélier
1949 - Les aventures du désert
1950 - La capture
1950 - Le mystère de la plage perdue
1950 - Right Cross
1950 - The Magnificent Yankee
1951 - Le peuple accuse O'Hara
1951 - It's A Big Country
1953 - La plage déserte
1955 - La Vénus des mers chaudes
1956 - Coup de fouet en retour
1958 - Le Trésor du pendu
1961 - Par l'amour obsédé
1962 - Citoyen de Nulle part
1965 - Station 3 Ultra secret
MON TOP 20 DE MES FILMS PRÉFÈRES DE JOHN STURGES
2 - La Grande Évasion
3 - Les 7 Mercenaires
4 - Règlement de comptes à OK Corral
5 - Destination Zebra, station polaire
6 - Le dernier train de Gun Hill
7 - Fort Bravo
8 - L'aigle s'est envolé
9 - Joe Kidd
10 - La proie des vautours
11 - Le vieil homme et la mer
12 - Les naufragés de l'espace
13 - Sept secondes en enfer
14 - Les Trois sergents
15 - Chino
16 - Un silencieux au bout du canon
17 - Duel d'espions
18 - Sur la piste de la grande caravane
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