Synopsis : Figure de la scène littéraire et médiatique française, Jean-Etienne Fougerole est un intellectuel humaniste marié à une riche héritière déconnectée des réalités. Alors que Fougerole fait la promotion dans un débat télévisé de son nouveau roman « A bras ouverts », invitant les plus aisés à accueillir chez eux les personnes dans le besoin, son opposant le met au défi d'appliquer ce qu'il préconise dans son ouvrage. Coincé et piqué au vif, Fougerole prend au mot son adversaire et accepte le challenge pour ne pas perdre la face. Mais dès le soir-même, on sonne à la porte de sa somptueuse maison de Marnes-la-coquette… Les convictions des Fougerole vont être mises à rude épreuve !
Tout d'abord, un coup de gueule, non pas sur le film, même s'il mérite quelques claque, mais sur la bêtise et l'hypocrisie , même si le film mérite quelques claques, non sur la Presse spécialisée , en ce demande de quoi d'ailleurs, qui traite le film de raciste , et je voudrais bien savoir où.
Oui que le film utilise des grosses ficelles et des clichés, mais le début du cinéma, le écrans ont été remplis de films avec des clichés , que ce soient envers les minorités raciales, ou religieuses, sans compter celles sur les minorités sexuelles ou certains métiers.
Oui pourquoi on pense que La Cage aux Folles peut faire rire avec des dizaines de clichés sur les homosexuels ou sur les cathos, sur les westerns ou les indiens étaient considérés comme des criminels assoiffés de sang (indiens joués par des blancs) et plus récemment dans notre pays, un film comme Rabbi Jacob qui multiplie les clichés sur les juifs sans que personne ait grand chose à dire , considérant même le film comme un classique multidiffusé à la télévision, et comparer le nombre de clichés sur le film de Gérard Oury par rapport à celui-ci est pas en faveur du premier.
Et cela est encore plus hypocrites de la part de certains journaux comme l'Express ou Première, qui avait trouvé des qualités au film Gangsterman malgré les propos de "viols cool", donc deux poids, deux mesures certainement du à des problèmes égo entre certains d'entre eux.
Oui, pour moi on peur rire de tout (sauf sur les enfants) à condition que l'on puisse en rire.
Maintenant ces mêmes journaux auraient pu simplement dire , et je ne pourrais pas les contredire, que tout simplement "A Bras Ouverts" n'est tout simplement pas drôle, car les dialogues sont affligeants de vides et de nullités, et que les gags (souvent trop long) sont d'une énorme faiblesse et ne nous font pas rire, car quitte a joué sur les différences et les clichés, il faudrait allez plus loin, plus saignant, voir plus cynique , comme dans le film d'Ettore Scola "Affreux Sales et Méchants" ou dans le film de Bertrand Blier "Tenue de Soirée.
La faiblesse du film se résout dans ces cas de drôlerie et non d'effets ou clichés racistes, car combien de personne ne se plaignent des roms dans leurs quotidiens, et à la différence du film plus communautaire, ils se marient avec un bourgeois blancs et obtiennent une place en HLM, ce qui n'est pas gagné dans la réalité.
La famille Fougerolles dans le film ressemble presque au duo Dombasle et Bernard Henri Levy,bobo de gauche avec une vie et es idées de droite.
Autre point faible du film et le jeu des acteurs , rien à dire sur Clavier qui fait du Clavier depuis 40 ans , par contre Ary Arbitan en fait vraiment beaucoup trop et en devient peu crédible, ce qui est un comble quand on veut faire rire, mais Elsa Zylberstein (la femme de Fougerolles), Cyril Lecomte (le faux roms) ou le pauvre Oscar Berthe (le fils) ne joue pas du tout et semble être perdu dan le film, en attendant le clap de fin, qui va les soulager.
Autre moment pas drôle, avec une nouvelle fois un personnage d'extrême-droite gay pour ressembler à l'actualité, mais avec un personnage antipathique mais pour quelle raison.
A l'arrivée un film qui suscite des polémiques par toujours justifiées, alors qu'on devrait plutôt parler de la forme et pas du fond, car le but d'une comédie et de faire rire pas plus.
NOTE : 5.20
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Philippe De Chauveron
Scénario : Guy Laurent, Marc de Chauveron et Philippe de Chauveron
Musique : Hervé Rakotoiringa et The Zuralia Orchestra
Production : Patrice Ledoux et Marc Vade
Photographie ; Philippe Guilbert
Montage ; Philippe Bourgeuil
Directeur Artistique ; Isabelle De Araujo
Décors : Alain Veissier
Casting : Coralie Amedeo
Directeur de Production ; Jean-Pierre Garrabos
1er Assistant Réalisateur : Pascal Roy
Costumes ; Florence Sadaune
Scripte ; Céline Salvoldelli
Son : Cédric Deloche, Serge Rouqairol et Franco Piscopo
DISTRIBUTION
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