Synopsis : John Wick est forcé de sortir de sa retraite volontaire par un de ses ex-associés qui cherche à prendre le contrôle d’une mystérieuse confrérie de tueurs internationaux. Parce qu’il est lié à cet homme par un serment, John se rend à Rome, où il va devoir affronter certains des tueurs les plus dangereux du monde.
Voici donc la suite du déjà film culte John Wick pour les amateurs d'explosions, de badass , dans le premier il tuait la moitié de New York pour un chien et une voiture, là même plus de raisons pour tuer l'autre moitié et comme il avait plus rien à déglinguer , il va dézinguer quelques romains revenus de Gaulle.
Notre ami Néo retrouve ses anciens amis de Matrix (Laurence Fishburne) et Peter Stomare (Constantine) pour plus d'actions ,peut-être un peu trop ce qui nous donne aucune histoire ,peut-être qu'on s'en fout mais c'est dommage car dans la série de films, il y a une sous-histoire souterraine qui aimerait à être plus exploitée , car cette mafia new-yorkaise qui épie, espionne , tue aux quatre coins de la rue la dernière scène du film avec Wick traversant la ville sous les yeux peut-être des espions de la Caballe et qui annonce un prochain John Wick 3 est la meilleure séquence du film.
Ce qui marchait dans le premier par la surprise par son côté badass , marche beaucoup moins ici, ou John Wick passe plus son temps à ressembler à Néo et le héros de Constantine.
Donc beaucoup de cadavres et des combats bien filmés mais à part cela c'est plutôt poussif , donc on verra s'il change de scénariste.
Si vous cherche un peu, vous retrouvez Franco Nero.
NOTE : 7.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Chad Stahelski
Scénario : Derek Kolstad
Musique ; Tyler Bates et Joel J.Richard
Production : Basil Iwanyk et Holly S.Rymon
Costumes : Luca Mosca
Directeur de Production ; Holly S.Rymon
Casting ; Jessica Kelly et Suzanne Smith
Décors : David Schlesinger
Directeur Artistique : Chris Shriver
Montage : Evan Schiff
Photographie ; Dan Laustsen
DISTRIBUTION
Ian McShane : Winston
Peter Stormare : Chef Mafieux
Franco Nero : Julius
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire