Synopsis : En participant à Nerve, un jeu qui diffuse en direct sur Internet des défis filmés, Vee et Ian décident de s’associer pour relever des challenges de plus en plus risqués et gagner toujours plus d’argent.
Mais bientôt les deux « Joueurs » s’aperçoivent que leurs moindres mouvements sont manipulés par une communauté anonyme de « Voyeurs ». Le jeu vire au cauchemar. Impossible d’arrêter…
Hasard du calendrier je viens de voir le précédent film que j'avais chroniquer récemment 'Viral" est le constat est de dire que ces deux garçons ont de l'avenir dans ce type de film de genre, fait autant de bromance et de film d'action.
Il est évident en regardant Nerve que le film de David Fincher The Game, les a beaucoup inspirés avec cette nouvelle technologie 1.0 en plus qui devrait être présent dans le futur, ou bien ce qui se passe dans ce film qui est de l'anticipation serait déjà réel.
Vee et Ian obéissent à un "maître" qui leurs demandent de faire des choses qui va ou peut les mettre en danger , obéissant aveuglement à leurs voix, sauf qu'ici Tuer n'est pas Jouer, mais en ce moment cela fait étrangement référence à ces âmes humaines qui obéissent à une voix venant de Syrie pour tenter de commettre des attentats.
Si dans la première heure de ce jeu, rien d'exceptionnelle entre Bromance et fin de jeun's et part la plastique de Dave Franco (frère de ....) on regarde sans déplaisir mais sans attraction.
Puis comme dans tous jeu à a con ou dans un jeu vidéo, dès que celui-ci monte d'un échelon au fur et à mesure et où les protagonistes se mettent en danger en obéissant aveuglement cela devient intéressant, et comme dans le film de David Fincher on a envie de savoir les raisons de cette manipulation évidente, de celui qui tire les ficelles et comment les scénaristes vont atterrir dans leurs histoires.
C'est aussi un film sur la paranoïa en pensant que chaque seconde qu'on passe sur Internet et manipuler par on ne c'est qui à tort ou a raison, que ce soit au niveau de la Pub à consommer ou de la manipulation politique.
Mais aussi une question qui va durer que quelques secondes dans notre tête du danger de ces réseaux sociaux qui embuent la tête de nos adolescents, et pas seulement de Pokemon Go, mais surtout ces réseaux de sexe ou voyeurs (comme ici) cherche des acteurs (comme ici) quelque soit leur âge.
Le film dénonce bien cette recrudescence , mais pas sur que cela est un effet malheureusement, la progression n'est pas fini, et je ne serais pas surpris que ce type de jeu existe déjà à l'instar de Flash-mob.
Ne vaudrait-il pas revenir au Minitel le plus sécurisé du monde.
On aurait aimé pourtant que ces réalisateurs également de Paranormal Activity 2 & 3 d'allez encore plus loin dans la conséquence de ce jeu à la con, de ce pouce excroissance de la main qui donne des tournis dans la tête de gens assez manipulable pour commettre des actes insensés.
On a dans la dernière heure, un film rythmé à l'instar d'un Fast and Furious ou Projet X, qui donne le tournis dans son implication.
Et comme dans les films de Romains dans l'antiquité, le pouce qui sert sur ces smartphones pour liker ou accepter une connexion, arrive à se retourner et déclarer la mise à mort comme dans une arène.
Côté acteur rien à dire de particulier car c'est pas un film qui démontre des qualités d'interprétation, mais Emma Roberts et Dave Franco ont trouvé leur film culte. A noter toutefois que l'acteur Machine Gun Kelly nous sert une belle interprétation.
Pour les complôtistes de tout genre au début du film sur un écran on voir une page ouvert au nom de "James Franco"' hasard ou complot why not !!!!
Note : 13.40
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Ariel Schulman et Henry Joost
Scénario : Jessica Sharzer et Jeanne Ryan
Musique ; Rob Simonsen
Production ; Anthony Katagas et Allison Shearmur et Erik Feig
Coiffeur ; Jameson Eaton et Handri Gunawan
Cascades : stephen A.Pope
Effets Spéciaux ; Drew Jiritano
1er Assistant Réalisateur : Doug Torres
Casting ; John Papsidera
Décor ; Kara Zeigon et Chris Trujjilo
Directeur Artistique ; Marc Benacerraf
Montage : Madeleine Gavin et Jeff McEvoy
Photographie ; Michael Simmonds
DISTRIBUTION
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